J'avoue avoir ramer pour arriver à terminer ce roman. Dans le désert c'est un comble. Et en plus je n'ai pas du tout aimé la fin, les fins, vous me comprendrez si vous le lisez. Sans parler de la pollution invraisemblable du puit du village Dogon par Claire, la bobo chef de famille pourtant férue des traditions de ce peuple du Mali. Et en doutant fortement de la capacité de survie d'un anthropologue anthropophage reclus pendant 50 ans dans des tombes troglodytes. Au suivant.
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