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Livre lu très rapidement. A peine 200 pages, ça va très vite.
Ce livre est écrit comme une lettre envoyé par une mère qui a appris que sa fille partait faire le Djihad.

Beaucoup d'émotions dans ce roman, la mère parle à sa fille et lui raconte beaucoup de mot doux: qu'elle lui manque, qu'elle veut qu'elle revienne, qu'elle l'aime.

Mais elle veut aussi lui raconter tous ce qu'elle a vécu par le passé et dont elle n'a jamais parler avec ses enfants. Lorsqu'elle raconte ces passages, c'est assez dur ! de son enfance et pendant une grande partie de sa vie d'adulte, elle en bave et subit maltraitance sur maltraitance. Elle lui raconte et s'imagine que si sa fille avait connu tout ça, elle ne serait pas partie !

Depuis un bout de temps maintenant, ce sujet est très actuel et plusieurs livres ont déjà abordés les départs en Syrie.
Je voulais déjà tenter l'expérience de ce type de livre pour comprendre comment on peut se faire endoctriner aussi facilement.

Malheureusement ce qui m'a déçu ici, c'est que c'est une histoire totalement inventée. En même temps il vaut mieux, car même si ce livre pourrait être réelle, on ne le souhaite pas !

Du coup le livre a eu beaucoup moins d'impact sur moi et ne pas donner tant à réfléchir que ça. Car même si cette mère fait face à des questionnements du type "aurais-je pu éviter ça ?", elle se concentre beaucoup plus à exprimer l'amour qu'elle porte pour sa fille.

Elise__♥
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Que dire de ce roman ? Par où commencer ?
L'auteur nous immerge dès le début dans l'esprit de cette femme, de cette mère qui vient de perdre sa fille. Elle ressent de la peur, de la tristesse, de la colère, mais surtout elle ressent une profonde culpabilité.
Cette femme n'a jamais raconté à ses enfants ce qu'elle avait vécu dans sa jeunesse, elle a toujours voulu leur éviter les horreurs dont certains être humains sont capables.
Nous suivons son questionnement tout au long du récit; Est-ce que parler de son passé aurait aidé sa fille ? L'aurait-elle alors empêché de partir et de commettre la plus grosse erreur de sa vie ?
Le destin n'a jamais été tendre avec elle, depuis ses 5 ans elle ne fait que survivre au coups portés par la vie.
On ne peut qu'être ému par tout ce qu'elle a subit, par tout ce qu'elle a enduré.
Mais surtout on ne peut qu'être admiratif de sa force, de son courage et de son amour pour ses enfants.

Ce livre est une révélation, il nous parle de sujets importants tels que l'embrigadement des djihadistes, de la condition des femmes, de l'amalgame entre islamistes et musulmans, du racisme, des attentats, mais aussi et surtout de l'amour et de l'espoir d'une mère.

Je ne m'attendais pas à être autant emportée par ce roman, je l'ai à peine reçu qu'il a été lu dans la journée.
Je remercie INFINIMENT l'équipe Babelio et les éditions chevre-feuille pour leur envoi grâce à l'évènement masse critique.
Mais surtout, je voudrais remercier Marion Poirson-Delchonne pour avoir écrit cette histoire fabuleuse pleine d'émotions et de justesse.

Je vous conseille donc bien évidemment de lire ce livre dès que possible.
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La vie d'une mère de trois enfants bascule en quelques secondes. Ses enfants sont toute sa vie. Ce roman écrit à la première personne du singulier est raconté par une mère aimante, nommée Yasmina qui s'adresse à sa fille partie faire le Djihad. Bien sûr qu'elle s'était rendu compte que sa fille changeait,mais l'adolescence est une période bien ingrate et elle n'imaginait pas un tel cas de figure. Yasmina, va choisir d'écrire une lettre ouverte à sa fille. Elle va lui raconter son passé sombre. Est-ce que ça aurait changé le cours des choses si elle l'avait fait plus tôt ? Nous sommes face à cette question rhétorique répétée plusieurs fois au fil de notre lecture. Son passé resurgit avec tous les souvenirs douloureux et cruels dont elle a été victime depuis l'âge de cinq ans au Maroc. Dans cette lettre ouverte à sa fille, Yasmina y dévoile son enfance, celle d'une petite fille pauvre, vendue à cinq ans, puis soumise et battue par un mari qu'on lui a imposé. de cette époque elle n'aime qu'une chose : son prénom ; car il a le parfum des fleurs. Les personnages principaux du roman sont la mère : Yasmina, Idriss et Souad ses deux autres enfants ainsi que sa fille la plus âgée partie loin d'elle.
Ce roman réaliste et original énumère les sensations d'une mère qui a connu la fuite de sa fille partie en Syrie. Il est réaliste car c'est un ouvrage qui traite de l'actualité: les jeunes femmes qui fuguent pour se marier et faire le Djihad en Syrie. Malheureusement elle se rendent compte de l'ampleur du danger beaucoup plus tard. Yasmina éprouve tellement de culpabilité et a tellement de questions sans réponse... Ses terribles révélations auraient-elles eu un impact sur la décision de sa fille ? Personnellement, j'en doute. Je pense que la souffrance de cette mère est beaucoup trop forte pour une adolescente qui semble être démunie. Or, la maman espère, elle attend des nouvelles de sa fille, reste devant les informations de la télévision, les médias et est extrêmement attentive. C'est un livre d'une grande délicatesse, le style d'écriture est simple mais incisif. Je m'attendais à retrouver le parcours de cette jeune fille dans sa fuite vers le Djihad, or il n'en est rien. Nous plongeons dans le corps de la mère et plus particulièrement dans sa tête et son esprit, avec toutes ses questions sans réponses et sa culpabilité sans fin. Elle est persuadée que la fugue de sa fille est à cause d'elle. J'ai été émue par les confidences d'une mère innocente, dévastée par le départ de sa fille. J'ai trouvé que l'amour d'une mère envers son enfant peut être très fort, même si la relation entre les parents et les enfants est difficile. Cette souffrance extrême m'a plongée dans ma lecture. Ma fille ne t'en va pas a été un roman très touchant pour moi. La première phrase de chaque chapitre qui est en fait le titre de chaque chapitre m'a davantage plu. J'ai particulièrement aimé ce style d'écriture. Cependant en lisant les quelques premières pages du roman je m'attendais à une histoire qui aborde la fugue de la fille, pourquoi est-elle partie en Syrie ? Par qui s'est-elle fait endoctriner ? plutôt que l'histoire de la mère. J'ai eu une énorme affection envers cette femme pleine d'émotions et l'auteure a réussi à me donner l'envie de connaître chaque suite de chapitre à cause de la tristesse de la mère. Cette histoire survient malheureusement dans plusieurs familles.

Je conseillerais ce livre fortement ! Il peut être lu par toutes les personnes autant par des adultes ou des plus jeunes car le style d'écriture est assez simple. Ce roman réaliste traite de l'actualité et peut amener à faire réfléchir les lecteurs. Il peut ainsi créer une relation plus forte entre les parents et les enfants.
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le roman, Ma fille, ne t'en va pas, publié en 2017 aux Éditions Chèvre-feuille étoilée, est écrit par Marion Poirson-Dechonne. L'auteur a fait des études de Lettres Modernes, puis un doctorat ès arts et sciences de l'art à la Sorbonne, puis elle se consacre au théâtre et au cinéma. Elle a été professeure de français. Auteure de plus d'une cinquantaine d'articles sur le 7ème art, elle a publié trois livres avant le roman, Ma fille, ne t'en va pas.

C'est un roman écrit à la première personne du singulier et raconté par une mère, nommée Yasmina en s'adressant à sa fille, qui est partie faire le Djihad. La mère se remet en question sur la fuite de sa fille. Elle pense qu'elle est coupable de la fuite de sa fille, car elle lui a épargné tous les malheurs qu'elle a subis de son enfance jusqu'à ce qu'elle arrive en France et qu'elle ait son appartement à elle. La mère va nous faire part de ses pensées qu'elle aurait aimé dire à sa fille, des pensées si secrètes qu'elle n'aurait jamais pensé en parler avec ses enfants avant, et qui peut-être, aurait empêchée la fuite de sa fille. Elle va raconter son enfance douloureuse. Déjà, à cinq ans, elle était domestique, elle était séparée de sa mère et on la traitait comme une esclave. Puis elle raconte son mariage, un enfer selon elle. Elle s'est mariée à quinze ans avec un homme de trente-neuf ans, qui ne pensait qu'à boire et coucher avec elle, il avait une vision négative des femmes.

Ce roman réaliste et original énumère les sensations d'une mère qui a connu la fuite de sa fille partie en Syrie. Beaucoup d'émotions sont unies dans ce roman, la douceur et le regret de la mère s'y retrouvent. C'est un ouvrage réaliste car c'est un sujet d'actualité, les filles qui fuguent pour se marier et faire le Djihad en Syrie et qui se rendent compte malheureusement après l'ampleur des dangers. C'est un livre facile à lire avec un niveau de langue courant. Dès le début du roman, l'auteur nous immerge dans l'esprit de la mère et dans le contexte. Puis l'auteur alterne entre le présent et le passé de la mère (un chapitre présent et un chapitre passé et ainsi de suite) et elle arrive à nous faire distinguer le présent et le passé. Ensuite l'auteur utilise des comparaisons, comme à la page 83, au premier paragraphe,
« mais la particularité des rêves, c'est qu'ils s'évanouissent au soleil, comme la neige ou les vampires ». L'auteur montre bien que la mère est culpabilisée et qu'elle a honte d'elle. L'auteur a réussi à me transporter dans la tête de la mère grâce à ses pensées, ses émotions et sensations, on arrive à distinguer ses pensées. L'auteur nous fait parvenir par le biais de cette histoire, que les communications entre les parents et les enfants sont rares, qu'il y a souvent des incompréhensions entre eux, les problèmes sexistes et les visions négatives vis-à-vis des femmes, les hommes qui maltraitent leurs femmes.

Cependant, en lisant le titre du roman, je ne m'attendais pas à une histoire qui aborde un thème autour de la mère mais plutôt autour de la jeune fille, de sa quête, pourquoi elle est partie en Syrie. Comment s'est-elle fait endoctriner ? Par qui ? Que faire pour ne pas tomber dans ce piège ? Je m'attendais à des réponses à ces questions. Puis j'ai trouvé que les «flash-backs» de la mère étaient longs, que l'auteur pouvait nous en épargner quelques-uns.

J'ai eu de la compassion, de l'affection envers la mère qui se sentait coupable du départ de sa fille. Elle était perdue, elle ne comprenait pas pourquoi sa fille avait pris une telle décision. J'ai été ébranlée par cette histoire qui survient chez plusieurs familles en ce moment. Je ne le souhaite à personne !

Je conseillerais ce livre réaliste et impressionnant aux personnes susceptibles de comprendre le sujet, que c'est une mauvaise décision d'aller en Syrie, qu'il ne faut pas tomber dans le piège de l'endoctrinement, savoir se confier à ses parents en cas de problèmes, et de ne pas avoir des visions négatives sur les femmes.
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Ma Fille ne t'en va pas, un roman de Marion POIRSON-DECHONNE, est une oeuvre facile à lire du fait de l'utilisation d'un niveau de langue courant mais également grâce à du vocabulaire très simple.
L'auteure arrive à expliquer un fait d'actualité d'une grande complexité avec des mots simples, ce qui rend l'ouvrage adapté à un grand nombre de personnes.
Personnellement, je trouve que ce qui rend le roman si intéressant ce sont les personnages. Notamment, Yasmina, la protagoniste, qui fait preuve de sensibilité mais aussi de force car elle est très affectée par le départ de sa fille mais elle doit être forte pour ses deux autres enfant. Ce sont pour toutes ces raisons que je recommanderais ce livre.
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Critique littéraire sur le roman Ma fille ne t'en va pas
Chers lecteurs et lectrices,
Actuellement en classe de seconde et dans le but d'un prix Hors Concours, j'ai lu ce livre.
Je trouve cet ouvrage intéressant car il se passe à l'heure actuelle, c'est l'histoire d'une femme qui a perdu sa fille partie au djihad, donc c'est plus simple à visualiser, on se sent concerné par ce qu'elle raconte.
Je tiens à partager un moment qui m'a marqué dans ce livre, les chapitres s'alternent entre le moment présent où elle recherchait sa fille et le passé de la mère, qui est bouleversant. La mère se prénomme Yasmina et a eu une enfance et même une vie très triste et difficile, vendue par sa mère et ensuite mariée de force à un mari horrible qui la maltraite.
Au moment de la nuit de noce il la force au premier rapport qui est très violent et douloureux, je cite : «Il m'a forcée comme un animal » elle perd beaucoup de sang et lui supplie d'arrêter mais à ça il la gifle et continue plus longtemps sans prendre même attention à elle, «Il m'a fait beaucoup souffrir »; «Mon mari ne respectait pas mon corps ».
Cette scène est vraiment très dure à lire car c'est un moment où elle est très crue dans ses paroles et où l'on ressent en quelque sorte sa souffrance.
Malgré tous ces points qui m'ont plu je me suis parfois lassée par des passages trop longs ne débouchant sur rien et je trouve que la fin, le moment le plus important se finit trop vite. J'aurais voulu voir les retrouvailles de la mère et la fille, savoir si elles allaient dire ce qu'elles avaient à se dire avant qu'elle parte. Si la mère allait lui raconter son enfance, si la fille allait lui donner les raisons de son départ, ses sentiments, et voir la réaction de l'une et l'autre.
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Ma fille ne t'en va pas est un roman écrit par Marion Poirson-Dechonne où la narratrice raconte l'histoire de la disparition de sa fille partie au Djihad. C'est ce matin là ou tout commence lorsque Yasmina, en faisant le ménage, découvre une lettre de sa fille.«Une enveloppe rectangulaire était posée sur le bureau en stratifié que j'ai acheté au Secours populaire. La surface est
tout éraflée, des morceaux de revêtement se décollent. Il reste
les traces de verres ou de canettes de Coca. Les auréoles ne
se sont jamais effacées. ».Cette citation nous plonge dans l'histoire et nous montre la tristesse mais également le courage dont fait preuve Yasmina ,sa mère.Les detailles

Chaque chapitre jongle entre le passé et le présent,en effet une fois sur l'autre la narratrice raconte les douloureuses expériences de sa vie passée.Retour dans le présent où elle nous fait part des remords qu'elle eux par la suite de n'en avoir jamais parlée à ses enfants.

J'ai trouvé l'histoire du roman intéressante ,un sujet d'actualité et captivant qui est censé nous transmettre des émotions comme de la compassion ou de la tristesse, ce que je n'ai pas du tout ressenti en le lisant cause de la simplicité de l'écriture de l'auteur.Une histoire longue et ennuyante qui se répète encore et encore.
Je pense également que l'histoire perd de son charme car elle n'est pas autobiographique. En effet sa vie est presque banalisée, l'histoire n'est pas vécue. L'auteur tente d'inventer des émotions qu'aurait pu avoir ressenti une personne comme Yasmina.Elle a du mal a nous transmettre des émotions qu'elle n'a jamais ressenti.
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Ma fille, ne t'en va pas est un roman écrit par Marion Poirson- Dechonne (maître de conférence dans une université de Montpellier et ayant écrit plusieurs romans à son actif) fut publié en 2017 aux éditions Chèvre - feuille étoilée. Ce roman raconte l'histoire d'une mère de trois enfants dont la vie bascule lorsque sa fille aînée part en Syrie. Elle vient donc à se remettre en question et cherche à comprendre le geste de sa fille. Ce livre est très émouvant puisqu'il parle d'un sujet actuel mais en se concentrant sur le point de vue de la mère. le vocabulaire employé est simple mais rend l'histoire plus réaliste et surtout plus émouvante. le texte est très fluide rendant la lecture agréable et facile. Un livre sublime que je recommande fortement.
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Marion Poirson-Dechonne est l'auteur du roman dont le titre est Ma Fille ne t'en va pas publié en Janvier 2017. Écrit à la première personne du singulier , ce livre raconte l'histoire d'une mère qui en ouvrant une lettre, apprend que sa fille part furtivement pour la Syrie accomplir le Djihad.
Mais contrairement à ce que l'on pourrait croire en découvrant le titre de l'oeuvre.Ce livre nous raconte plus spécifiquement l'histoire de Yasmina , la mère.

On découvre un chapitre sur deux, la terrible enfance de cette mère dévouée. Ces différents passages sont émouvants et ils peuvent aussi susciter de la pitié chez le lecteur .Tout est tellement décrit qu'à la lecture cela peu commencer à devenir assez long.Mais on est rapidement attaché à cette histoire.
Les autres chapitres sont des passages où elle s'adresse à sa fille car après son départ, Yasmina se remet en question et de là commence une multitude de questions rhétoriques.

Ce livre dont les thèmes principaux dénoncent premièrement la radicalisation, mais aussi la condition de la femme dans de nombreux pays, ici le Maroc. de plus, ce roman touche sensiblement à l'actualité. Cela renforce l'aspect réel et apporte une proximité entre le lecteur et l'histoire. En effet, il peut s'identifier à un des personnages principaux. Cela amène notamment à une réflexion sur les thèmes qu'aborde le roman.
Ce livre m'a beaucoup plu, même si en lisant le titre et la quatrième de couverture je m'imaginais qu'il serait similaire à beaucoup d'autres histoires qui traitent de la question de la radicalisation. J'ai apprécié l'originalité de l'histoire, le fait que la mère se libère enfin, car on ne s'attend pas à découvrir cela. Cette mère incroyable est une femme forte qui a rencontré de nombreuses difficultés. La perte de sa fille l'a énormément affectée. L'émotion très présente de ce roman relève de l'importance de la communication entre les parents et leurs enfants.

Je conseil vivement ce roman !
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Avec ce roman Marion Poirson-Dechonne nous embarque dans la vie d'une mère qui attend avec inquiétude le retour de sa fille partie en Syrie pour aller faire le Djihad, mais l'histoire raconte aussi le regard d'une femme, d'une mère qui se reconstruit après dès années de souffrances, de violences et d'intimidations. Même si le lecteur peut être perturbé par les retours en arrière, ces événements rythment le récit et nous narrent toute cette évolution et donnent aux lecteurs l'envie d'en savoir plus. La descente aux enfers de la mère amène le lecteur à se questionner sur les raisons qui ont entraîné la fille à se radicaliser. la question de la culpabilité d'une mère qui n'a pas su comprendre sa fille, la non-communication entre une mère et sa fille, les violences faite aux femmes dans certains pays du Moyen-Orient sont abordés.
Émouvant
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