Le printemps, avec ses arbres fleuris, est un lieu commun très fréquenté.
Quand les statues ne regardent pas le ciel droit dans les yeux, elles méditent.
D'ailleurs, quelques élus le savent bien, même s'ils préfèrent ne pas trop le dire : au bout de ces rues anodines, derrière ces fenêtres innocentes, sous ces frondaisons, là où l'ombre mine de rien devient obscurité, il y a sans doute - il y a certainement - un petit monstre rêveur ou une chimère assoupie.