Dans l'immense chant de louange que l'art roman ne cesse de faire monter vers Dieu, depuis huit siècles, par tant de monuments et d’œuvres répandus dans notre Occident chrétien, la part tenue par l'Anjou est loin d'être secondaire. Sur ces bords de Loire, dans le blanc tuffeau, éclate le Te Deum de Fontevrault, le Gloria in Exclesis de Saint-Aubin, le Magnificat de Cunault.