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Citations sur Gabin et son équipe de la PJ, tome 2 : La filière afghane (8)

- Dis-moi, tu devrais jeter un œil sur ton passeport, tu crois que t'as quinze ans pour te fringuer comme ça ? C'est quoi ce pantalon militaire et ce sweat à capuche... Te manque plus que la casquette ! T'es devenu chanteur dans un groupe de rap ?
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Trouver un responsable de la SNCF n'était pas une mince affaire
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Dans le dédale des rues de ce quartier, véritable labyrinthe, ils ne seraient pas suivis et se seraient évaporés avant que les forces de sécurité ne réagissent.
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S’il était encore là, c’est parce que Dieu l’avait décidé et voulait lui offrir une deuxième chance… C’est envers lui qu’il se sentait débiteur. En cachette, pour se racheter, il priait. Un acte qu’il ne pratiquait pas auparavant et auquel il ne connaissait pas grand-chose. Grâce à Internet, des sites spécialisés, YouTube, c’est en autodidacte qu’il apprenait les bases de sa religion et savait maintenant les règles de la prière musulmane. Ses recherches l’avaient poussé plus loin, il avait pris conscience que la religion pouvait être un moyen de canaliser sa violence au profit d’une VRAIE cause.
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La présence de lumières les réconforta. Ils furent surpris et rassurés par la foule. On n'allait pas les tuer devant autant de témoins. Une cinquantaine de jeunes, des garçons et des filles qu’ils connaissaient, étaient là. Ils buvaient de la bière, des couples se roulaient des pelles comme s’ils se préparaient à célébrer une grande fête.
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Depuis plusieurs années, il ne mouillait plus le maillot et se contentait de superviser ses affaires à la manière d’un parrain. La drogue était sa principale source de profit. La prostitution, les filières d’immigration, les jeux clandestins, le trafic d’armes étaient également des branches d’activité, mais il les considérait comme annexes. La police et la justice l’inquiétaient fort peu. Il ne parlait quasiment pas au téléphone, ses proches ne le balanceraient jamais, et si d’aventure les flics réussissaient à monter jusqu’à son étage et à saisir des marchandises ou des produits illicites, il pouvait être assuré qu’un de ses compagnons jouerait le rôle de fusible en endossant à sa place les responsabilités. En contrepartie, il savait se tenir et garantissait aux siens son soutien financier et sa protection lorsqu'ils étaient en difficulté.
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Durant un court laps de temps, les dealers ne seraient plus les seuls à occuper la rue. L’agitation créée par leur activité illicite allait être noyée par le retour à la maison d’une population laborieuse, constituée d’ouvriers et d’employés. Les flics joueraient les caméléons.
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Lorsque son nom serait connu – parce qu’il ne doutait pas qu’au final, il le soit – il allait devenir un héros pour certains et un monstre pour ceux qu’il considérait comme ses ennemis.
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