Le gaucho, après avoir attrapé un cheval sauvage avec un lasso, s'assied paisiblement sur la bête soumise, découpe dans sa cuisse un steak copieux puis rend la liberté au blessé qui fuit avec d'horribles hennissements.
Que les aficionados d'Hugo Pratt me pardonnent pour cette incursion dans leur univers, mais le titre, la couverture et l'univers de cette BD me font penser à un autre Hugo...et comme je ne savais où retranscrire son propos...
Cet Hugo là laissera cette citation à la postérité :
"De toute façon t'es né(e) et t'es beau comme ça... les autres on s'en branle..."