J'ai laissé mon poème libre sur la table,
Pour que Grand-père le lise avant d'aller au port.
Et je suis allé me coucher.
Bien sûr je voyagerai, comme Grand-père.
En bateau, à pied ou en poésie, peu m'importe.
Et je traduirai le monde en cent mille milliards de poèmes à
chanter cent mille milliards de fois, pour les humains qui aiment et qui naviguent
« Bien sûr je voyagerai, comme Grand-père.
En bateau, à pied ou en poésie, peu m'importe.
Et je traduirai le monde
en cent mille milliards de poèmes
à chanter cent mille milliards de fois,
pour les humains qui aiment et qui naviguent.
Je ne me lasserai jamais. »