La fin de la jalousie : Et autres nouvelles

J'aime alterner les auteurs contemporains et les classiques. L'un appelle l'autre pour mon plus grand plaisir. Et voici Proust et ses quatre nouvelles qui s'invitent dans ma vie.
C'est d'une plume raffinée que l'auteur nous décrit les mondains de son époque, qu'il a largement fréquenté dans les salons littéraires et dîners associés. Je me suis imaginée alors, assise quelques heures dans les salons privés du musée Jacquemard André savourant à distance les personnages décrits et leur petits travers : le snobisme, la jalousie, l'orgueil, la nonchalance et d'autres encore.
J'ai particulièrement aimé la dernière nouvelle, « la fin de la jalousie », où le tourment de l'âme est si fort que seul la mort peut l'apaiser.

Ce petit Folio est peut-être une belle façon de découvrir Marcel Proust avant de voguer vers « Du côté de chez Swann ».

Ce recueil compte quatre nouvelles : Violante ou la mondanité, La confession d'une jeune fille, Un dîner en ville et La fin de la jalousie.

Avec ses 110 pages, ce petit livre est un moyen sympathique de découvrir Marcel Proust. Par contre, si, comme moi, vous avez déjà lu La recherche, passez plutôt votre chemin, vous risquez d'être déçu. Comme dans toutes les nouvelles, on a à peine le temps de faire connaissance avec les personnages ; c'est pour cette raison que je n'aime pas beaucoup cela et que celles-ci soient de Proust (mon grand préféré) n'y aura rien changé.

Challenge ABC 2014/2015

J'ais passé un bon moment en lisant ce petit receuil, cet échantillon de nouvelles de Proust; Ca à été pour moi le moyen de prendre contacte avec son oeuvre, d'en desmystifier la lecture. Deux nouvelles se détachent clairement du receuille la première nouvelle me conforte dans l'idée qu'Amélie Nothomb n'a rien inventé car le personnage de Violante resable étrangement aux anti-héros don son oeuvre regorge. A ceci près que ça fini bien. J'ais aussi aimé La fin de la jalousis avec une reflection sur la vie mondaine et sur la mort; On sent, à travers ces nouvelle qur l'auteur parle de lui. Il évoque l'asthme et la relation fusionelle avec sa mère. Il est bon de lire pour prendre du recul, se retrover face à soi-même écouter un peu sa voix interieur, s'extraire du brouhaha de l'actualité, mais j'avoue que sans le centenaire de la mort de proust la semain dernière, j'aurai peut-etre jamais lu ce livre.

C𠆞st en trouvant ce petit livre dans la bibliothèque d’une amie qu𠆞st né soudain désir de lire du Marcel Proust. Je me suis mise à la recherche de ce petit écrit en librairie mais le trouver ne fut pas chose facile. Cédant à la commande, je me suis empressée de le lire.
Ce livre très court reprend quatre nouvelles qui ont en commun les sentiments amoureux, les relations passionnées et les illusions/désillusions de l𠆚mour.
Malheureusement, je ressors de cette courte lecture un peu déçue. C𠆞st le premier Proust que je lis, et bien que le style me plaise beaucoup, j𠆚i trouvé cela assez fastidieux : si l’histoire ne nous accroche pas d𠆞ntrée, il n𠆞st pas aisé d𠆚ller au bout.
Cependant, la description de certains sentiments et éléments de la psyché humaine à la manière d’un tableau que l’on peint, m’ont beaucoup plu. Cela m𠆚 fait sourire de constater que ces états d’âmes et sentiments perdurent dans les siècles... Marcel Proust va au fond des réflexions et cela me plait.
Je recommande cette lecture si vous avez envie de connaître un peu le style proustien sans pour autant se lancer dans un plus grand récit.