AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,13

sur 239 notes
Une jolie découverte (bien que pleine d'hémoglobine !) chez Presses de la cité !

Théa est une jeune esclave juive, au service de Lepida, superbe jeune femme dont le but dans la vie est de faire un mariage lui permettant de s'élever dans la bonne société romaine et d'accéder aux plus proches du pouvoir. Mais avant cela, il est plutôt question de s'amuser, et notamment avec le beau gladiateur gaulois Arius, dit le Barbare, invaincu jusqu'à présent. Mais Arius est bien plus intéressé par Théa que par sa maîtresse… Et lorsque la jeune esclave est aperçue par l'empereur Domitien, ce n'est pas forcément gage de tranquillité…

En commençant ce livre (c'est-à-dire en découvrant la page de titre), on se dit que l'éclaboussure de sang est peut-être un peu too much sur la couverture. Et bien en fait non, du sang, vous en aurez en veux-tu, en voilà, dans les 544 pages du roman. Kate Quinn arrive bien à retranscrire l'ambiance de l'époque, et surtout le mantra du pain et des jeux, l'idée de l'esclavage, des différentes positions dans la société. Un petit bémol : je trouve que les personnages sont un peu trop manichéens, soit trop bons, soit extrêmement mauvais. On n'a pas vraiment d'entre-deux qui permettraient de rendre certains personnages plus intéressants (notamment dans les personnages secondaires).

Ça reste quand même un très bon moment de lecture, avec des moments assez palpitants notamment lorsque les hommes sont dans l'arène !

À noter deux autres titres de Kate Quinn, L'impératrice des sept collines et Les héritières de Rome, toujours en grand format chez Presses de la cité et chez Pocket en poche, qui continuent la série.
Lien : http://therewillbebooks.word..
Commenter  J’apprécie          100
Génialissiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime !!!!

Comme c'est bon de tomber sur ce type de lire qui fait penser qu'il y en a tant qu'on a pas encore lus.
Trop de points positifs pour les énumérer les uns après les autres donc je garde le plus important.
Le bonheur !
A chaque page tournée...
Il y a plusieurs narrateurs qui nous font passer par tout un maelström d'émotions. Mais la plupart du temps, je me disais « Elle (l'auteure) peut pas leurs fait ça ! Non ! Non ! C'est trop horrible »
A aucun moment je n'ai eu envie de fermer mon livre.
Impossible.
Et le premier réflexe quand je l'ai fini à été d'acheter la suite L'impératrice des sept collines que je vais m'empresser de lire et d'en faire une chronique.

Un livre à ne pas manquer !
Lien : http://lachroniquedespassion..
Commenter  J’apprécie          50
Un roman historique sur une période qu'on trouve moins souvent que d'autres dans ce genre, sinon chez Colleen McCullough ou Max Gallo, des péripéties et un monde antique à la fois moins connus, et très romanesques, on ne peut que plonger et s'emballer pour cette histoire d'amour contrariée entre une ancienne esclave à la merci d'un empereur et un ancien gladiateur, gloire de Rome.
Tous les ingrédients nécessaires sont présents, et oui, on se laisse emballer, au point de plonger dans le second tome.
Commenter  J’apprécie          13
Un beau roman ,mêlant un contexte historique intéressant (le règne de l'empereur romain Domitien...) à une belle histoire d'amour entre une esclave et un gladiateur. Et comme l'époque le veut ,les deux protagonistes seront confrontés à la violence et à la trahison ,tout en espérant être un jour des êtres libres.
Si vous aimez l'empire romain et les intrigues ,ce livre est fait pour vous !
Commenter  J’apprécie          250
Ce roman historique a de nombreux points forts, dont tout d'abord son arrière plan historique maîtrisé, qui permet de se plonger dans l'histoire avec délice, immergé dans l'atmosphère de la Rome antique, avec ses injustices, ses combats et ses complots. La présence des termes latins originaux aident bien, car ils évitent des traductions maladroites ou des descriptions hasardeuses.

L'autre point fort est l'abondance de personnages aux caractères bien trempés, tous très présents dans l'histoire. Les points de vue s'alternent, donnant du rythme et permettant une bonne vision d'ensemble des événements. Nous suivons des esclaves et gladiateurs tout autant que des personnages hauts placés, et là encore cela nous plonge facilement dans le coeur de l'action. Les scènes de combats sont rudes, les intrigues bien ficelées, et l'auteur mêle avec talent des faits historiques réels avec des éléments fictifs palpitants.

Théa, une esclave juive, et Arius, un gladiateur brigante, sont au centre de l'intrigue, et nous suivons l'évolution de leurs vies, marquées par leur immense courage. En dehors de leur destin d'esclaves, forcément difficile, leurs vies sont compliquées par les personnages affreux de Lepida Pollia, une jeune romaine vraiment imprégnée de haine et de méchanceté, et l'empereur Domitien, aux passions douteuses.

Nous croisons les destins de plusieurs autres personnages attachants, comme Marcus, Sabine, Julie Calpurnie, réels ou fictifs, qui donnent de la consistance au roman. Il se passe quelque chose à chaque page. le seul tout petit bémol serait une écriture simpliste, parfois répétitive, mais qui n'entrave pas la lecture. Les descritptions des lieux sont également rares, et une petite connaissance de Rome et du mode de vie de l'époque aidera à se réprésenter l'arrière plan du roman.

Pour résumer, je vous conseille vivement ce roman historique de qualité, palpitant, entraînant, ou les émotions se succèdent à toute vitesse! Vivement la suite!
Lien : http://louvrage.canalblog.co..
Commenter  J’apprécie          40
En bref : J'ai eu du mal à m'impliquer émotionnellement dans cette histoire. La faute, je pense, à son caractère parfois décousu, ainsi qu'au nombre de points de vues. Cependant, cela ne m'a pas empêchée d'être happée par son contenu et de suivre avec beaucoup d'intérêt le devenir d'Arius et Théa. D'intrigues machiavéliques en coups du sort, ces deux-là sont loin d'être épargnés. le tout confère d'ailleurs un rythme particulièrement prenant au roman. Finalement, ce qu'on peut reprocher à ce livre c'est qu'il manque de densité, en matière d'émotion comme de contexte. Mais le divertissement, lui, est bien là et les pages se tournent presque toutes seules. C'est ce qui l'emporte dans cet avis.
Lien : http://livrementvotre.blogsp..
Commenter  J’apprécie          40
La maîtresse de Rome est plus qu'une romance historique. C'est une fresque, un pan de l'histoire qui prend vie sous nos yeux et nous plonge au coeur de la Rome antique, dans l'intimité même de l'empereur Domitien, des gladiateurs avec Arius et des esclaves par le biais de Thea.

Au commencement de l'histoire, Thea est une esclave juive intelligente et instruite de quinze ans qui sert Lepida, une jeune fille de son âge. Lepida est une enfant gâtée pourrie qui n'a pas l'habitude qu'on lui dise non et qui au contraire, obtient toujours ce qu'elle veut.

Jusqu'à Arius, un gladiateur qu'elle désire immédiatement mais qui repousse ses avances.

Arius est un Breton arrivé à Rome par un concours de circonstances et qui est habité par une voix. Cette voix est comparable au passager noir de Dexter car lorsqu'elle s'exprime librement, il n'est plus maître de ses actes et est alors redoutable.

C'est grâce à Théa qu'il trouve enfin la paix mais celle-ci ne durera pas longtemps.

Lorsque j'ai commencé le livre, je ne m'attendais pas à ce que l'histoire se passe sur près de quinze ans. Cela m'a surprise lorsque les premières ellipses de temps ont eu lieu et qu'on se retrouve la première fois, cinq ans plus tard.

Or, Kate Quinn a un talent fou pour nos submerger dans l'action du moment.

Elle nous plonge dans les complots et les manipulations pour mieux instaurer un suspense insoutenable. Je l'avoue, à un moment, après la première partie du roman, je n'en pouvais plus; j'ai lu la dernière page. La fin est telle que j'avais encore plus hâte de découvrir le cheminement des faits menant à celle-ci.

Ainsi, l'histoire est pleine de rebondissements mais jamais elle ne nous lasse. Au contraire, on est happé par l'intrigue. On s'attache aux destins extraordinaires de Théa, d'Arius mais également de Marcus.

Au cours de son récit, l'auteure introduit des nouveaux personnages mais cela ne gêne jamais notre lecture, au contraire. Ce procédé ajoute des nouveaux ressorts à la trame. Elle gagne en intensité. le côté dramatique est exacerbé. Il faut dire que Kate Quinn s'est réellement bien documentée sur l'époque et ses moeurs, sur le quotidien des habitants de la Rome Antique. Les descriptions n'en sont que plus vivaces.

Quant à la psychologie des personnages, tous sans exception sont bien fouillés et révélateurs de la complexité humaine.

Lepida est un personnage qu'on déteste avec plaisir mais dont il est intéressant de lire le point de vue. Elle est ambitieuse, vile et n'hésite pas à recourir à toutes les bassesses pour obtenir ce qu'elle veut. Et pourtant, elle fait preuve d'une certaine insécurité vis-à-vis d'elle-même. Elle écrase les autres parce qu'elle sait que sinon, les autres ne se gêneraient pas pour l'écarter. Elle sait comment manipuler les gens mais elle n'éprouve pas de sentiments réels pour les autres à part ele-même. Elle est détestable en tous points mais on tremble lorsqu'elle fait ses manigances car elle parvient à nous toucher, à nous faire peur.

La peur est justement ici exploitée sous de multiples formes dans ce roman. Peur de mourir, peur de perdre un être cher, peur de devenir fou, peur de perdre le contrôle… Kate Quinn dépeint l'humanité sous toutes ses faces dans cette fresque de l'histoire.

En conséquence, comme vous vous doutez, j'ai adoré La maîtresse de Rome. Pour la plongée édifiante dans l'Histoire qu'elle nous offre, pour ses personnages auxquels on s'identifie rapidement mais également pour la complexité de l'intrigue et comment elle est ficelée.

Comme je le disais au début de cette chronique, vous trouverez ici bien plus qu'une romance historique. C'est un véritable film qui se déroule devant vous. Un récit magnifique!
Et mi-juillet, découvrez les aventures de Vic et de Sabine dans L'impératrice des sept collines chez Pocket! J'ai très hâte!
Lien : http://lesentierdesmots.word..
Commenter  J’apprécie          20
L'écriture de Kate Quinn est très simple et directe. du coup, si le texte est très abordable et ne soulève aucune difficulté particulière, j'ai trouvé aussi qu'il n'était pas spécialement travaillé et qu'il perdait un peu en émotion. le récit à deux voix (Thea et Lepida) permet d'appréhender l'intrigue de manière plus globale et d'avoir un ressenti plus fort dans certains scènes, d'autant qu'il n'est pas focalisé sur ces deux femmes mais s'étend parfois aux autres personnages. Tenu en haleine, la progression est rapide et efficace, d'autant que l'auteure a très bien donné vie son récit. Et même si quelques dialogues m'ont décontenancée, elle transporte bien le lecteur dans cette Italie du 1er siècle (scènes de violences, jeux de cirque, tenues et parures des Dames sont bien décrits).

Au final, La maîtresse de Rome se lit très bien, c'est fluide et intéressant. Cependant, si j'ai pris plaisir à suivre les personnages de cette romance historique, je n'ai pas trouvé la charge émotionnelle tant attendue................
Lien : http://stephanieplaisirdelir..
Commenter  J’apprécie          30
Théa est une jeune esclave juive, qui mène une vie morne sous les ordres de son arrogante et machiavélique maîtresse : Dame Lépida. Pourtant, sa vie s'égaye quelques temps quand elle rencontre le gladiateur n°1 de son époque : Arius. Malheureusement, la vie n'est pas simple pour un gladiateur et une esclave...

Après avoir entendu et vu pas mal de chroniques extrêmement positives sur ce livre, je m'attendais à le dévorer avec impatience. Malheureusement, mes attentes n'ont pas été récompensées...


La maîtresse de Rome de Kate Quinn est un roman de 540 pages, édités aux Editions Presse de la Cité. Un tome deux a été écrit mais qui ne reprend pas nos deux personnages principaux ici, à savoir Théa et Arius. Une romance historique très bien écrite, avec différents points de vue, qui saura en convaincre plus d'un...

Nous rencontrons tout d'abord, Théa, cette jeune esclave juive de 14/15 ans, qui a été offerte pour l'anniversaire de sa maîtresse du même âge, Dame Lépida Pollia. C'est une jeune fille au début du livre, qui a un lourd passé que nous découvrirons par la suite. Je ne saurais trop dire ce que je pense de ce personnage. Je l'ai beaucoup apprécié au début du livre, un peu moins à la fin, sans pourtant pouvoir préciser ce qui ne m'a pas plus (ou tout du moins, sans spoiler). J'ai su m'y attacher au début du livre, bien que certaines de ses réactions m'aient sidéré par son côté "C'est normal" alors que non ^^ Mais c'était une époque différente...
Quant à Arius, j'ai eu un peu de mal à saisir ce personnage, sombre, froid, colérique et pourtant tellement humain. Je crois que je n'ai jamais su l'apprécier à sa juste valeur et, comme beaucoup des personnages et l'ensemble du livre, je suis restée assez loin de ce personnage, sans savoir comment le saisir, sans réussir à décider si oui, ou non, j'appréciais ce personnage. Je l'ai trouvé assez compliqué, parfois illogique et parfois très humain.
Vient ensuite un des personnages far du roman : Dame Lépida. Si j'ai eu un peu de mal avec Théa et Arius, j'ai pu rapidement trancher pour elle : je la déteste ! Elle est mauvaise, perfide, manipulatrice, machiavélique, jalouse, hautaine, horrible, arrogante... Je continue ? Je l'ai véritablement détesté et j'avais envie de la frapper tellement elle est... horrible !
D'autres personnages secondaires m'ont beaucoup plu, d'autres un peu moins. J'ai rapidement trouvé le personnage de Domitien exécrable. Je me suis beaucoup attaché à Paulinus, à Sabine...

J'ai un avis plutôt en demi-teinte pour ce roman, sans pour autant saisir précisément ce qui m'a déplu ou, au contraire plu. Une chose qui m'a plutôt agacé, c'est le résumé de la quatrième de couverture, qui résume, en gros, les 250 premières pages et j'ai trouvé ça dommage. Bon, tout n'est pas dedans, bien évidemment, mais bon, ça gâche un peu le plaisir.
L'histoire se déroule sur 15/20 ans. Je ne m'attendais à ce qu'elle se déroule sur un plus court laps de temps, ce qui m'a surpris mais pas forcément déplu.
J'ai trouvé ce livre très bien écrit. En effet, le style d'écriture de l'auteur m'a totalement charmé mais le schéma d'écriture m'a plutôt désarçonné. L'auteur a décidé de rédiger le livre d'une manière assez spéciale, avec parfois des narrations à la troisième personne et parfois des narrations à la première personne, du point de vue des personnages. Ces changements sont signalés par un titre au début du paragraphe. Cependant, ces modifications de narration m'ont plus d'une fois agacée, oubliant avec quel personnage je devais être quand je reprenais au milieu d'un passage. Cela a néanmoins l'avantage de nous permettre de mieux connaître les personnages et de mieux les apprécier, ou de mieux les détester. Ce style narratif est donc à la fois une qualité qu'il faut estimer, mais, à mon sens, aussi un petit bémol qui complique la lecture.

J'ai lu les 300 premières pages sur 2 jours avant d'en avoir marre. L'histoire est ponctuée de rebondissements, de manipulations, de retournements de situations… Mais tout ça d'une manière assez platonique. Au bout de 300 pages, sachant que les pages ne se tournent pas très vite, j'ai eu l'impression qu'il ne s'était toujours rien passé d'extraordinaire, peut-être parce que la quatrième en dit trop… Certes, le livre est bien écrit et nous tient en haleine mais je lui ai trouvé beaucoup, vraiment beaucoup, de longueurs. C'est pour cela que, passé les 300 pages, j'ai commencé à lire de travers pour abréger ma lecture. Et au final, je ne suis pas si déçue que ça mais je ne suis pas non plus convaincue. Je crois que je ne me suis pas réellement attachée à Théa et Arius, contrairement à d'autres personnages secondaires que l'on voit très peu, voire que l'on évoque seulement. Et je n'ai peut-être pas réussi à rentrer véritablement dans l'histoire. Je n'ai ressenti aucune émotion pour ce livre. Je suis restée assez extérieure à lui, assez indifférente au final... de plus, je n'ai pas trouvé le côté romance assez exploité à mon goût...
En tout cas, beaucoup d'éléments ont su me surprendre passer ces 300 pages. Peut-être aurais-je dû persévérer, mais j'estime lui avoir largement laissé sa chance en lisant assidûment jusque cette limite (300 pages qui ne se lisent pas vite tout de même. Et puis, j'ai senti la panne lecture survenir à cause de mon ennui… du coup, j'ai préféré abréger que de le traîner.)

On ne peut que reconnaître les talents d'écriture de l'auteure. Bien que son schéma narratif ne soit pas des plus simples, elle nous captive grâce à sa plume. L'histoire est bien construite mais très, trop, longue à mon goût… Dommage, ce livre, pourtant acclamé, n'aura pas fonctionné avec moi et je ne compte pas lire le tome 2…

Conclusion

C'est un livre qui comporte d'excellentes qualités littéraires. Sa construction narrative est un peu désarçonnante par moment mais à l'avantage de nous partager les points de vues de différents personnages. Une histoire ponctuée de rebondissements, de manipulations, de plans machiavéliques… qui saura captiver beaucoup de lecteurs mais qui n'a pas eu l'effet escompté sur ma propre lecture. Beaucoup de longueurs, qui ternissent mon appréciation, et des personnages principaux auxquels je ne me suis pas forcément attachée. Un avis en demi-teinte donc mais un livre qui est très apprécié et qui saura peut-être davantage vous satisfaire.
Je le recommande aux personnages qui n'ont pas peur des gros livres qui ne se lisent pas trop vite, aux personnes aimant l'époque romaine des gladiateurs, aux personnages aiment les romans historiques et la romance historique.
Lien : http://freelfe.blogspot.fr/2..
Commenter  J’apprécie          20
J'ai voulu lire ce roman pour le côté historique mais j'ai vu beaucoup d'avis qui disaient que c'était pas trop historique mais plutot une histoire d'amour donc j'ai mis de côté l'histoire et je me suis centrée sur le côté romantique du roman et ça m'a plu.
Peut-être que j'aurais pris le côté historique, j'aurais détesté car il n'y avait rien d'historique mise à part l'empereur qui est un personnage historique mais le reste ne l'est pas tellement. Enfin, on ne sait pas trop si ils ont existé.

J'aimais bien l'histoire de Théa et d'Arius mais je détestais Lepida combien de fois j'avais envie de la voir mourir dans d'atroces souffrances ou qu'on arrête de parler d'elle.

J'aurais aimé un peu plus d'histoire, tout du moins autre chose que les petites notes historiques à la fin du roman pour expliquer le roman et son histoire.

J'ai également vu qu'il y avait une suite, je pense que je ne la lirais pas. J'ai bien trop peur de tomber sur une histoire qui ressemble étrangement à celle-ci.
Lien : http://sayyadina.over-blog.c..
Commenter  J’apprécie          00





Lecteurs (501) Voir plus



Quiz Voir plus

Le réseau Alice

Quelle est l'arme qui a ravagé les mains d'Eve Gardiner?

Un buste de Baudelaire.
Un pistolet Luger.
Un plateau de service.
Une lampe de lecture.

4 questions
2 lecteurs ont répondu
Thème : Le Réseau Alice de Kate QuinnCréer un quiz sur ce livre

{* *}