La Maîtresse de Rome

Fascinant ! Prenant ! Emouvant ! J'ai adoré !Il est vrai que l'histoire est parfois dure et sanglante mais quel magnifique roman. Et, quels personnages...Je recommande sans aucune réserve.

Théa est une esclave juive d'une quinzaine d'années. C'est un personnage que l'on ne peut qu'aimer. Elle est forte tout en ayant une certaine fragilité en elle. Arius est un gladiateur, je dirais même que c'est LE gladiateur. C'est un personnage très charismatique mais aussi très difficile à décrypter. Il est froid, colérique et parfois à la limite de l'humanité.
Il y a beaucoup de personnages secondaires et c'est parfois compliqué de s'y retrouver. Ce qui est sûr, c'est qu'ils ne laissent pas indifférents. Par exemple, Dame Lepida et Domitien sont détestables dans le genre manipulateur et machiavélique. D'autres personnages sont, eux, bien plus sympathiques : Sabine, Vix ...
Ce qui m'a déplu, c'est la temporalité. le récit se déroule sur une vingtaine d'années ce qui permet de développer beaucoup de choses. Et c'est là que cela coince. C'est vraiment long et plat. Pour être honnête, j'ai adoré la dernière partie qui correspond plus ou moins aux sept dernières années du récit. On ne va pas se mentir, c'est un pavé qui a de quoi décourager.
Bref, c'est un bon livre si on arrive à passer au dessus des longueurs du début. C'est assez prévisible mais, il réussi à nous surprendre avec des rebondissements réguliers. C'est un texte qui mérite qu'on s'accroche mais en même temps, il fait peur.
Lien : http://chroniquesmerveilleus..

Livre passionnant qui se déroule quelques années après le précédent, durant le règne de Domitien, soit dans les années 80 et 90 de notre ère. Entre temps, avaient régné Vespasien, son fils Titus puis son frère Domirien.
L'histoire raconte le destin d'une esclave juive, Théa, qui tombe amoureuse d'un gladiateur, Arius, et qui auront un fils, Vix. Mais que d'embûches se dressent sur leur chemin, dans ce monde à la fois civilisé et violent, dans cette société reposant sur l'esclavage, le culte des dieux, les offrandes, les jeux, le goût du sang…
Théa, qui voit en secret Arius, sera vendue, deviendra prostituée puis chanteuse et retrouvera Arius des années plus tard alors qu'elle deviendra la maîtresse de cet empereur bon guerrier mais cruel, et tous fomenteront avec l'impératrice qui n'est autre que Marcella du tome précédent, l'assassinat de Domitien et la préparation du règne du futur empereur Nerva.
Livre qui tient donc en haleine, où tous les personnages ont l'air si vivants, où on plonge comme si on y était dans ce monde si différent du nôtre.
Suivons donc la lignée de ces puissants de ce monde, avec le même intérêt, espérons le.

J'ai été très agréablement surprise par ce premier roman de Kate Quinn que j'avais découverte avec le code rose.
Alors soyons clairs, c'est un roman historique et pas un traité d'histoire. Si on cherche à parfaire ses connaissances historiques sur la Rome du 1er siècle on se tournera vers des auteurs plus sérieux.
Mais Kate Quinn nous immerge dans cette époque avec beaucoup de talent. Ses personnages sont attachants, les décors hauts en couleurs, l'histoire est romanesque sans trop basculer dans le cucul-la-praline et j'ai beaucoup aimé à la toute fin la liste des personnages historiques/ inventés, ce qui donne envie de creuser un peu plus par soi-même.
Bref, on passe un bon moment de lecture pas totalement futile.

J'ai adoré!! L'histoire est prenante, des personnages très intéressants. Complots, coups bas, sang et bien sûr une belle histoire d'amour entre un gladiateur et une esclave font de cette histoire un roman à ne surtout pas manquer. Il manque un soupçon d'amour charnel mais franchement on peut s'en passer vu la qualité de l'histoire.
Les fans de la série Spartacus comme moi se régaleront et verront en la détestable Lepida la blonde Ilithyia.
Je lirai sans aucun doute la suite.

Fabuleux. Magnifique. Superbe. Ces trois adjectifs conviennent à merveille pour décrire cet ouvrage.

Au départ, je l'avais acheté parce que le résumé m'intriguait. Comme je n'avais jamais lu un livre sur la Rome Antique... je craignais que cela tombe dans la catégorie "ennuyeux". Sauf que... Grave erreur ! Ce ne fut pas le cas. Et tant mieux ! Ce livre... Dès les premières lignes, je me suis sentie happée par l'histoire, suivant le quotidien de Théa, l'esclave farouche. Je l'ai adorée dès le début. J'ai été fascinée, tout comme elle, par le Barbare. Ce dernier est tout simplement remarquable, il m'a tellement touché ! A travers son histoire, ses mots, sa relation avec Théa... Ces deux là s'avèrent extrêmement touchants. Ils ne tombent pas dans le cliché en ce qui concerne leurs caractères, ils sont suffisamment profonds pour paraître humains. Tous les personnages le sont, d'ailleurs, chacun à leur image. J'ai adoré Sabine, qui est trop mignonne ! Sa relation avec son père est touchante, et avec Vix... Je n'en dis pas plus, mais ça promet !

Autre point important : l'écriture. L'auteur ne nous livre pas des paragraphes énormes, lourds et pénibles. Non, le récit est fluide et agréable. Il y a suffisamment de détails pour pouvoir imaginer les décors. Les scènes de combat sont merveilleusement décrites, on s'y croirait presque ! L'histoire est prenante, on voyage aux côtés de Marcus, Arius, Théa, et même Lepida. Celle-ci se révèle être un personnage affreux, mais authentique. C'est une femme incroyablement vicieuse, séductrice aux valeurs plus que douteuses, mais c'est une adversaire redoutable. A la fin du livre, je n'ai pu qu'avoir un sourire en voyant la fin de son histoire... D'ailleurs, en parlant de fin ! Cette dernière convient parfaitement, je n'aurais pu rêver mieux. Malgré tout, il reste quelques incohérences. A part ça, c'est tout bonnement super. Mais aucun roman n'est parfait, n'est-ce pas?

Pour conclure : Une histoire prenante, des personnages attachants et variés, un style d'écriture plaisant, une Rome des plus passionnantes. Qu'attendez-vous ?
Lien : https://le-blog-d-eleanara.b..

Un roman que j'abordais comme historique mais au final, il aura plus été question de romance que d'histoire dans ce récit. Théa, une jeune juive rescapée d'un massacre est vendue comme esclave à une jeune noble romaine. Arius a été vendu à une école de gladiateur et s'il se révèle extrêmement doué au combat, son caractère rebelle lui attire les foudres du puissant César. Lorsque Théa et Arius se rencontrent, une idylle se forme mais c'est sans compter sans la jalousie et les jeux de pouvoir qui s'opèrent à Rome.
J'ai aimé la partie qui retrace les conditions de vie des esclaves de la noblesse romaine. L'auteure a pris le temps de bien dépeindre la servitude dans laquelle est plongée Théa. C'est également le cas de sa maîtresse, Dame Lepida Pollia qui, en dépit de son statut social et de son caractère de petite fille gâtée, est bien obligée de se soumettre aux hommes. de même, l'auteure a bien décrit la vie à l'école des gladiateurs, les jeux du cirque et la fièvre qui s'empare des spectateurs à chaque combat.
Pour autant, la deuxième partie du récit m'a paru moins crédible. L'ascension de Théa, en qualité de favorite de l'empereur, les complots visant à détruire l'empereur, la psychologie même des personnages qui évoluent autour de Lepida Pollia, j'ai trouvé l'ensemble assez scabreux. Pas mal de pirouettes de la part de l'auteure fleurissent un peu partout à la fin du roman.
Le rythme est bon et reste égal durant tout le récit.
Cela n'aura pas suffi à maintenir mon intérêt, en raison principalement de la psychologie des personnages assez incohérente et peu crédible.

Conquise! c'est le sentiment ressenti quand j'ai refermé " La
maîtresse de Rome". Bercée très tôt par les histoires de l'Antiquité, Kate Quinn s'est naturellement penchée vers l'écriture pour partager son goût de l'Histoire.
Tout commence au premier siècle après J C lorsque Domitien est au pouvoir.
La femme du sénateur Marcus, Lépida Pollia, ambitieuse et méprisante s'entiche du gladiateur Arius. Malheureusement pour elle, son esclave juive Théa aura les faveurs du Barbare. S'ensuivent une rage et une jalousie qui poursuivront le parcours de Théa qui grâce à sa voix deviendra pendant cinq ans la maîtresse de l'empereur.
Ce premier roman de Kate Quinn est une réussite car les clichés sont abolis pour laisser place à un récit qui instaure des jeux de trahisons, de secrets et de complots. Même l'histoire d'amour penche vers le réalisme.
Les personnages sont la plupart imaginaires mais le portrait du cruel Domitien est fidèle à la description de Suétone.
Ce sont donc le sens du détail et l'accélération de l'action qui m'ont convaincu du talent de Kate Quinn.
Un roman divertissant dont les personnages ne s'effaceront pas si facilement de ma mémoire.

J'ai eu du mal au début a rentrer dedans ( le lecteur est jeté dans le récit tel un gladiateur dans l'arène ), du sang, de la violence...mais j'ai persévéré et j'ai fini par sincèrement m'attacher aux personnages, Domitien et Lepida en font partie, bien qu'antipathiques, ils sont particuliers voir fascinants. J'aime les livres qui me font voyager et celui-ci vous embarque dans la Rome antique et c'est réellement intéressant de découvrir ce pan de l'histoire. Je suis conquise donc je vais attaquer la suite avec "L'imperatrice des sept collines" et j'espère découvrir d'autres choses sur les romains.

Lien : https://chutellelit.wordpres..