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Citations sur Zona Frigida (122)



Sa tête faisait la largeur de mon évier, ses pattes avaient la taille de mes coussins de canapé. C"était le genre d'ours qui, à deux mètres d'une plaque de glace, jaillit hors de l'eau en l'espace d'une seconde pour se jeter sur un phoque.
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Elle avait envie de rencontrer un ours blanc, mais il fallait qu’il soit inoffensif. Rien ne devait être dangereux, seulement extraordinaire, exotique et surtout écologiquement correct….



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Tant d’hommes ont été estampillés courageux, uniquement parce que leur intelligence était rudimentaire.
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Tout penaud Frikk regardait le phoque sur la plaque de glace, incapable de profiter du spectacle dans la mesure où il ne pouvait pas le photographier
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Des gens qui en avaient assez de monter à dos de chameau en Egypte, de se promener en gondole à Venise , ou d’écouter avec un mélange de peur et de jubilation , les sirènes de police devant Manhattan . Pour leurs amis un voyage comme ça devait être follement exotique et valoir largement son prix exorbitant
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Je me sens toujours mal à l’aise avec les Japonais et leurs sourires automatiques qui semblent venir de je ne sais où, sans raison apparente . Comment font-ils quand ils sont vraiment heureux ?
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Un oiseau s'est posé devant nous. Il ne faisait plus qu'un avec le paysage, seuls se détachaient ses pieds et son bec rouges.
-Une sterne arctique, a reconnu Frikk à la vue du volatile qui agitait gaiement sa queue en faisant des mouvements rapides de tête.
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Nous longions une immense plaque de glace à tribord. Un mur de glace sans aucune terre ferme en vue. J'ai regardé derrière nous : que de la glace. Devant nous : que de la glace. Impossible de voir la hauteur du mur. Les oiseaux dans le sillage du bateau ne pouvaient pas nous renseigner. J'ai essayé de suivre le mouvement des vagues, dans l'espoir de mesurer le moment où elles se briseraient au sommet. Peine perdue.
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-Rorquals communs en vues !
Cinq de ces mamifères suivaient le bateau. Dana était si excitée tout à coup qu'elle a failli passer par-dessus bord. Elle était bien du genre à décorer son agence de mannequins avec des posters de queues de baleines fendant l'eau.
-Ils sont sacrément gros ! s'est écrié Oscar.
-Plutôt petits pour des cétacés, a rectifié Strian, en connaisseur.
Ils nageaient en formation, à bâbord. Leurs dos ressotaient de l'eau, on aurait dit des ailerons de requin. En expirant, ils rejetaient l'eau en l'air grâce à leur évent, avec un effet de douche et en produisant un formidable sifflement, avant que leur évent se dilate et prenne à nouveau de l'air, et que le dos plonge dans la mer.
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Je n'avais pas été préparée au spectacle qui s'offrait à mes yeux : les maisons, accrochées au flanc de la colline, les gens, la saleté. Drôle d'ambiance. Des enfants sur le quai faisaient la manche, leurs mains sales tendues vers nous.
Une toute petite bonne femme russe nous attendait avec impatience. ses vêtements avaient l'air de dater des années 1960. Doudoune bleu clair, pantalon polyester, pull à col roulé acrylique, bijoux de pacotille, fard à paupières vert cru et beaucoup trop de blush.
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