Citations sur François Le Petit (41)
Un jour d'autrefois, elle l'avait invité à noël chez ses modestes parents, il en ressortit en disant : sont pas jojos, les Pompatweet!"...............
..............." En réalité notre souverain n'aime pas les pauvres. Lui , l'homme de gauce, dit en privé les sans-dents, très fier de ce trait d'humour. "
François-le-présompteux ne fut point exemplaire ne fut pas exemplaire envers la marquise de Pompatweet. La nuit qui précéda la parution de l'explosif torchon, il la passa à se demander comment détourner ce mauvais coup.
Notre pittoresque monarque ne voulait rien entendre qui puisse le troubler. Il avait perdu en route les conseillers qui le tiraient vers sa gauche et il ne s'indignait plus des salaires misérables.
(Le crétin wahhabite) Il se coiffe d'une serviette de brasserie à carreaux rouges et blanc, porte à la ceinture le poignard courbe made in Japan, est totalement dépourvu d'humour au point que la vue d'une caricature le met en transe....
Le crétin wahhabite prolifère en Arabie où il est né à proximité des lieux saints, ce qui lui a dérouté le cervelet.
Le mariage! Un sacrement! Ces gens de foi qui croyaient dur que la Vierge Marie avait donné vie à un divin poupon sans avoir été troussée, ne fût-ce par le Saint-Esprit, l'Archange Gabriel ou son mari, faillirent s'étrangler:
les mots racistes n'étaient plus interdits, et la fange si longtemps contenue sortait pour tout contaminer. Les mots surgissaient sans retenue, et n'importe qui se sentait autorisé à user de l'ancien vocabulaire des colons, qui se croyaient civilisés parmi des hommes de bât.
Ainsi allait la vie chez les hommes vieillissants qui sentaient la rouille manger leurs os; ils avaient l'impression rassurante de rajeunir au contact de compagnes plus jeunes que la précédente, et tant pis si la différence des âges se creusait chaque fois davantage. Mon prestige, pensaient-ils, contribue à ce qu'on oublie mes cheveux teints.
Cloisonnés frileusement, groupés entre eux et se reconnaissant comme les membres d’une secte, la plupart des énarques ne savaient guère écouter, ne l’ayant jamais appris. En costumes anthracite ou en jupes noires, ils portaient un uniforme et sortaient d’un moule unique. C’était une élite conformiste. À vingt-cinq ans ils rejoignaient un grand corps de l’État sans avoir jamais rien prouvé. Sous François IV, le Château et les cabinets ministériels en étaient surpeuplés.
C’était en 1981, un soir du mois de mai. Le roi Mitterrand venait à peine de s’installer sur le trône. Aux chiffres il préférait les lettres, et savait se ménager des moments précieux où, tombé dans un fauteuil, il feuilletait en souriant le journal de M. Jules Renard qu’il appréciait tellement. Il lisait : « Il y a des moments où tout réussit. Il ne faut pas s’effrayer : ça passe. » Ou : « Les gens sont étonnants ; ils veulent qu’on s’intéresse à eux. » Il avait toutefois choisi le pouvoir et devait l’exercer, c’est-à-dire se pencher gravement sur l’économie brinquebalante du royaume. Des savants tentaient de le séduire avec leurs équations auxquelles il ne comprenait rien. Il les écoutait mais son esprit vagabondait.