Le journal intime de Georgia Nicolson, Tome 8 : Un gus vaut mieux que deux tu l'auras

Le père, qui a perdu souvenance de l’épisode toas-tesque, enfourche ce
nouvel équidé de bataille en beautitude. Or, tout un chacun est au jus que
l’homme n’excelle pas dans le domaine.

J’ai ma fiertitude, Notre Seigneur en soit remercié. Nul quidam ne peut me
la retirer. Pas question de solliciter nouvellement dame Frangette, surtout si
elle est en gavage d’œuf.

Ses questions sont quasi estampillées bonne qualité, le mode est gracile et elle réussit le prodige de ne pas mentionner mon blaze.

Je ne pose pas l’interrogation en quête de connaissance, je veux seulement
qu’on en arrive à ce qu’il advint après mon départ und aux commentaires de
la population sur ma personne, und ainsi de suite.

On vit en monde de félidé boulotteur de canidé.

Si ça se trouve, il en pince toujours pour elle. Elle a peut-être un truc qui
lui plaît secrètement. Il y a des gus portés sur l’échalas.

Par le truchement de l’initiative und expérience scoutale (dont je suis épourvue et ne serai jamais pourvue), je compte réduire l’échelle en brasero dans le dessein d’envoyer des signaux de fumée devant la croisée de Jasounette.