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Livre différent dans son style d'écriture par rapport aux autres collections ( vampires, sorcières ) beaucoup aimé ce livre. Une lecture très facile et très agréable à lire. A lire absolument
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Comme beaucoup j'avais lu - et adoré - "Entretien avec un vampire", du même auteur. Et je dois avouer que la 4ème de couverture m'avait séduite. J'étais donc très curieuse de découvrir ce roman.

On retrouve la plume si particulière d'Anne Rice, qui fait toute la beauté d' "Entretien avec un vampire" mais qui, selon moi, dessert "Le violon". L'auteur flirte avec brio avec la folie du personnage mais à tel point qu'elle en perd le lecteur.



J'ai beaucoup aimé la deuxième partie du roman où on découvre l'histoire de Stefan et de son violon mais j'avoue être totalement passée à coté du reste du livre, malheureusement.

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Une charmante histoire agréable mais qui au final ne laisse pas de traces.
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Bon, je n'ai pas accroché... J'aimais beaucoup Anne Rice quand j'étais ado, elle m'a emporté dans le tourbillon de ses vampires, puis avec ses sorcières...Et là, flop...Au début, je me suis fait un peu violence, ce n'est pas mal écrit, et puis ça allait peut-être démarrer, m'accrocher... Mais non, trop de tristesse, d'apathie, de ficelles déjà utilisées... Je suis déçue. Sans doute ne suis-je plus réceptive à son écriture, et passée à coté de l'intérêt du roman.
Pourtant le personnage principal me semblait intéressant, et j'étais impatiente de voir comment la musique allait être traitée, mais au final je n'ai rien trouvé de vraiment original. Tant pis...J'avoue que j'ai fini par le lire en diagonale, sacrilège !
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Plus jeune, j'adorais Anne Rice... Maintenant, je pense que ce n'est plus le cas et ce livre m'y a conforté. Habituellement, lorsqu'un livre ne me plaît pas, je vais jusqu'à la moitié et je le ferme. Il me semble que c'est la première fois où je comptais nerveusement les pages jusqu'à arriver à la moitié et pouvoir arrêter la lecture la conscience tranquille...
J'ai détesté la narration au "je" qui passait d'un langage trop soutenu à trop léger. Si soutenu qu'on ne sent aucun naturel et qu'on se demande comment quelqu'un pourrait VRAIMENT s'exprimer de la sorte.
J'ai aussi profondément détesté le style général parce que ce n'est qu'une complainte longue et lancinante de l'héroïne qui se voit comme une martyr et qui s'affuble toutes les peines du Monde. Je ne sais pas pourquoi Stefan essaie de la faire descendre dans la folie et la pousse à trouver sa vie horrible : elle le fait déjà malgré ses nombreux démentis.
Elle passe son temps à revenir en arrière sur des pans de son passé. Les mêmes, tout le temps... Je pense à sa mère alcoolique dont elle s'en veut de la mort, qu'elle nous rappelle environ toutes les cinq pages. Et même à une page qui m'a fait particulièrement serrer les dents à spécifier à chaque fois qu'on voyait un personnage qu'il était le mari de sa soeur. On l'avait compris la première fois.
C'est donc avec déception que j'ai refermé ce Anne Rice et n'éprouve nullement l'envie d'en rouvrir un alors que j'avais été tellement bercée par son écriture dans ma jeunesse.
Lien : http://angelscythe2.eklablog..
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livre de chevet
littérature gothique moderne
Bien longtemps que je n'avais plus ouvert un Anne Rice... Comme beaucoup, je me suis passionnée pour "la chronique des vampires" et "les sorcières de Mayfair"... mais au fil du temps, un peu décroché.

Très différente des histoires de vampires, Anne Rice nous fait vivre ici non pas seulement une histoire de "fantôme" mais aussi une histoire très "humaine" dans laquelle nous suivons l'histoire de l'héroïne de très près.

Anne Rice, par sa façon d'écrire, nous décris parfaitement un état d'esprit particulier, celui de la perte d'un être cher.

Cet état d'esprit est très bien calqué par le fait que rien n'a vraiment de sens. Les pensées viennent sans qu'on ne les invites, les souvenirs ressurgissent par un mot, un objet... et rien n'est ordonné. Et pourtant rien d'autre n'a d'importance. le présent est accessoire.

Très bon style d'écriture, très réaliste. A côté de cela, on retrouve aussi le désormais traditionnel "bel homme mystérieux" qu'Anne Rice intègre dans chacun de ses romans.


Résumé :

Alors qu'elle veille le corps de son mari qui vient de mourir du sida, Triana entend une musique d'une incroyable beauté.

Par la fenêtre, elle aperçoit un étrange violoniste qui joue devant sa maison avant de disparaître.

Un séduisant virtuose qui, jour après jour, va revenir la hanter.

Est-elle, comme le craignent ses proches, en train de sombrer dans la folie ? Ou sa douleur l'a-t-elle sensibilisée à l'existence d'un autre monde ?

Peu à peu, elle accepte la réalité de ce fantôme au stradivarius qui semble n'avoir d'yeux que pour elle, entame le dialogue avec lui.

Mais qui est donc Stefan Stefanovsky, aristocrate russe du siècle dernier, élève de Beethoven et ami de Paganini ? Un être génial et démoniaque qui nourrit sa musique de ceux qu'il entraîne dans son univers morbide ? Ou une âme errante et tourmentée, elle-même ensorcelée par un violon maléfique ?
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Et Anne Rice apporta l'ennui ...
J'ai lu pas mal romans d'Anne Rice. Certains étaient extraordinaires ( Entretien avec un vampire reste un bijou ) et d'autres beaucoup moins bon.
Mais je n'avais jamais lu le violon. Et grand bien m'en a pris.

Le violon représente tous les travers d'Anne Rice. La narration est lente, prétentieuse, lourde mais aussi particulièrement maladroite.
Au final si je devais résumer l'histoire ça serait : Une femme perds son mari et rencontre un fantôme à qui elle vole son violon.
Tout y est absolument cliché, l'héroïne est incompréhensible et pétrie d'ennui.
Le roman mets littéralement 150 pages avant de commencer. On a des tartines de malheur gothique qui s'allllllllongent au possible.

Pour l'instant, c'est le pire roman de l'auteur que j'ai pu lire. Les derniers qui étaient parus m'avaient semblé bien moins bon ( j'ai lu le domain Blackwood il y a une éternité ) mais jamais je n'avais eu cette sensation de langueur. J'ai eu du mal à lire le livre bien qu'il ne s'étale que sur 350 pages. Ca faisait longtemps que je ne m'étais pas demandé si j'allais arrêter un livre en cours de lecture d'ailleurs.

Au final, je ne le conseille pas. Ni aux fans ni aux profanes, ce livre n'a que peu d'intérêt et l'auteur a écrit beaucoup mieux.
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J ai vite refermé ce livre pour m atteler au suivant . Une femme restant enlacer son cadavre de mari, mort su sida et ayant des hallucinations auditives pouvait etre prometteur mais je le trouve si mal rédigé avec trop de répétitions et de delayage que j ai laissé tomber bien vite.. pourtant j avais bien aimé la saga entretien avec un vampire et m attendais a un style vif et trépidant. Dommage
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Écriture riche pleine et subtile (VO). Anne Rice est assurément une grande écrivaine. Bonne histoire baroque/fantastique sur fond hypnotique de musique classique. Trop de similitudes cependant avec Taltos, autre ouvrage, autre fantôme...
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J'ai aimé les 100 premières pages , pour l'originalité, l'approche de la mort et la folie. La suite ne pas emballé, le fantôme violoniste est trop bien pour être vrai, tout cet argent qui trempe dans la luxure ne m'intéresse pas.
Désolé, j'essaierai un autre écrit de Anna Rice plus tard
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