La Mémoire des Murs

Pascaline, 40 ans, bonne qualification, divorcée, emménage dans un nouvel appartement qu'elle aime beaucoup. Elle va vite découvrir qu'un crime s'y est déroulé.

Prise d'insomnies et de malaises, elle déménage à nouveau. Mais cet incident ne va pas la laisser indemne. Elle reste obsédée par ce qui s'est passé dans l'appartement qu'elle occupait précédemment et toutes ses fragilités vont remonter à la surface… Jusqu'à atteindre le point de non-retour.

Oui bon, pas plus emballée que ça, bien que j'aie beaucoup aimé « Sarah » du même auteur et que je vous recommande. En fait, cette histoire me semble trop invraisemblable.

Vite lu, vite oublié.

Les murs impriment-ils nos joies, nos peurs, nos faiblesses, nos actes, nos épreuves ?

Pascaline, divorcée, la quarantaine, seule .... très seule, nouvellement installée dans un appartement, n'est pas aussi sereine et épanouie qu'elle escomptait.
Nausée et malaise apparaissent rapidement, la perspective de sa nouvelle vie va être bouleversée par l'horreur vécue de cette jeune fille assassinée dans la chambre même où elle s'installe.
Plus réceptive, plus sensible que tout un chacun, Pascaline bascule dans l'obsession, la dépression, la folie.
Comprendre qui, pourquoi, comment.
Les questions s'accumulent sans apporter de réponses concrètes à son mal-être, sa douleur, alors elle sombre inlassablement malgré son entourage, bien que frêle.

La quatrième de couverture m'enthousiasmait quant à la supposée intrigue psychologique, le début est des plus prometteur, puis les répétitions s'enchainent, un malaise s'installe petit à petit, trop glauque à mon goût, cet excès de voyeurisme de la protagoniste m'a filé des nausées à moi aussi.
Et puis j'ai relativisé, l'obsession, la dépression et la folie créent souvent ce malaise, dérangent.
Bref excepté quelques redondances, ce roman ne laisse pas indifférent.

L'idée de départ m'avait beaucoup attirée, à savoir la sensibilité que l'on peut ressentir dans un lieu.
S'y sentir bien ou mal sans que l'on sache pourquoi, comme une force qui agit en vous.
C'est ce qui arrive à notre protagoniste, Pascaline.
Elle découvrira qu'un meurtre a été commis dans la chambre de son nouvel appartement.
Un assassinat commis par un tueur en série.
Commence alors une traque sur les faits commis par ce monstre jusqu'à l'obsession.
Petit à petit, on découvre qu'elle rattache cela à son parcours et à un événement qui l'a marquée à vie et dont elle n'a pas su exprimer ses pensées, les plus terribles soient elles.
Cette quête de la vérité va-t-elle lui faire retrouver la raison ou au contraire la faire sombrer d'autant plus dans la folie ?
Je vous laisse le plaisir de le découvrir.
Pour ma part, c'est avec une pointe de déception que j'ai refermé ce livre. J'aurais souhaité que l'auteur développe plus l'aspect psychologique de Pascaline.

Pascaline, fraîchement divorcée, vient de s'installer dans l'appartement de ses rêves… Seul bémol : elle fait des cauchemars horribles, elle ne dort presque plus… Quelque chose se passe ou s'est passé dans sa nouvelle chambre. Effectivement, Pascaline découvre qu'une jeune fille a été sauvagement assassinée, par un tueur en série, dans cette pièce. Elle se donne alors pour objectif « vital » de se plonger dans cette sinistre saga de meurtre.

Le style est agréable, assez simple et très imagé. L'histoire, quant à elle, est un peu trop survolée à mon goût. Elle aurait mérité plus d'approfondissement, une exploration de l'angoisse plus fouillée peut-être. Il me semble que cet ouvrage se situe entre le roman et la nouvelle...
J'ai apprécié ce livre, mais je n'ai pas eu de « coup de coeur »… Peut-être que mon prochain de Rosnay me passionnera plus !

Grand bouleversement pour notre héroïne ; après sa séparation, Pascaline tente de reprendre sa vie en main : nouvel appartement, nouvelle décoration, nouveau look. Cet appartement, elle l'a voulu, il est beau et elle s'y sent bien, mais le soir venu, un malaise s'installe et un sentiment d'angoisse l'oppresse. Que s'est-il passé en ces lieux ? La réponse va la plonger progressivement dans la folie, réveillant en elle un drame ancien qu'elle essaye de taire.

Même si je n'ai pas totalement adhéré à cette histoire, je me suis par contre laissée entraîner dans cette spirale de la folie. J'ai craint Pascaline, mais j'ai aussi eu peur pour elle et peur pour les autres. Au fil des lignes, la tension est de plus en plus palpable et jusqu'à la dernière ligne, j'ai été tenu en alerte

2eme roman que je lis de cette auteure et encore une fois déçue, au moins celui-ci a l'avantage d'être très court. J'ai trouvé l'intrigue décousue, cette obsession complètement déplacée pour ces jeunes filles, ainsi que les pensées de Pascaline. L'écriture donne un certain rythme à la lecture cependant tout cela n'est pas très profond, tout est confus. Trop de similitudes avec "elle s'appelait Sarah" que je n'avais pas aimé justement... j'ai encore un de ces romans dans ma PaL, pas sûre qu'il en sorte rapidement.

C'est une histoire déchirante qui se passe entre les murs du nouveau logement de Pascaline, et celle encore plus terrible dans l'antre de son cerveau, de son souvenir et de son coeur.

Comment des souvenirs peuvent ils s'enfouir aussi profondément dans le cerveau de Pascaline sans arriver à remonter à la surface à moins de leur donner un coup de pouce.

Comment arriver à survivre après cette tragédie rangée dans un tiroir quelconque de son être afin de pouvoir continuer à se lever le matin.

Comment, alors, éviter l'amalgame entre une série de meurtres qu'elle découvre par le plus grand des hasards et le drame vécu, puis refoulé, qui l'aspire totalement au point d'en arriver à l'inévitable.

C'est l'histoire d'une douleur insupportable mise à nue. C'est le récit poignant d'une impossible, et pourtant bien réelle, chute vers le néant.

Ceci dit, beaucoup de longueurs qui auraient pu être évitées et qui non seulement n'amènent pas grand chose au récit, mais sont un peu déstabilisantes : ne serait-ce pas en fait, malgré l'indication de ce livre en tant que fiction, une histoire écrite en s'inspirant de tragiques faits réels ? Si tel est le cas, je déplore profondément que l 'auteur s'en soit inspirés pour écrire cette histoire, sauf si ce récit avait valeur historique - ce qui ne semble pas être le cas.

Le livre est plat, il ne se passe rien.
Pascaline a un côté insupportable avec les remarques constantes du «  je suis belle mais je ne le sais pas ».
Malgré le fait que l'écrivaine soit une femme, il y a beaucoup de propos machiste dans le livre.
Il y a également beaucoup de répétitions. Même si l'auteur a voulu le faire pour symboliser la folie de la protagoniste,, cela reste très lourd à lire.

Ce livre a certainement d'excellente qualités littéraires car l'auteure nous raconte l'histoire d'une femme qui sombre dans la folie. le roman est vraiment bien construit, l'histoire est bien menée... Mais c'est vraiment un roman bizarre, qui ne m'a pas vraiment convaincu. Je n'ai pas réussi à m'attacher à Pascaline et ce livre m'a paru trop étrange pour qu'il me plaise... Néanmoins, il faut reconnaître que le but de l'auteure est atteint... Mais c'est quand même un livre bizarre, un peu dérangeant...
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Et bien je n'ai pas accroché à cette histoire !
Je n'ai pas adhéré à la psychologie de ce personnage. Pascaline est restée du début à la fin une étrangère bizarre agissant de façon bizarre. Bon d'accord c'est un peu, même complètement ce qu'elle est. Mais ce que je veux dire par là, c'est qu'elle ne m'a pas entraînée dans sa folie. Je n'ai rien ressenti face à elle, face à son attitude : ni étonnement, ni choc, ni compassion… rien. Et pour une femme qui se met en tête de faire un pèlerinage sur les traces des victimes d'un tueur en série, bah c'est un peu paradoxal, je trouve.
Je ne peux même pas dire qu'elle m'a exaspérée, non, elle était simplement… sans consistance.
Et puis les personnages secondaires, ils sont encore plus fades qu'elle.

Quant à la fin du roman, il m'a laissée plus que perplexe. Je ne vois vraiment pas où elle a voulu en venir. Une suite ? Mais je ne vois vraiment pas quelle suite on pourrait donner à ce roman !

Le point positif de ce roman, est qu'il se lit assez vite, non seulement parce qu'il est court, mais également parce qu'il n'y a pas de longueurs, ou plus exactement de redondance.

Je sais, j'ai déjà fait plus étoffé comme critique. Mais il y a des livres où l'on a beau chercher, on ne sait trop ce qu'on pourrait en dire tant ils nous semblent insignifiants. Comme celui-ci.
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