Harry Potter, tome 5 : Harry Potter et l'ordre du Phénix

Très frustrant. L'auteure est très douée lorsqu'il s'agit de créer des personnages atypiques, de surenchérir dans l'invention de nouvelles idées magiques ou de nouveaux lieux à découvrir comme le Ministère de la magie ou l'hôpital Ste Mangouste.

Cependant, elle ne maîtrise pas du tout l'intensité qu'elle veut donner aux scènes d'actions. Tout semble illogique et en totale contradiction avec la dimension horrifique qu'elle veut donner aux antagonistes comme Béatrix Lestrange, une folle sans pitié. La fidèle de Voldemort arrive à se faire mettre en déroute, accompagnée d'une pléthore de Mangemorts, par des ados à peine capable de lancer 3 sorts de défense et inaptes à transplaner.

JK Rowling se fait toujours rattraper par une psychologie féminine qui finit par exaspérer parce qu'elle ne va jamais au bout des choses.

Dumbledore - qu'elle décrit pourtant à travers tous les tomes comme étant le plus grand de tous les sorciers dont les pouvoirs sont illimités - arrive toujours après la bataille ou doit compter sur l'aide d'Harry Potter. En clair, il n'a aucune réelle utilité, tout comme les protagonistes de l'ordre du Phoenix. Ses sermons prudents de fins de tomes pour nous expliquer tout ce que le héros n'a pas été en mesure de comprendre depuis le début finissent par devenir insupportables. C'est une solution trop simple pour corriger tous les défauts.

Un tome trop long et trop court à la fin : beaucoup de révélations !

Bon un tome de plus de notre HP lu sur la plage de l ile Maurice et oui cela en gete un max).
(d avence desolee ici clavier qwerty donc pas d accent ni rien de pratique pour le franchiouillard de base )
Enfin bon passons, je m ennui en attendant l avion donc lets go ^^.
Un tome long, le plus long de la serie si j ai bien comprie... et heureusement.
En effet on a droit a un tome ouv il se passe quasiment pas d action, de la parlote ok, de l evolution dans l histoire ok mais alors a part sur les 100 derniere page il ne se passe pas grand chose de vivant dans ce tome et c est tres dommage. En effet de base on prend du fantastique pour voyager dans l immaginaire, voire des bestiol;es improbable au milieu de sorcier debordant de sortilege des plus surprenant... et la on reste un peut sur notre faim, apres un tome 4 riche et plein de reve le 5 laisse malheureusement un gout au fond de la gorge pas tres agreable>
On verra se que nous reserve la suite mais la on appuie pas assez sur certain fait ( comme le role d Ombrage qui est survoler, alors qu on s apesentie encore et toujours sur la colere de HP povre goss de 15 ans boudeur et dragueur comme un pot de yaourt soit dit en passant qui devient vite lassant)

On verra se que donne le suivant... un jours peut etre>
Et le qwerty c est vraiment une connerie...

J'ai moins aimé ce livre par rapport aux précédents.
Mais ça n'a aucun rapport avec le fait que Beauxbatons a appris pour le renvoie de mon ami Vincent.
Surtout qu'ils ont très bien pris la nouvelle, apparement ils détestent Poudlard, mais je ne sais pas trop pourquoi...

Comme pour chaque livre, la seule question qui subsite une fois la lecture achevée est de savoir s'il m'a suffisamment plu, interpellé, questionné ou émerveillé pour que je souhaite me replonger un jour dedans et parcourir une nouvelle fois ses pages. La réponse est oui, me voilà piégé par la nostalgie et l'envie de me replonger dedans bien que ce tome 5 ait été pour moi à l'origine de l'arrêt de la lecture de cette saga à l'époque

Le seul livre de la série dans lequel l'auteure ose un point de vue ou une critique entre géocentrisme culturel et/ou racisme. Je m'étais déjà tellement ennuyé à la lecture des précédents hors mis peut être le premier de la série que les trois pages sur ce professeur Centaure m'ont surpris, pris à contre pied. Il ne suffit pas d'écrire une histoire en délayant le fil pour captiver un lecteur. Cela reste de la littérature pour enfants.

Ce tome est le moins intéressant des sept. Car il est complètement gâché par l'insupportable Dolores Ombrage. Personne ne croit Harry quand il dit que Voldemort est revenu. Était-ce bien nécessaire.

Si La Coupe de Feu est mon tome préféré, L'Ordre du Phénix fait partie des livres qui fâchent. À plusieurs reprises, le bouquin a failli voler à travers la pièce et ce pour différentes raisons.

La première, et pour le côté vraiment réussi, c'est l'injustice qui continue et qui fait vivre à Potter des heures plus sombres encore que celles qu'il a déjà vécues. C'est remarquable de déclencher des sensations aussi fortes, qu'elles soient de tendresse ou de rage, comme ici.

La seconde, et là, c'est moins glorieux, c'est que j'ai eu la sensation que Rowling écrivait uniquement pour faire de la page, comme pour battre le record du précédent volume. Chaque Potter est un peu plus gros que le précédent alors le cinquième volume se devait de prendre du poids, quitte à massacrer le rythme en s'étalant sur des futilités.

Auparavant, chaque détail comptait. Si ce n'était pas pour faire rire, c'était quelque chose qui allait servir le récit à un moment ou à un autre. Ici, elle se perd dans des idées qui non seulement n'apportent rien à ses personnages mais en plus surcharge son histoire inutilement. Elle ira jusqu'à justifier certains choix par des pirouettes maladroites afin de retomber quand même sur ses pieds ou d'amoindrir ses erreurs.

Au final, j'ai autant aimé que détesté. Il y a de très bonnes choses dedans mais surtout des moins bonnes. Rowling perd le rythme, le côté efficace, en multipliant les passages inutiles.

Après La Coupe de feu, ce volume, du coup, a eu du mal à me remettre en selle. Plus sombre, on y découvre un Harry Potter mis à mal dans ses actions, sa façon de faire, et finalement, avec une légitimité remis en cause, avec l'aide d'un ministère de la Magie fébrile, pleutre, envoyant un terrible émissaire, Dolorès Ombrage, qui se fait un malin plaisir à essayer de museler Harry. Crise conscience, un Harry qui grandit, et un monde qui s'assombrit...

S'il y a bien un livre de Rowling difficile à juger, c'est bien l'Ordre du Phénix. le quatrième tome nous a donné envie d'en savoir plus, de continuer à suivre les aventures d'Harry. Or les vingt premier chapitres (environ) de ce livre nous laissent sur notre faim. On se sent envahi par une gangue immobile, car c'est bien simple, il ne s'y passe pas grand chose.

Mais je vous en prie, ne jugez pas trop vite, et ne vous découragez pas. Car la suite de ce livre est tout aussi intéressante que la première partie peut être... ennuyeuse. N'ayons pas peur des mots, alors que la première partie est - à mon humble avis - totalement dispensable, dès qu'Harry Potter pose un pied à Poudlard pour la cinquième année consécutive, on se laisse à nouveau emporter dans une histoire aussi bien menée que dans la Coupe de Feu.
Un avis partagé, en somme, pour ce livre qui reste tout de même à lire, ne serait-ce que pour pouvoir comprendre les deux tomes suivants qui sont, pour moi, les meilleurs de la série.