J'aimerais pouvoir dire pourquoi c'était bien, mais c'est dur à expliquer. C'était bien parce qu'on s'entendait bien. C'était bien parce qu'on rigolait bien. C'était bien parce qu'on faisait nos devoirs en moins de deux et qu'après, on se mettait à notre shojo. C'était bien parce que c'était bien.
Un jour, ma marraine (qui est la cousine préférée de maman) m'avait expliquée qu'à l'adolescence, on passait souvent du rire aux larmes et de la joie la plus intense au désespoir le plus profond.