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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
COUP DE COEUR - Un adolescent accusé faussement d'un crime se retrouve dans un camp de redressement au Texas en plein désert où chaque jour des jeunes délinquants sont condamnés à creuser un énorme trou sous un soleil de plomb, une punition qui cache un dessein poursuivi par le directeur du camp dont la seule présence vous glace le sang. J'ai lu ce bouquin en version originale (Holes) en 2007. Ce récit "à la dure" m'avait bouleversée. Je l'ai aperçu récemment à la bibliothèque dans sa version française, l'ai pris dans mes mains et me suis surprise à ressentir avec la même puissance d'alors les états d'âme de ces adolescents rebelles poussés dans leurs derniers retranchements et à revoir en flashback les lieux, les dos courbés, la violence psychologique mais aussi les liens tissés entre ces êtres poqués. L'acuité de ce souvenir de lecture n'est pas banale pour moi qui ai tendance, avec le temps, à mêler les intrigues de certains romans que j'ai lus. Une livre unique, je vous dis. Catégorisé "roman pour adolescents" (succès assuré auprès des garçons), j'écris ces quelques lignes pour vous convaincre de passer outre cette étiquette. Voilà un livre étonnant, saisissant ! À LIRE !!!
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Salut c'est moi Krystian Jurczak je vous présente
Critique littéraire du livre ; le passage (Morsure du lézard) de Louis Sachar que j'ai du faire pour mon cours de français .
Cher lecteur,
Le livre de Louis Sachar est une sensation inoubliable .Vous allez avoir envie de dévorer ce livre le plus vite possible. Il ne raconte pas seulement une histoire extraordinaire de Stanley et Zéro, les deux personnages principaux mais aussi des idées qui vous rendrons fous. Vous n'aimez pas les livres durs à comprendre ainsi qu'avec un vocabulaire impossible à comprendre, pas de problème ce livre est fait justement pour vous. Ne vous inquiété pas pour le volume de page parce qu'il va passer de la même manière que le temps utiliser le temps sur un ordinateur. Ce livre a de l'humour partout, à chaque page et à quel moment vous voudrez. L'auteur du livre à rajouter un petit bonus, dans le livre il y a deux histoires qui se déroule en même temps ; une au passé et l'autre au présent (Plus d'histoire, plus d'humour).
Louis Sachar raconte qu'un jeune garçon nommé Stanley Yelnats reçoit une paire de basquets sur la tête .Quelle coïncidence, pense-t-il. En effet, son père travaille sur un produit qui sera capable d'éliminer les odeurs puantes de pied, et cette paire de basket serait un très bon échantillon. Il décide de les prendre avec lui. Pas de chance, les baskets appartenaient à un joueur de baseball célèbre qui voulait le donner aux personnes sans-abris mais par malheur elles avaient été dérobées. Stanley est accusé de vol. Il se retrouve au camp du Lac vert ou il y a aucun lac et pas d'herbes. Chaque jour il doit creuser un trou de 1 m 50 de largeur, longueur et profondeur afin de trouver quelque chose. Stanley connait la raison de sa malchance : la malédiction de son horrible-vaurien-d'arrière-arrière-grand-père-voleur-de-cochon. Si on prend Stanley au camp et qu'on l'oblige à creuser tous les jours un trou en plein soleil (avec une température de 45°c), il finira par devenir un gentil garçon sauf des moments, il aura envi de fuir. L'autre histoire je ne vous la raconterais pas car elle dévoile le mystère du Camp ainsi que la raison de la cause de la malédiction de son horrible-vaurien-d'arrière-arrière-grand-père-voleur-de-cochon. Je peux vous assurer que vous serez contents de la fin de l'histoire. D'un coté elle va vous étonner mais d'un autre vous serez contents d'enfin avoir fini avec la fameuse histoire du Camp du Lac vert. En ayant terminé le livre vous allez vous dire pourquoi tous les livres ne sont pas d'un tel suspense, d'un humour très présent ainsi que d'une histoire merveilleuse. Une chose m'étonne, c'est que le livre se termine plus vite que vous le penser. Bonne lecture.
Note du livre : 10 / 10
Jurczak Krystian
Louis SACHAR, le passage, L'école des loisirs, 2000, 278pages, 9,50 euros
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Lu aux alentour de 13/14ans j'avais adoré ce livre ! Il m'a marqué énormément et je ne cessait de le recommander (sans succès) à tout le monde.

On suis un garçon pas bien méchant condamné à creuser des trous dans le désert, de nos jours ou du moins ya pas si longtemps. L'humour est omniprésent. En parallèle, petit à petit, on commence à suivre l'histoire de ce même lieu un siècle plus tôt, avec la vie dans la campagne américaine fin 19ème que je connaissais très mal à l'époque.

Tous les personages sont très réussit et on s'y attache vraiment. le lien entre eux et le côté initiatique un peu spirituel du roman est plus important au final que l'intrigue.

Globalement agréable à lire, et beau par moment, il a réussit à me toucher sur des sujets auquels j'étais habituellement peu sensible.
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A l'occasion de sa réédition dans la collection "Folio junior", c'est avec grand plaisir que j'ai relu ce roman d'initiation ! D'emblée on accroche au personnage de Stanley, cet adolescent réservé, malmené à cause de son poids, que l'on devine d'une grande gentillesse malgré l'adversité. Philosophe, il s'évertue à "tirer le meilleur parti de la situation".

Il règne une ambiance étrange au Camp du Lac Vert, cet endroit désertique au milieu de rien et un peu hors du temps, où évoluent des adultes et des adolescents à la personnalité atypique. Chacun est affublé d'un surnom (X-Ray, Aimant, Aisselle, Zéro...) et le groupe fonctionne selon une hiérarchie et des codes bien définis, indispensables certainement pour supporter ce quotidien qui n'est facile pour personne. Entre deux on remonte le temps, cent dix ans auparavant quand le lac existait encore, sur les traces des ancêtres de Stanley et d'une certaine Kate Barlow, "un des hors-la-loi les plus redoutés du Grand Ouest". Ce n'est qu'à la fin que le lien entre les deux époques sera donné, et qu'on comprendra pourquoi ces pauvres garçons s'escriment à creuser des trous en plein soleil toute la journée.

Entre temps le jeune Stanley aura bien évolué. Obligé de s'endurcir, d'un point de vue physique et "son coeur aussi", il comprendra l'importance de la persévérance ("Rien n'est facile dans la vie. Mais ce n'est pas une raison pour abandonner. Tu serais surpris de ce qu'on est capable d'accomplir quand on le décide vraiment.") mais aussi de la solidarité et de l'entraide. C'est certainement son copain Zéro qui représente le mieux toutes ces valeurs, lui le plus chétif, celui qui "n'avait personne. N'était personne" et qui pourtant se révélera le plus tenace et le plus fiable. A l'issue d'une ultime scène, angoissante, avec les fameux lézards à taches jaunes et aux yeux rouges tant redoutés, les deux camarades (en partie grâce à des oignons !) ressortiront transformés de cette expérience en plein désert texan : "Jamais il n'aurait pu faire une chose pareille quelques mois auparavant". Alors même si l'aventure aura été éprouvante, Stanley en ressortira convaincu : "C'était plus qu'une coïncidence. Ce ne pouvait être que le destin" !
Lien : https://www.takalirsa.fr/le-..
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J'ai a-do-ré !
Une roman très original. J'ai beaucoup aimé le style qui nous laisse deviner beaucoup de choses en en disant peu, chaque détail est important.

Il y a deux histoires en parallèle, qui sont bien plus liées qu'on ne le pense au départ et qui sont la clé de l'énigme. de très beaux symboles également. Quel dommage que l'édition française soit si peu attrayante : la couverture est vraiment baclée et le titre à côté de plaque(mais pourquoi les éditeurs français s'acharnent-ils à changer le titre alors que le traduire est souvent la meilleure solution ?!). Personnellement je préfère de loin le titre original "Holes" (trous en français) qui va comme un gant au roman.

J'ai vraiment hésité à le mettre dans mon Top 10 !
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Stanley est envoyé au camp du lac vert, un camp pour jeunes délinquants. Mais qu'a fait Stanley pour mériter d'y être envoyé ? Il est accusé d'avoir volé les chaussures d'une célébrité, alors que celles-ci devaient être vendues pour un refuge de SDF. Or, le vol, ce n'est pas vraiment lui qu'il l'a fait et il va devoir malgré tout composer ses prochains mois avec des personnages haut en couleur, à creuser des trous...

Publié initialement en 1998, le passage a connu un certain succès aux USA, avant d'être traduit et publié en 2003 dans nos contrées. de moins de 300 pages, le Passage raconte l'histoire de Stanley, de son arrière-arrière-grand-père-maudit-voleur-de-cochon, ainsi que l'histoire du lac vert et de ses premiers habitants.

Chacune des histoires vont s'entremêler, même si plusieurs siècles séparent les unes des autres et chacune aura des répercussions sur chaque. Tout s'imbrique parfaitement mine de rien, avec une conclusion cohérente et logique ! le livre est totalement accessible pour des collégiens, avec un humour propre à l'auteur qui ne détonne pas dans le contexte de l'histoire.

Une bonne histoire dont j'en ressors ravie !
Lien : http://onceuponatime.ek.la/l..
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Alors déjà, c'est un livre que j'avais lu au collège. Il ne m'emballait pas car l'intrigue me paraissait franchement à la limite de l'ennui, pourtant je l'ai dévoré et j'ai adoré. le personnage principal est très attachant et j'ai bien aimé ce mélange de retour en arrière où on apprend l'histoire de ces ancêtres. Je trouve qu'il y a pas mal d'émotion lié au fait que ça famille est maudite. La fin réserve d'ailleurs une agréable surprise. de tous les livres que j'ai lu au collège celui là fait partit des trois que je me souviens tant je l'ai trouvé super. Ce livre nous montre combien le passé peut se répéter pour le pire, mais aussi pour le meilleur.
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Mon dieu, ce livre restera mon livre préféré. Je l'ai lu la première fois quand j'étais en troisième, quand ma prof de français nous proposais des livres, à nous, ces six élèves (oui mon école était petite), et qu'elle savait que j'aimais lire, donc qu'elle m'a proposé le plus gros. Je dois dire que le titre et la couverture n'inspirent pas du tout. En fait c'est la quatrième de couverture qui fait envie. La preuve, le soir même en étude, je l'ai lu.....Et fini. Un an et demi plus tard, je m'y suis remis, et de nouveau un an et demi plus tard je viens de le relire. C'est marrant parce que même en sachant toute l'histoire j'avais l'impression de le relire pour la première fois. C'est ça que j'adore chez les livres. C'est que ça change toujours en fait. L'histoire est vraiment extraordinaire. Elle mélange plusieurs histoires en une seule, et tout est vraiment lié, le passé du "lac" vert, la malédictions des Yelnats, et le présent avec le Camp, tout est mis ensemble et on découvre peu à peu l'histoire en la suivant. C'est magique, ca fait sourire, et puis c'est tout léger finalement. En plus, je trouve que le résumé est vrai. Bon d'accord, j'ai pas tellement envie de creuser des trous (quoique), ni de mettre du rouge à lèvre mais, presque. Je me suis surtout arrêtée de respirer à un moment, j'ai eut soif un peu, j'ai senti la chaleur qu'ils ressentaient et tout. Et plus j'avançais plus je me disais que ce livre était vraiment mon livre préféré. Parce que, finalement, ça prend des éléments totalement sans aucun rapport, une chanson bizarre, une histoire de racisme (avec une fin bien ironique qui m'a fait sourire), des oignons, des pêches, des pieds, des trous... C'est rigolo quand on y pense. J'adore vraiment cette histoire. Et puis, c'est une belle histoire contre le racisme, un peu quand même. Les personnages sont très bien aussi. Pas mal originaux aussi de leur côté, bien que Stanley n'est pas grand chose de particulier (si ce n'est sa malédiction dû à son horrible-abominable-vaurien-arrière-arrière-grand-père-voleur-de-cochons). Mais il évolue un peu, et pis il est assez sympa finalement. Par contre, mon chouchou de toujours et qui à droit à la palme d'or du nombre de fois ou j'ai dit "J'adore ce personnage", est pour Zéro. Il est troooop mignon, troooop chou quoi. J'aime bien son caractère, j'ai adoré toutes les fois où il a parlé, et pis j'avais trop envie de le câliner contre moi quand il souriait. Les autres personnages m'ont assez énervés, le Directeur, Mr.Monsieur, Pendanski et les autres du camp étaient insupportables, j'avais envie de les baffer. Après, j'ai adoré Sam & Katherine, leur relation est trooop mignonne (et hyper dramatique il faut le dire). J'ai bien aimé aussi les parents de Stanley même si ont les voit pas beaucoup. Et puis, le style d'écriture est du Louis Sachar tout craché (je peux dire ça maintenant que j'ai lu des livres de lui), léger, fluide, ça se lit très vite, c'est simple et très beau, plein d'ironies aussi des fois, et avec de l'innocence caché, enfin c'est vraiment sympa comme style. J'avais un peu peur d'être déçue, que ce livre ne soit plus mon préféré, mais vu comment il m'a tout chamboulé et retourné, et comment j'ai passé mon temps à dire "j'adore ce livre", et bien, le Passage reste, et restera pour l'instant, mon livre préféré. Peut-être que je le relirais dans un an et demi qui sait...Si seulement, si seulement.... En attendant, faites comme moi : Lisez le. Il est génial !
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Au Camp du Lac vert il n'y pas d'eau ni beaucoup de végétations, les personnes qui séjournent au Camp du Lac vert n'ont pas eu le choix, ils ont été obligé d'y aller....Stanley fait partie de ces personnes. le premier jour de son arrivée, il fait la connaissance de Mr Monsieur qui lui explique qu'il doit creuser chaque jour un trou de 1m50 de diamètre et de profondeur. Au fil des jours, Stanley se rend compte que ce n'est pas pour rien que des gens doivent creuser des trous, mais plutôt pour chercher quelque chose pour le Directeur. Mais quelle est cette chose....
Ce livre se lit très facilement même si il y a beaucoup d'histoires en parallèle. On découvre également une belle histoire d'amitié.J 'ai adoré ce roman!
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Avec une telle quatrième de couverture, j'ai évidemment acheté ce livre. Et Clémentine l'a évidemment lu en une après-midi. Et moi en quelques jours.

Pas déçue. Bien au contraire.

C'est une histoire d'ado, un roman d'initiation, une belle histoire d'amitié. C'est une aventure avec des méchants et des frissons. C'est une histoire de légendes ou de traditions familiales. Selon qu'on a envie d'y croire ou pas.

C'est une histoire où le passé et le présent se nouent et se marient intelligemment.

Louis est un merveilleux conteur.

J'en ai savouré chaque ligne, chaque passage.

A ce sujet, il n'a qu'un seul défaut : le titre. "Holes", le titre original, aurait été plus adapté.
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