Merci à Tandarica, mais aussi Babounette, Fandol et quelques autres qui grâce à leur critique enthousiaste m'ont donné envie de me diriger vers cette
Lumière.
Une lecture bouleversante et ébranlante surtout, quand elle entre en résonance de trop près dans nos vies, mais oh ! combien réconfortante et nourrissante pour les mêmes raisons. J'en ai aimé l'écriture décomplexée mais juste, d'où jaillit la parole, les mots qui font mouche.
L'amour, l'amitié, la fraternité, sont au coeur de ce livre, mais aussi la sensorialité, échanges tactiles, sensorialité de la nourriture, des lieux et des liens qui nous nourrissent.
Et puis bien sûr, c'est une réflexion sur la maladie, la souffrance, physique mais aussi morale, la mort, la vie, nos peurs et nos fragilités.
Je ne suis pas très friande du style romanesque (plus guère disons) mais des romans de cette hauteur que j'ai dévoré en apnée, qui vous remet le coeur et l'âme à l'endroit, je veux bien en lire un chaque semaine.
Ce livre est lumineux et porte bien son nom,
Lumière.
Pour plagier Tandarica : Ne pas lire «
Lumière » serait une grave erreur pour les amoureux d'excellence littéraire.