Une lecture agréable, un livre sympatoche, tout-à-fait pour moi en ce moment.
« Atticus, mon fils, nous avons un problème désagréable à régler qui nécessite une solution urgente. J'ai besoin de toi. »
Et, Atticus de partir de son Angleterre adorée, à Madrid régler le problème en question, à avoir fermer définitivement le magazine littéraire espagnol « Librarte »
Berta, directrice de "Librarte, « Les locaux, quatre-vingt-dis mètres carré au dernier étage d'un vieil immeuble de l'historique Calle Mayor », doit en informer ces collègues Soléa, Maria, Gaby, et Asunción qui sont devenues sa famille, ses amies.
Alors, les cinq femmes élaborent un plan, traquenard à l'encontre d'Atticus
Bien sûr tout est quelque peu manichéen. Les anglais, so british, too much, riche, possédants, les espagnols égaux à leur réputation tout feu tout flamme et ouvriers pas très riches voire précaires. Quel traquenard ?? et bien, ni plus, ni moins l'enlèvement d'Atticus, l'héritier anglais sous un fallacieux prétexte de poèmes inédits de Lorca que la grand-mère de Soléa auraient en sa possession.
Alors là, un tourbillon, plusieurs tempêtes se déchaînent. J'allais oublier ; bien sûr, il y a un policier espagnol parti à la recherche de l'héritier. de quiproquos en situations amusantes toute la troupe se retrouve à Grenade.
Mais bon, je ne vais pas tout dévoiler car, comme dans un bon vaudeville, il y a des ressorts, percutants quelques fois.
OK, ce n'est pas le livre du siècle, il n'y a pas beaucoup à réfléchir. Il suffit juste de se laisser aller, suivre les péripéties tragi-comiques et profiter de ce moment de lecture léger, croustillant quelques fois, virevoltant, acadabrantesque et bien écrit.
Mamen Sanchez, vous m'avez fait rire et ce fut un bon comprimé de bonne humeur. Merci pour cela.
Merci à Fanny, souriante et bienveillante libraire du Cyprès
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