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Citations sur Coeur d'acier, tome 1 (33)

Tu n'as jamais entendu parler de cornemuse? demanda Cody, atterré. C'est aussi écossais que les kilts et les poils roux aux aisselles!
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Ce sont les Épiques comme lui qui ont contraint les États-Unis à adopter le décret de capitulation qui leur accordait l’immunité totale face à la loi. Les balles ne peuvent pas faire de mal à Cœur d’acier – les roquettes, les chars, même les armes humaines les plus avancées ne peuvent l’égratigner. Même s’il était possible de le capturer, les prisons ne pourraient le retenir. Le gouvernement finit par proclamer que les hommes comme Cœur d’acier étaient des forces de la nature, à l’instar des ouragans ou des tremblements de terre. Essayer de lui dire qu’il ne pouvait pas prendre ce qu’il voulait serait aussi vain qu’essayer de faire passer une loi interdisant au vent de souffler. Dans la banque , ce jour-là, je vis de mes propres yeux pourquoi tant de personnes décidaient de ne pas riposter.
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Le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument.
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Cependant, s'il y a un fait que nous pouvons retenir, le voici : tous les Epic ont un point faible. Quelque chose qui invalide leurs pouvoirs, quelque chose qui le retransforme en personne ordinaire, même que pour quelques instants
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Dans cette banque ce jour-là, j'ai vu de mes propres yeux pourquoi tant de personnes ont décidés de ne plus se battre.
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Il n'avait pas besoin d'un masque. Cet homme n'avait pas de raison de se cacher. Il écarta les bras, et un vent se leva, ouvrant les portes autour de lui. Les cendres s'éparpillèrent sur le sol et les papiers s'envolèrent. Steelheart s'éleva dans les airs de quelques centimètres. Il se mit à glisser en avant dans la pièce. Les bras comme des poutres d'acier, les jambes comme des montagnes, le cou comme un tronc d'arbre. Il n'était pas volumineux ni encombrants. Il était majestueux, avec ses cheveux noir de jais, sa mâchoire carré, un physique impossible et une carrure de près de deux mètres.

Et ces yeux. Intenses, exigeants, sans concession.
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Une silhouette se tenait sous la porte donnant sur la rue. Il était à contre-jour, une simple silhouette à cause du brillant soleil qui brillait derrière lui. Une silhouette étonnante, herculéenne, impressionnante.
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L'expression de mon père s'assombrit. Puis il regarde dans un couloir latéral. S'échapper ?

Non. C'est là que les gardes étaient tombés. Je pouvais voir à travers le mur vitré du cube l'endroit où étaient tombées leurs armes, enfouies sous la cendre, la poignée reposant sur leur cage thoracique. Mon père le regardait. Il faisait partie de la Garde Nationale étant jeune.

"Ne fait pas ça" pensai-je, paniqué. "Papa, non !" Je ne pouvais prononcer ces mots. Mon menton tremblait alors que je tentais de parler, comme si j'avais froid et que je claquais des dents. Et si l'Epic m'entendait ?

Je ne pouvais pas laisser mon père faire une folie pareille ! Il était tout ce que j'avais. Pas de maison, pas de famille, pas de mère. Alors qu'il se me mettait en mouvement, je me forçais à bouger et à attraper son bras. Je secouais la tête, essayant de penser à quelque chose qui pourrait l'arrêter. "S'il te plait", parvins-je à murmurer. "Les héros. Tu disais qu'ils allaient venir. Laisse-les le stopper".

"Parfois, fils", me dit mon père, libérant mes doigts, "tu dois aider les héros".
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Je ressentis alors de la terreur. Une terreur pure, immobilisante. Je me recroquevillai sur ma chaise, gémissant, tremblant, essayant de bannir l'image de ces terribles morts de mon esprit.

Mon père retira sa main. "Ne bouge pas" articula-t-il.
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Il pointa paresseusement deux gardes de sécurité qui émergeaient d'un couloir latéral, juste derrière les cubes des hypothèques. Les gardes se transforment en poussière, leurs badges, boucles de ceintures, pistolets et os heurtent le sol. Je peux entendre leurs os s'entrechoquer alors qu'ils tombent. Il y a beaucoup d'os dans un corps humain, plus que je ne peux le réaliser, et ils forment un sacré foutoir quand ils se dispersent. Un étrange détail à remarquer pour cette horrible scène. Mais je me souviens parfaitement.
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