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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Second tome après vers les étoiles de la nouvelle licence space opera de Sanderson.

On s'agace parfois de patauger un peu dans un second opus. Ici l'auteur nous explique, nous réexplique, en long en large et en travers le pourquoi et le comment de son univers. Trop facilement, bien trop. Les dynamiques politiques de la supériorité, les enjeux un peu simples. C'est probablement là qu'on voit la volonté YA de la série.
Ça manque un peu de complexité. Tout est dévoilé un peu trop vite. Pourtant il sait faire le Sanderson si l'on se réfère à ses autres séries à rallonge.
Pour finir dans les reproches, on regrettera un épisode un peu long à démarrer.

Les mauvais point ainsi évacués, passons aux choses bien plus réjouissantes. Astrevise est un roman trépidant, délassant, agréable et facile à lire et à suivre (oui je sais, cette facilité que je lui reproche). Les personnages ne sont pas trop monolithiques, nous révèlent d'agréables ou désagréables surprises, l'auteur nous offre un cadre presque entièrement neuf et gageons que le tome 3 nous offrira quelques beaux autres moments dans cette catégorie de space opera multi-espèces où les humains ont toujours quelque chose en plus par rapport aux autres, ici l'agressivité. (C'est souvent l'agressivité d'ailleurs).

Je me suis fait plaisir et c'est le principal.
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Alors que le premier tome sort en poche dans quelques semaines, je me suis dit qu'il faudrait vraiment que prenne quelques minutes pour faire cette chronique du tome 2.

D'habitude je n'achète jamais les romans de l'auteur à leur sortie mais pour une fois que j'aime bien les couvertures de l'une de ses sagas, les avoir en grand format est un petit cadeau que je m'offre avec plaisir. Lu fin juin j'ai dévoré ce second tome en moins de deux jours ravi de découvrir la suite des aventures de spin et le destin de la planète détritus.

Sans grande surprise, j'ai passé un chouette moment de lecture avec ce second tome dans lequel l'auteur élargit son univers, avec une intrigue moins manichéenne que dans le premier tome et de beaux messages de tolérance. Cela se lit vite, le personnage de Spin est tout aussi attachant que dans le tome 1 et le dernier quart se révèle comme d'habitude avec les romans de l'auteur palpitant.

Pourtant il me faut bien dire avoir beaucoup moins aimé ce tome que le premier. L'ambiance y est différente, le tout est beaucoup plus centré sur le personnage de Spin au détriment de tous les personnages secondaires du premier tome quasiment absents dans celui-ci. Moi qui espérais les voir plus développées… cela a été une petite déception sur ce point. J'ai trouvé aussi quelques petites lenteurs à ce second tome qui prend une bonne cinquantaine de pages avant de réellement démarrer puis plus loin lors de ma lecture, certains passages auraient clairement pu être raccourcis je pense. Enfin j'ai deviné plusieurs centaines de pages avant ce qui était censé être la révélation de ce tome ce que j'ai trouvé plutôt dommage.

Il n'en demeure pas moins que ce second tome fut une bonne lecture dans l'ensemble, il est juste dommage qu'elle soit pour moi bien en dessous du premier. Cela ne m'empêchera pas de lire le tome 3 quand il sortira car la fin comme à chaque fois avec Sanderson donne sacrément envie de lire la suite.
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Quand on a adoré le premier tome d'une saga de SF pour jeunes adultes, on est toujours un peu hésitant et quelque fois déçu à la parution du second volume. L'intrigue Astrevise, deuxième tome du Skyward de Brandon Sanderson ; allait-elle échappée à cette règle ou malédiction devenue monnaie courante dans de ce type d'édition depuis plusieurs saisons?
Avec un début assez lent et des répétions à gogo prévues pour nous replonger dans l'histoire de Spenza et sa quête de défense d'une humanité menacée par les méchant Krells, on pouvait s'attendre au pire. Mais que nenni, l'auteur sait rapidement nous capturer (avec sa luminance) pour nous plonger à corps perdu dans sa nouvelle aventure. On redécouvre ainsi une Spenza plus réfléchie et plus apte à apprivoiser son pouvoir cytonique. Elle quitte ainsi Détritus, sa planète d'origine, et aborde la station spatiale Asrtrevise aux multiples races galactiques. Durant ce périple, elle va s'interroger et revoir ses jugements aux sujets des ennemis de la race humaine. La prose de Brandon Sanderson est toujours aussi fluide et captivante. Les scènes de combats restent d'un réalisme époustouflant. Si les nouveaux personnages sont déroutants comme pour tout extraterrestre qui se respecte, Ils deviennent vite attachants et font presque regretter les premiers compagnons de notre héroïne.
Ce second opus reste d'une bonne facture même s'il fait la part belle à l'écriture inclusive pour les personnages asexués ce qui peut surprendre le lecteur dans un premier temps. Avec son cliffhanger à la Brandon Sanderson, on ne peut qu'attendre avec impatience la sortie du tome 3 et peut-être enfin connaitre ce que la Supériorité réserve à notre Force de Défense Rebelle.
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J'avoue que j'ai tout de même moins apprécié ce tome en comparaison du premier. Il faut dire qu'il était très différent dans tout les sens du terme.

Pour ce qui est du background, vous pouvez aller voir ma chronique du premier tome : Skyward.

Le livre commence par une immense scène d'action de bataille spatiale qui dure pas loin de 40 pages. de quoi rentrer tout de suite dans le vif du sujet, mais qui a eu un peu l'effet inverse sur moi. J'étais perdue, j'ai trouvé ça très long, au final j'étais contente quand elle c'est terminée.

Une fois cette scène terminée, l'intrigue repart et c'est la le gros changement : le tout ne se déroule pas sur la même planète que le premier.
L'héroïne, Spensa, est envoyée comme espionne dans le reste du monde sous une fausse identité, celle d'une pilote extraterrestre qui c'est crashé chez eux.

Du coup c'est l'occasion de découvrir le reste du monde, comment il est géré, pourquoi les humains sont parqués sur Detritus (oui, c'est le nom de leur planète !), et plein d'autres informations très importantes.
Mais du coup on perd aussi tout le coté intéressant des personnages secondaires qui n'ont ici aucun rôle.

C'est vrai que ça se dévore tout seul, c'est entraînant, on découvre toujours plein de choses intéressantes. Mais j'ai trouvé l'ensemble un peu trop facile. Déjà l'héroïne ne fait quasiment aucun effort et hop elle est directement dans la peau de l'extraterrestre à tel point que personne ne se rend compte de la supercherie. Ça ne lui demande non plus aucun effort de maintenir le déguisement en permanence.

Du coup c'est vrai que c'est sur ce genre de point que j'ai ressentit le coté YA. On a des relations entre les personnages un peu stéréotypées et limite un peu trop « gentillettes » et bon enfant des fois. On voit aussi le coté « fan service » avec des créatures comme des Kitsune très japonnais par exemple ou des politiciens très magouilleurs …

Au final une lecture très sympathique que je ne regrette pas d'avoir pu caser car je ne me suis pas ennuyée, mais elle est très loin d'avoir eu l'impact du premier tome, et c'est bien dommage.
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Après le gros coup de coeur que j'ai eu pour le premier tome, j'avais hâte de lire la suite de Skyward : Astrevise.

Le premier tome avait été un réel feu d'artifices, un premier tome absolument génial, j'avais énormément d'attentes pour ce deuxième tome et même si j'ai préféré le premier, j'ai passé un excellent moment de lecture avec Astrevise.

Cette suite est une lecture addictive et palpitante ! Cette fois-ci Spensa va devoir aller encore plus loin et devenir une espionne au milieu des extra-terrestres. Au cours de son séjour à Astrevise, la jeune humaine va en apprendre plus sur ses "ennemis" et comprendre ainsi que les jeux politiques sont plus complexes qu'elle ne le croit, que les ennemis ne sont pas forcément ceux qu'elle croit, que des alliés inattendus peuvent se présenter, que des espoirs de paix ne sont pas loin et pourtant...

J'ai beaucoup aimé ce deuxième tome qui permet de changer de cadre spatial, de découvrir de nouveaux personnages secondaires, de lever le voile sur de nombreux mystères tout en gardant encore en réserve d'autres secrets à révéler. J'ai particulièrement aimé faire la connaissance de Hesho, Morriumur et Vapeur, ce sont des êtres complexes qui vont avoir le droit à un portrait approfondi qui les rendra encore plus attachants. J'ai été aussi très heureuse de retrouver mon personnage préféré (après Spensa), le fameux M-Bot qui a le don d'offrir humour et lumière dans les moments critiques.

Astrevise est un tome un peu plus lent que Vers les étoiles. le début met un peu de temps à démarrer, il faut que Spensa comprenne qu'elle va être sa place dans ce nouveau jeu de pouvoirs et va devoir aussi subir un nouvel entraînement dangereux. J'ai préféré le premier tome pour cette raison et aussi pour deux autres : d'une part le premier était plus drôle et d'autre part certains personnages du premier tome étaient trop peu présents dans ce deuxième. Cependant je fais ici ma difficile car Astrevise est brillant, le dernier tiers du livre est magistral et je ne sais pas comment je vais réussir à patienter pour lire le troisième volume.

En définitive, cette suite est excellente, passionnante et j'affirme de nouveau que cette série est incontournable pour les fans de SF (et ceux qui voudraient se lancer dans ce genre littéraire) !
Lien : https://leatouchbook.blogspo..
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Un tome sympathique, bien que beaucoup moins addictif que le premier.
J'ai moins apprécié ce tome, tout simplement parce que je ne m'attendais pas du tout à ce que l'histoire prenne cette direction, et parce que pendant toute la lecture, l'escadrille Vers les étoiles m'a terriblement manquée.

Oui, j'aime Spensa, M-Bot et Monstrolimace, mais ce qui m'avait conquise dans le tome 1, c'était les personnalités et les relations au sein de l'escadrille de Spin : les tentatives désespérées de Je-Sais-Tout pour inculquer un peu de discipline à son équipe, les citations inventées de Kimmalyn, les blagues de Arthuro et Nedd et même la discrète FM !

Donc pas trop convaincue par l'expérience extraterrestre jusqu'ici, mais les découvertes sur les pouvoirs cytoniques et leurs conséquences restent énormes !

Si la crise existentielle de M-Bot, tout au long du livre, m'a mise de plus en plus mal à l'aise, c'est la fin qui m'a choquée : je ne m'attendais pas du tout à ça, et je suis très inquiète et pessimiste pour l'avenir de M-Bot et Monstrolimace (la mascotte de la série quand même).

Contrairement au premier tome, j'ai eu des difficultés à apprécier la traduction. Il y a effectivement de la réflexion sur comment qualifier, en français, les extraterrestres de genre indéfini, mais je n'aime pas du tout l'utilisation non exhaustive du « iel », notamment concernant Cuna. Un coup on dit « iel », un coup on dit « elle »… c'était vraiment déstabilisant.

Je pense que la traduction en français a du être un sacré défi, au point de retrouver des tournures de phrases parfois étranges, par exemple : « on sortit du labyrinthe, puis mîmes le cap ». « On mîmes le cap » ??

Bref, mis à part ces problèmes de définition de genre, la lecture reste globalement agréable, Spensa est un personnage qui évolue et que j'apprécie.

Gros point noir qui m'a beaucoup agacée : la couverture du tome 1 poche était issue du grand format français, mais la couverture du tome 2 poche est issue de la version anglaise « paperback », qui est 1- pas belle du tout, 2-pas du tout harmonieuse avec le tome 1. C'est tout à fait le genre de chose qui me fait regretter de m'être lancée dans l'achat d'une série. Et encore, la version numérique est au prix du grand format… il vaut clairement mieux emprunter le pauvre livre…
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Le tome 1 était un coup de coeur donc j'avais réellement hâte de me plonger dans la suite.

Spensa va quitter son monde pour celui de la Supériorité, les oppresseurs de l'humanité. Sur Astrevise (Starsight), ce n'est plus un monde dans lequel les pilotes sont au coeur de la société qu'elle va découvrir mais un où les magouilles politiques font loi. Sous la peau d'Alanik, elle va se retrouver au milieu des deux camps et surtout découvrir comment est traité le reste de l'humanité par les Krells. Il y a donc d'autres survivants et Détritus n'est pas la seule communauté contrôlée, seulement celle qui menace le mensonge de la Supériorité.

Le traitement de l'humanité dans ce tome est très intéressant car elle est décrite comme un fléau violent et conquérant. le passé des conquêtes humaines est donc remis au premier plan ici et on en comprend les conséquences sur les autres colonies qui évoluent en se définissant comme des créatures assoiffées de sang. le fait d'avoir une humaine "dressée" face à Spensa montre l'opposition entre l'esprit combattant de Détritus et celui du lavage de cerveau orchestré par les Krells. Ces derniers étant d'ailleurs repoussés par la plus infime trace de mécontentement qui passe tout de suite pour de l'agressivité. En revanche, ils n'ont aucun scrupule à envoyer à leur mort des pilotes innocents. Cette espèce est insupportable dans ses mimiques mais j'adore qu'on l'identifie tout de suite grâce à cela.

Autre avancée intéressante, celle sur les fouilleurs. On commence à en apprendre un peu plus sur ses entités étranges destructrices dont les yeux suivent Spensa. Notamment leur apparence. J'ai d'ailleurs eu énormément de mal à les imaginer vu leur forme si peu organique. Cependant, on ne sait encore rien sur leur origine, seulement comment ils sont arrivés dans notre monde.

Sinon, je veux vivre avec les Kitsen. Voilà. C'était très constructif.
Les nouveaux personnages introduits ne passent pas pour des bouches-trou et je les ai adoré dès les premières pages. Peut-être même plus que l'équipe "Vers les étoiles" (Skyward).

Un super tome 2 donc mais dont l'ambiance m'a un peu moins entraînée que le premier. Il faut dire que le rythme est très différent mais j'aime le fait qu'on commence à gratter les mystères qui entourent le monde de Spensa.
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Une infiltration spatiale.
La crise existentielle d'une intelligence artificielle.
Une solution rampante à l'hyper-propulsion.

Ce deuxième roman de la trilogie Skyward monte en rythme. le texte se fluidifie davantage, les péripéties s'enchaînent, les événements s'accélèrent...
Ce tome ouvre la voie du space-opéra. Nous ne suivons plus la "simple" histoire de Spenza sur Detritus, mais le début d'une véritable odyssée spatiale. Nous allons prendre connaissance de l'existence d'une multitude de planètes et de civilisations xenomorphes, tous physiquement différents.
La façon dont Brandon Sanderson va décrire avec précision les différentes espèces extra-terrestres me fascine, particulièrement les diones. L'auteur va y mêler de l'inclusivité, de la politique, un rôle scénaristique important et une idée originale sur le contrôle et la manipulation génétique.

Je regrette la quasi-absence de l'escouade Vers les étoiles et du décor de Detritus.

Toutefois, c'est encore une réussite et, bien que ce soit rare, un deuxième tome meilleur que le précédant.
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Alors que j'avais adoré "Skyward", le premier tome de la serie, j'ai paradoxalement mis longtemps à me plonger dans ce second tome.
Car en effet, au lieu de reprendre l'univers du précédent opus et de l'élargir petit à petit, Sanderson fait le choix de l'ouvrir brutalement et complètement, en donnant très rapidement à l'héroïne un nouveau cadre, de nouveaux compagnons de formation et de nouveaux enjeux. le lecteur quitte donc Détritus, planète-univers conceptuel, dense et fermé, pour l'immensité d'un space-opera à la Mass Effect, malheureusement moins original bien que fourmillant de bonnes idées. Si bien qu'il m'a fallu, pour ma part, un moment pour y adhérer !
Une fois que je me suis pris au jeu, toutefois, tout s'est enchaîné très vite et avec un immense plaisir. Comme toujours avec Sanderson, et d'autant plus ici car ce livre étant classé "young adult", la narration y est plus directe, les descriptions moins poussées et l'univers moins détaillé.
Seule véritable critique : une écriture inclusive dispensable et un peu agaçante, parfois.
J'ai maintenant hâte de voir dans quelle direction l'auteur va pouvoir emmener sa série, surtout comment il va la conclure ! "Cytonic", le tome 3, est sorti en VO en novembre 2021 ; sa traduction devrait arriver chez nous en 2023, j'espère !
Commenter  J’apprécie          10
J'avais adoré le premier tome, et même si j'ai bien aimé ce second tome, je n'ai pas retrouvé les palpitations que j'ai eu en lisant le premier.

Spensa est devenu une pilote à part entière de la Force de Défense Rebelle, et elle essaye désespérément de comprendre ses pouvoirs de cytonique. Jusqu'au jour, où elle va sauver Alanik, une extraterrestre qui va lui donner la position de la station Astrevise. Spensa, va alors prendre la place d'Alanik et se rendre sur Astrevise afin de voler un hyperpropulseur et le ramener sur Detritus. Évidemment, tout ne va pas se passer comme prévu.

J'étais heureuse de retrouver cet univers, Spensa et M-Bot (c'est clairement mon personnage préféré.). Avec un début rempli d'action, nous partons sur Astrevise et là, le rythme ralenti considérablement. Il y avait plein de longueur et j'ai trouvé qu'il y avait pas mal de répétition, et qu'on n'avançait pas. Ça se lit bien, c'est fluide, c'est intéressant et super bien amené, ça reste Brandon Sanderson, mais c'était un peu long. Puis une fois ces longueurs passées, on tombe sur la dernière partie du livre qui est pleine de rebondissement et de révélation. J'aurais aimé que ce soit distillé un peu plus au milieu du livre pour éviter les longueurs et les répétitions.

Spensa est un peu moins tête brûlée que dans le premier tome. Elle essaye tant bien que mal de ne pas dévoiler son identité et surtout de revenir avec le maximum d'information sur Détritus. Quant à M-Bot, il a une crise existentielle. Comment définit-on l'humanité ? Est-il vivant ? Il m'a fait rire et il m'a ému. Tous les nouveaux personnages que nous rencontrons sur Astrevise, amènent leur lot de surprise et d'interrogations et difficile de ne pas soit les aimer, soit les haïr.

La fin est explosive ! J'ai hâte de lire la conclusion à cette trilogie et surtout de savoir si les humains vont se libérer du joug des Krells.


Lien : https://aurenardlitteraire.w..
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