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4,36

sur 1853 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
D'un côté, positif, l'histoire est très belle, la plume très agréable, en plus de l'hommage fait aux émigrés italiens. Comment peut-on ne pas être reconnaissant pour ce livre axé sur le remerciement et la gentillesse ? En plus d'apprendre pas mal de choses grâce à toutes ces rencontres. L'idée de base est prometteuse : quand elle gagne au loto la grand-mère décide d'en faire profiter certaines person es sans qui sa vie aurait été bien differente. Côté bémol (et de taille) : si vous cherchez un catalogue de bons sentiments, des lieux communs et des clichés, vous êtes au bon endroit. C'est chargé : tous les sujets sociétaux pour faire propre et ouvert sont envisagés, les prétextes à les amener sont bien trouvés, mais ça fait beaucoup.
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Merci, Grazie, thank you les Éditions Audiolib et Netgalley France pour mon premier Julien Sandrel.

Malheureusement je suis complètement passée à côté de cette lecture au joli choix de titre. 

En lisant son résumé je pensais découvrir un roman plutôt humoristique et je crois que cette attente a perturbé mon écoute. J'ai eu l'impression de lire un roman semblable à un mille-feuille où beaucoup de sujets et thèmes étaient évoqués en peu de pages...

Malgré cette impression, j'ai beaucoup aimé en apprendre plus sur l'histoire d'Aigues-Mortes (qui pour moi était surtout liée aux prisonnières protestantes de la Tour de Constance) et l'arrivée des travailleurs immigrants aux Etats-Unis.

Julien Sandrel rend finalement dans cet ouvrage un bel hommage à sa famille et à ses grands-parents et j'espère que je pourrais découvrir bientôt une autre de ses oeuvres.
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Julien SANDREL. Merci, Grazie, Thank you

En 1998, Gina, une veuve de 65 ans consulte une voyante. Cette dernière, lors de la consultation lui annonce deux nouvelles : une bonne : « Vous gagnerez une grosse somme d'argent, lorsque vous serez vieille », et une mauvaise « La mort viendra frapper à votre porte peu de temps après ». Mais quelle est donc la durée qui sépare ces deux prévisions ? Gina, fidèle à son petit péché joue au casino, tous les mois. Oh non elle ne dépense pas une fortune ; elle est raisonnable, ne dépensant qu'une dizaine d'euros. le miracle s'accomplit, en 2018, Gina gagne la somme mirobolante d'un million cent cinquante mille euros et quatre-vingt-quinze euros, au casino d'Enghien-les-Bains. Que va-t-elle donc faire de tout cet argent?

Vingt années se sont écoulées depuis la prédiction de la chiromancienne et Gina décide, suite à cette manne qui tombe du ciel de récompenser des personnes qui ont joué un rôle important dans sa vie. Évidemment peu de survivants ; qu'importe, elle offrira la somme dévolue à leurs descendants… Elle entreprend des recherches et s'adresse même à un détective privé, sis à New-York. Cette ville a impacté son enfance. En 1938, la famille Lisi a émigré et la mère, Pasqualina est morte en donnant naissance à Francesco à l'hôpital d'Ellis Island ; le bébé a été déclaré mort. le père Angelo, accompagné de Gina regagne la France.

Chloé, la petite-fille de Gina vient de perdre sa mère et trouve refuge auprès de sa grand-mère. Cette jeune femme traverse une période douloureuse sentimentalement. Cependant elle se lance à le poursuite de sa grand-mère qui persévère dans ses recherches d'héritiers pour distribuer l'argent gagné au jackpot. La jeune femme va suivre, à la trace cette quête, accompagnée d'Olga, l'amie intime de Gina et dont l'amitié existe depuis plus de trente années.

Peut-être une bonne idée, de bons sentiments mais pour moi, ce récit est loufoque, invraisemblable. Malgré la véracité des faits historiques relatés par l'auteur, je suis très dubitative et n'adhère pas à tous les sentiments d'humanité qui émanent de ce récit. Tous les secrets de famille qui affleurent en vagues successives me laissent indifférente. La condition de la femme dans la société, l'homosexualité, le déni de grossesse, les immigrants italiens, la vieillesse, un joli melting pot. Certes, la plume de Julien SANDREL est alerte, sensible, pleine de bonne conscience et d'amour. Cette succession d'évènements loufoques et invraisemblables me laissent de marbre. Je classe ce roman dans la série des feel good. Je vous souhaite à tous une bonne journée et de belles lectures.
( 12/05/2023).
Lien : https://lucette.dutour@orang..
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Livre que l'on m'a offert. J'ai pris du plaisir à le découvrir mais j'ai été très déçue. La quatrième de couverture trompe pour beaucoup le lecteur qui s'attend à un livre feel good aux rebondissements farfelus d'une grand-mère un peu folle. Les couleurs sont pétillantes et inspirent une bonne humeur. Je vous préviens on n'y est pas du tout.
J'ai été perturbée par les multiples rebondissements tristes et malheureux de la vie de Gina. Dont on a l'impression à la fin du livre qu'elle a vécue tout les malheurs de la terre. On survole certains événements quand d'autres sont bien trop exploités. Chaque personnage qui apparaît dans l'histoire a une vie lui aussi torturée. Tout cela dénote avec le début de l'histoire et son aspect jovial prometteur.
Je n'y ai pas trouvé ce côté gratitude, reconnaissance, besoin d'apprécier le passé auquel je m'attendais.
Le caractère loufoque de Gina est survolé pour laisser place aux torpeurs de sa petite fille. L'ambiance générale du livre se ternit au fil des pages jusqu' à une fin qui me laisse dubitative.
J'ai été marqué par l'Histoire de l'immigration italienne qui aurait mérité d'être davantage appuyé voir d'être le sujet du livre.
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Que dire de cette lecture ?

j'avais lu la chambre des merveilles qui m'avait émue aux larmes, j'avais continué sur ma lancée et aimé ce que je lisais : plein de sentiments, de profondeur
Avec ce roman, je ne peux pas dire que je vais en avoir un souvenir impérissable C'est correctement écrit mais ça manque de profondeur.

Que feriez-vous si vous aviez gagné une somme d'argent à un jeu de hasard ? Autant, je me rappelle de la liste de mes envies de G Delacourt que j'avais lu et vu et que j'avais aimé.

Ici j'ai trouvé ca un peu trop simpliste, un peu trop plein de guimauve et de lieux communs. C'est dommage parce que j'avais trouvé les personnages attachants
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Un bon roman feel-good où l'on voyage de d'Aigues-morte à New York en passant par l'Italie, ainsi que dans les souvenirs et secrets de la famille de Gina.

Une histoire plaisante, des personnages sympathiques, malgré un happy end un peu convenu.

Ce n'est pas mon préféré de Sandrel, mais une belle Ode à la gratitude.
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Une jolie histoire où on retrouve de l'humour avec les différents personnages.
Malgré que ce soit un "feel good" assurément, j'ai trouvé le roman un peu trop facile et assez invraisemblable sur certains points de l'histoire.
En revanche, j'ai bien aimé le thème abordé historique de l'immigration et les explications qui en découlent dans le roman, mais aussi le thème de l'homosexualité chez les personnes âgées.
C'est un peu un roman sur le bilan de la vie de Gina avec tous les éléments marquants d'une vie, c'est beau mais un peu trop plein de "bon sentiment" j'ai trouvé.
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Tout d'abord, je vais être sincère. Je n'ai pas fini le roman.
Attention, je ne crois pas que ce soit un mauvais roman (d'où ma note) mais un mauvais choix de ma part.
Roman feel-good qui plaît et plaira aux lecteurs à la recherche de joie, douceur, bonne humeur et sans doute d'émotion, même si pour moi elle n'a pas été au rendez-vous.
Ce que je lui reproche? Il m'a semblé peu vraisemblable (même si il fait allusion par moments à des faits historiques), les traits d'humour ne m'ont pas conquise, mais surtout son côté un peu trop sucré. Mais en littérature comme en gastronomie il en faut pour tous les goûts!
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Un jour, Gina, 85 ans, gagne une grosse somme d'argent au casino. Elle décide alors de partager ce montant avec toutes les personnes qui ont joué un rôle important dans sa vie, pour les remercier. Elle part donc à New York sans prévenir personne. Lorsque sa petite-fille Chloé l'apprend, elle décide de la retrouver, accompagnée d'Olga, l'amie extravagante de sa grand-mère.
J'ai bien aimé ce livre. Même si l'histoire semble légère, l'auteur aborde des thèmes tels que le sort des immigrants à Ellis Island, le coming out et le déni de grossesse.
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Dire merci n'est pas toujours une action facile et évidente. Dire merci c'est souvent se mettre à nue. C'est franchir une barrière invisible. C'est s'ouvrir à l'autre.

Avec ce roman qui m'attend depuis sa sortie dans ma PAL, je remercie @yogiquilit de me l'avoir fait sortir pour cette chouette lecture commune (un peu décousue !).

J'avoue que j'ai trouvé trop facile chaque étape dans laquelle va se lancer Gina pour remercier les personnes qui ont marqué sa vie. J'ai trouvé des similitudes avec La chambre des merveilles (coup de coeur ; tout comme son adaptation cinématographique).

Je reste sur ma fin. Néanmoins, j'ai beaucoup aimé Olga qui est pétillante et remplie d'humour.

A qui avez-vous envie de dire merci ?
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