Aïe! Sept chaises vides (1ère de couverture), qu'on aimerait un peu plus musicales. Vides elles le resteront en ce qui me concerne, étant donné la banalité et la médiocrité des personnages, de l'ambiance, de l'intrigue, vides, complètement vides, car je les ai renversées par mégarde, et que je les ai abandonnées sans pitié aucune, parce que ça faisait schlink schlink dans ma tête.
Dans le fond, la morosité de l'année en cours, qui a comme verrouillé nos esprits, est peut-être en cause. La vie cherche à reprendre ses droits! de l'air, du soleil, de la gaité, et sans bruits de voitures, là, est-ce trop demander?
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