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sur 267 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je ne connaissais pas Maria Schneider, je la découvre ici doucement au fil de la plume de sa cousine Vanessa.

Maria était libre et sauvage, souvent naïve et insouciante ne connaissant rien au monde du cinéma, elle rentre à pas feutrés dans ce cercle fermé grâce à Alain Delon puis Brigitte Bardot. Sa carrière sera lancée avec le scandaleux film des années 70, le dernier tango à Paris. Profondément marquée par ce film dont une scène lui sera infligée à son insu, elle oscillera entre adulation et mépris. Sa beauté sera souvent prétexte à son talent, c'est nue qu'on la représente sur une affiche à sa mort, comme une peau sans âme ni consistance. En était-il autrement? À vrai dire, je l'ignore puisque Vanessa ne s'attarde pas sur la personnalité ou la psychologie de Maria. Elle relate sa carrière entre deux piqûres d'héroïne. Vanessa se souvient du tempéremment cyclique de Maria, des hauts et des bas, des joies exacerbées, des cris soudains.

Est-ce que je sors de cette lecture satisfaite de l'avoir côtoyé quelques heures Maria Schneider ? Pas vraiment, primo la carrière de cette actrice ne m'a pas passionnée et secundo, j'ignore toujours qui tu étais Maria. Peut-être quelqu'un de bien et d'atypique, allez savoir. Seule toi, sa cousine tu le sais ou en as une idée... Sinon Vanessa, je voulais te dire que oui tu as une belle plume, légère loin de toute exubérance et exagération mais il m'aura manqué la consistance et ce petit plus qu'on nomme sensibilité. Pas convaincue que ce roman soit une biographie, plutôt un patchwork de films et de rencontres...
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Je ne me joins pas à ce concert de louanges ; j'en suis presque gênée...

Tu t'appelais Maria Schneider ne se présente ni comme un roman, ni comme une autobiographie, ni comme une biographie. En fait, l'auteure, Vanessa Schneider, grande reporter et écrivaine, semble vouloir effacer rapidement la frontière entre les genres : « Je ne sais pas si c'est le récit que tu aurais souhaité, mais c'est le roman que j'ai voulu écrire ». Il y aurait beaucoup à dire sur cette seule phrase qui révèle le souci de l'écriture et qui ouvre le champ des possibles. Les oppositions entre « tu » (Maria) et « je » (Vanessa) ainsi qu'entre le récit que Maria aurait souhaité (faire, lire, écrire ?) et le roman que Vanessa a voulu (écrire) apparaîtront à de nombreuses reprises dans le texte et suggèrent les multiples contradictions que l'auteure fait partager aux lecteurs. On se rendra compte au fil de la lecture qu'il s'agit de raconter autant Vanessa que Maria.

Dans une suite achronologique de chapitres très brefs pour la plupart, Vanessa Schneider évoque la carrière scandaleuse et la vie tourmentée de sa cousine Maria, de dix-sept ans son aînée, en alternance avec sa propre vie. Les deux femmes appartiennent à une famille dysfonctionnelle sur laquelle Vanessa a d'ailleurs écrit d'autres textes auxquels elle fait allusion à quelques reprises : Tâche de ne pas devenir folle sur sa grand-mère paternelle, d'origine roumaine, qui est aussi la grand-mère de Maria, et La Mère de ma mère sur sa grand-mère maternelle, d'origine haïtienne, à laquelle elle doit sa couleur de peau qui, explique-t-elle, la marginalise et la fait beaucoup souffrir pendant l'enfance et l'adolescence. Les récits de leurs deux vies s'entremêlent ; tantôt la biographie de Maria est privilégiée, tantôt elle n'est qu'un point d'appui pour raconter celle de Vanessa.

Les femmes de leur famille ont des destins « exceptionnels » écrit Vanessa Schneider, et pas dans l'acception positive de l'adjectif ! La mère de Vanessa coupe les ponts avec sa propre mère « splendide et vénéneuse Haïtienne » sans que l'on sache trop pourquoi. Sa grand-mère paternelle, mariée à quinze ans à un homme beaucoup plus âgé qu'elle, aura des enfants de plusieurs hommes, privilégiera ses six garçons (dont le père de Vanessa) et négligera sa seule fille, la mère de Maria, qui développe une personnalité très perturbée, par exemple dans les relations avec sa fille : elle jalouse Maria et semble incapable de l'aimer. Ces déséquilibres se répercutent sur les générations suivantes.

Tout en lui reconnaissant d'évidentes qualités littéraires, j'éprouve beaucoup de difficultés à commenter ce livre qui m'a mise profondément mal à l'aise. le scandale provoqué par Dernier tango à Paris n'en n'est pas la cause. Je suis de la même génération que Maria Schneider, et sans être une habituée des journaux à potins, je connaissais déjà la plus grande partie de ce qui est raconté ici tant la tempête autour de ce qu'on a appelé la scène du beurre fut énorme. Ce qui m'a dérangée, c'est que l'auteure donne parfois l'impression de régler ses comptes.

On dirait en effet que ce livre veut mettre en lumière certains défauts, faiblesses, bassesses de l'entourage proche ou moins proche de Vanessa Schneider. Maria Schneider est présenté sous différentes facettes, sans concession. Mais la compassion de l'auteure ne sonne pas toujours juste, et l'alternance entre une prétendue bienveillance et une grande sévérité construit cette histoire. le père de Vanessa est parfois adulé, mais plus fréquemment, il n'est pas à son avantage. On pourrait croire que Vanessa s'approprie la rancoeur de Maria qui est restée longtemps sans parler à son oncle : c'est lui qui l'a fait enfermer dans un « établissement […] loin de Paris ». Mais avant de raconter cet épisode, Vanessa interpelle son père à qui s'adresse alors le « tu » habituellement destiné à Maria : « Tu n'as jamais rien pu jeter, papa, […] te résoudre à te débarrasser d'un fond de lait, d'un reste de poulet », etc., lui reprochant une forme d'avarice et son intransigeance. Ou encore : « Les forêts me font peur, papa, depuis que tu nous y as perdus un automne alors que nous étions si petits », comme si le père avait perdu volontairement les enfants et ne s'était pas lui-même perdu…

C'est la famille Gélin qui fait les frais du plus grand nombre de coups de griffes, me semble-t-il, même quand l'intérêt pour éclairer l'histoire de Maria n'est pas évident. Par exemple, ces remarques sur la famille Gélin qui assiste à l'enterrement de Maria : « À droite, leur mère, Sylvie Hirch, aux courbes alourdies par les années. le mari de Fiona ne figure pas sur le cliché. de toute façon, il ne l'a pas été longtemps », etc. Bref, le sentiment de culpabilité provoqué par l'écriture de ce livre souvent avoué puis dénié, l'indulgence pour les frasques de Maria affirmée puis effacée, le déballage des inclinations de chacun (qui est bisexuel, qui s'est drogué, qui a tapiné, etc.), et la quantité de remarques acerbes m'ont sans aucun doute empêchée d'apprécier toutes les qualités du document.

Comment dire… J'ai parfois eu l'impression d'avoir été incitée à participer au grand déballage du linge sale qui n'aurait pas encore été lavé en famille...

Pour le Grand Prix des lectrices de Elle : merci pour tous les livres !
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Vanessa Schneider rend ici hommage à sa cousine l'actrice Maria Schneider, dont la vie fut démolie après le tournage du film de Bertolucci qui fit scandale « le dernier tango à Paris ».
Au delà de ce traumatisme l'auteure met en évidence les conditions de vie familiales qui jouèrent leur rôle dans la descente aux enfers de l'actrice.
Vanessa Schneider nous donne ici à lire un livre attachant, plein d'amour pour sa cousine. Elle a la dent dure sinon pour le milieu cinématographique, au moins pour certains de ses acteurs dont Bertolucci. Je regrette simplement le rejet un peu systématique des années 70 et de l'après 68 en général dont elle fait preuve, accusant la permissivité et l'esprit de liberté (enfin conquise) qui y régnaient.
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Je ne regarde plus un film de Bertolucci avec admiration. Et pourtant " le dernier empereur"est très beau. Je ne lui pardonne pas d'avoir détruit une jeune femme en quelques minutes pour une scène ridicule sans l'avoir prévenue. Ce livre est un hommage à Maria Schneider, à sa vie si dure, sa solitude et ce peu d'amour reçu par ses pairs.
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Qu'il est difficile de lire la déchéance de Maria Schneider. Enfant perdue, jeune femme bancale, elle arrive dans le cinéma sous le parrainage de son père célèbre mais caché.
Elle n'imagine pas qu'un événement qui va alors détruire sa vie. Un viol. Une scène vécue comme un viol selon les propres souhaits du réalisateur. Sa carrière ne s'en remettra pas. Et elle, comme femme et comme actrice, en sera doublement détruite.
Ecrit par sa cousine, le récit n'a pas de prétention biographique exhaustive. L'auteure raconte « sa » Maria. Mais cette approche familiale est tout aussi intéressante quand on découvre la constellation au sein de laquelle ces deux femmes évoluent. Drogues, suicides, folie : le mal-être ne manque pas dans cette famille.
Des chapitres courts, vifs, puissants. L'auteure dit beaucoup avec très peu de mots - j'adore cette prouesse. L'ensemble devient vite envoûtant, le procédé de l'anaphore aidant.
Absorbée, j'ai dévoré ce livre. Mais force est d'admettre qu'il reste en surface. Que je le referme un peu frustrée. Avec sa louable pudeur, il ne creuse pas toujours les sillons qui auraient permis de mieux comprendre l'actrice encore.
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Il s'agit plus d'un livre sur Vanessa Schneider, la journaliste, que sur sa cousine, l'actrice Maria Schneider.
La première a été élevée dans une famille bourgeoise bohème parisienne où certes le regard social a pesé sur l'enfant mais les échanges intellectuels ont certainement formé la jeune femme qu'elle est devenue.
La seconde apparaît irrégulièrement dans la vie de Vanessa. Elle est déjà une jeune femme brisée. Ses emportements rythment ses visites et pèsent sur ce qui lui reste de famille.
J'aurais souhaité en connaître davantage sur l'actrice, ses choix, ses colères. J'ai le sentiment d'être restée à la surface de sa vie.
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Mon avis sur cet ouvrage est, ma foi, assez mitigé. Au moment de le refermer, j'étais très satisfaite de ma lecture. Mais avec du recul, beaucoup d'éléments me sautent aux yeux, et me questionnent quant à la raison d'exister de ce roman.

Il faut insister sur le fait que le livre n'est pas une biographie de Maria Schneider. L'actrice y est évoquée au travers du regard de sa cousine Vanessa, à certaines époques de sa vie. du coup, en refermant le livre, je n'ai pas eu la sensation de connaitre davantage Maria Schneider que via sa page Wikipedia… D'autant plus que ce sont les périodes les plus sombres de la vie de cette femme sur lesquels le livre se concentre, donnant quelques scènes assez voyeuristes qui, avec du recul, mettent mal à l'aise.

Le livre ne se prétend pas être un hommage, et il est normal que la part sombre de la personne évoquée apparaisse, mais j'aurais aimé un peu plus de personnalité dans la description de cette femme qui a été brisée par le cinéma, par le sexisme et la sexualisation, et a été violemment agressée sur son premier vrai tournage. Et surtout, il laisse planer un énorme blanc sur une très large partie de la vie de Maria Schneider, qui parait la partie la plus calme et la plus heureuse. C'est surtout cela qui m'a dérangé, que l'auteure se permette d'évoquer en détails le sordide et laisse peu de place à la lumière et à l'apaisement…

Le roman met clairement en avant la sexualisation de la femme qui était monnaie courante dans les années 70, et toute la mauvaise foi et la misogynie qui en a découlé. Alors que le féminisme est aujourd'hui une problématique centrale, voir ce qui a pu lui arriver il y a à peine une quarantaine d'années est ignoble et révoltant. Vanessa Schneider décrit par ailleurs fort bien le mode de pensées, les différences sociales et les changements sociétaux de ces années charnières, toujours avec ce petit oeil critique qui fait la spécificité et l'intérêt du genre biographique.

Même si j'ai apprécié le livre dans sa globalité, je dois avouer rester un peu sur ma faim concernant le traitement réservé à la vie de Maria Schneider. J'ai malheureusement l'impression qu'en n'évoquant que son destin brisé et ses années de turpitude à cause de l'agression dont elle a été victime, Vanessa Schneider laisse la vedette à cette fameuse scène du Dernier Tango…
Lien : https://matoutepetiteculture..
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Avant ce livre, je ne connaissais pas Maria Schneider, n'avais vu aucun des films dans lequel elle a joué et ne m'étais à vrai dire jamais vraiment intéressé au cinéma des années 1970.

Alors, cette plongée dans les années post-libération sexuelle a été une vraie découverte pour moi. Entre politique, cinéma, drogue, alcool, sexe, j'ai suivi le destin tragique de Maria Schneider de son premier rôle à son décès. Rien ne lui aura été épargnée...

Aujourd'hui la parole se délie, la triste vérité se fait jour et je ne peux qu'espérer que cela permettra d'éviter d'autres destins aussi tragiques. Mais pour Maria, et pour combien d'autres, il est trop tard pour demander pardon.
Restent alors les livres pour se souvenir.



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On ne se souvient peut-être pas de son nom, mais qui a oublié l'actrice vedette dans "Le dernier tango à Paris" ? personne ! le film avait fait scandale en 1972. Les scènes de sexe avaient choqué/émoustillé le grand public. Il semble que Maria Schneider n'avait pas été prévenue de la scène de sodomie (simulée) qu'on lui a imposé de jouer. Mais, pour elle, ce n'était pas du tout un jeu et elle a subi cet assaut comme un viol. Par la suite, cette fameuse scène a été désormais associée systématiquement à sa personne. Et, refusant toutes les propositions à caractère pornographique, Maria n'a plus connu le grand succès au cinéma.

C'est sa cousine Vanessa, très proche d'elle, qui raconte ici sa biographie. A juste titre, elle ne se focalise pas sur le film maudit. L'auteure tricotte les deux vies parallèles de Maria et Vanessa et surtout met en perspective toute la vie de l'actrice. Celle-ci a eu pour père Daniel Gélin (qui n'a pas reconnu cette fille naturelle) et pour mère une femme pour le moins excentrique, qu'elle a dû fuir pendant son adolescence. C'est ainsi qu'elle a débarqué chez Vanessa (dont la famille était, aussi, très spéciale). Très jeune et belle, mais sans aucun repère, Maria a erré dans le monde du spectacle, jusqu'à obtenir une première "consécration", prématurée et sulfureuse, qui plombera son existence. Maria Schneider tombera dans l'héroïne, puis mourra d'un cancer à 58 ans.

La chronique de cette déchéance annoncée a quelque chose de poignant, même si l'auteure s'abstient de tout pathos. Quant à moi, il se trouve que je professe la tolérance zéro vis-à-vis des drogues dures; c'est pourquoi je n'éprouve pas de vraie compassion pour Maria. Toutefois, le personnage est emblématique de la pourriture de notre monde - et notamment de certains milieux comme celui du cinéma. Ce roman mérite d'être lu. Ceci dit, ce n'est quand même pas un grand livre.
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Si je n'avais pas fait partie de ce jury je n'aurais pas lu ce livre. C'est tout ce que je fuis.
Ceci posé, j'ai trouvé cette déclaration d'amour de Vanessa à Maria touchante et bien écrite.
Vanessa regarde des photos de famille et surtout celles qui ont capturé une Maria heureuse. Elles sont rares dans toutes les acceptions de l'adjectif.
« Tu étais libre et sauvage. D'une beauté à couper le souffle. Tu n'étais plus une enfant, pas encore une adulte quand tu enflammas la pellicule du Dernier Tango à Paris, un huis clos de sexe et de violence avec Marlon Brando. »
Je n'ai jamais vu le film et pourtant j'ai retrouvé dans ce récit beaucoup de choses qui me parlaient, la mémoire garde l'empreinte des gros titres et des bribes d'émissions.
Ce que j'ai retenu c'est ce déploiement des rushes de pellicules que Vanessa partage avec les lecteurs.
Maria est mal née et lorsque sa beauté naissante peut faire de l'ombre à sa mère et tenter les amants de celle-ci elle est mise à la porte de chez elle, sans plus de jugement.
Son père Daniel Gelin, est un père intermittent qui la montre dans le milieu du cinéma comme une mascotte.
Le cinéma, ce milieu qui brille de mille feux, qui attire comme les lucioles dans une nuit festive.
Maria est recueillie par les parents de Vanessa jusqu'à la naissance de celle-ci qui garde « le sentiment désagréable de l'avoir chassée ». Ce n'est pas faute d'affection juste un appartement trop exigu.
On assiste aux ravages des familles dysfonctionnelles.
Le drame de Maria : être une enfant non aimée, non éduquée, c'est ça sa beauté libre et sauvage. Mais c'est aussi ce qui la perd.
La seule éducation reçue, est celle livrée par la liberté des parents qui font assister à tout à leurs enfants qui s'élèvent seuls, car les parents ne veulent pas d'entraves.
« Nous sommes d'une famille où l'on ne cache rien aux enfants, surtout ce qu'ils ne devraient jamais savoir. Dans l'histoire que l'on se raconte chez nous en chuchotant, ta mère est au lit avec un homme. Elle crie ton nom qui résonne dans les couloirs de l'appartement, elle te demande de lui apporter son diaphragme. Son ton est sec est impérieux comme à chaque fois qu'elle s'adresse à toi. »
Alors oui il y a eu inéluctablement l'attrait des feux de la rampe, les désillusions, la spirale de la drogue et de l'alcool.
Il y a eu tous ceux qui ont promené Maria comme une mascotte, son propre père sans l'entourer ni la protéger.
Maria était-elle libre ?
Pour moi elle l'a été en prouvant que l'on peut montrer « son cul « au cinéma et être digne et pudique, ce qu'elle a été finalement.
Contrairement à ce que j'ai lu ici ou là, je ne suis vraiment pas convaincue que Maria aurait adhéré au mouvement #Me too.
Assurément Maria Schneider n'était pas « comme tout le monde » elle était beaucoup mieux que ceux qu'elle côtoyait.
Un hommage émouvant, pour laisser une trace d'un beau sourire.
©Chantal Lafon-Litteratum Amor 16 septembre 2018.
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