Citations sur Aristote et Dante découvrent les secrets de l'univers (461)
L'Ari que j'avais été n'existait plus. Et l'Ari que je devenais ? Il n'existait pas encore.
J'ai essayé d'arrêter de divaguer. Je détestais vivre dans ma tête.
Une nuit d'été, je me suis endormi en espérant qu'à mon réveil le monde serait différent. Le matin, quand j'ai ouvert les yeux, le monde n'avait pas changé.
Avais-je été blessé ?
Avais-je guéri ?
Peut-être vivons-nous constamment dans un état entre la blessure et la guérison.
Un instant, j'ai pensé que le monde n'avait jamais souhaité mon existence et qu'il saisissait l'opportunité de se débarrasser de moi.
- [...] Mais on n'a pas besoin de toujours comprendre les gens qu'on aime.
I thought it might be a great thing to be the air.
I could be something and nothing at the same time. I could be necessary and also invisible. Everyone would need me and no one would be able to see me.
– Un jour, je découvrirai tous les secrets de l’univers.
– Qu’est-ce que tu feras de tous ces secrets, Dante ?
– Je saurais quoi en faire. Peut-être changer le monde.
Je savais que Mme Quintana voyait quelque chose en moi qu'elle aimait. Quoi que ce soit, ce devait être beau, mais je le voyais également comme un poids. L'amour m'avait toujours semblé être quelque chose de trop lourd pour moi.
-Quand commence-t-on à penser que le monde nous appartient ?
Je voulais lui dire que le monde ne nous appartiendrait jamais.
-Je ne sais pas. Demain.