C'est pourquoi Seeckt, en Allemagne et de Gaulle, plus tard, en France, étaient partisans d'une armée de métier (active), adossée à une conscription (appelés faisant un service militaire). Cest-à-dire qui fallait combiner un très solide corps professionnel, notamment, dans l'esprit de Charles de Gaulle, pour servir dans les blindés - et un service militaire mobilisant la nation tout entière. [p.136]