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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.

Climat : Psttttt….. Eh pstttttt

Capitalisme : Putain encore lui…

Politique : J'ai rien dit je te jure

Démocratie : ça sent la merde

Famine : A qui le dis tu

Climat : Je vais vous niquer vos races

Capitalisme : 50 ans que tu nous dis ça, à part quelques tsunami et autres banalités qui n'impressionnent plus grand monde… on s'en branle…

Misère : Nous on écope toujours…

Politique : Nous on ….

Capitalisme : Nous on …. Nous on rien du tout, alors tu fermes bien ta gueule

Démocratie : Va falloir raquer si vous voulez pas que je me barre

Capitalisme : on a besoin de toi, fais pas le con

Politique : plus que jamais…

J'en suis venu à lire ce bouquin pour donner suite à ma lecture de « Henri Laborit : L'éloge de la fuite », un essai de sociologie qui pourtant ne traite absolument pas du catastrophisme écologique, mais plutôt qui tente d'expliquer celui de l'humain : son imaginaire avec des trucs cognitifs qui nous polluent le cerveau, le tout pour inventer un tas de principes de merde : langage, dominance/dominé, éducation, échelle sociale, élite etc…

En croisant quelques recherches sur ces passionnants sujets, on finit par s'interconnecter avec la psychologie, la philosophie, l'anthropologie enfin touts les trucs un peu chiadés en « ie »… Pour raccourcir un peu il n'y a qu'à lire « Diamond, Jacquart, Reeves, Ziegler, Laborit et un tas d'autres auteurs tout aussi légitimes que je n'ai pas lu, en faisant abstraction d'un parti pris humain propre à chacun, mais dans les grandes lignes : Darwin a fait du bon boulot, les grands philosophes des bonnes bouffes, et tout ce petit monde a plus ou moins raison en fonction des découvertes et du temps qui trépasse, en bref ils racontent un peu tous les mêmes choses… si si quand même… je caricature ? Pense-tu, à un poil de cul près de ma médiocre vulgarisation : je suis dans le vrai.

Raccourcissons donc le passé et tout le reste parce que c'est trop long, si si mesdames, je vous assure, c'est des tas de bouquins, de réflexions, de pensées, de courants, de conférences pour aboutir tout simplement à notre mort qui quoi que l'on invente finira pas nous emporter dans l'oubli le plus complet :

Donc à mesure que les millions d'années se sont écoulées, nous sommes arrivés au pic de l'enculerie la plus spectaculaire, un paradoxe incroyable qui donne l'équation suivante :

pour s'en sortir, c'est trop tard, la mondialisation a cannibalisé tout sur son ambitieux projet d'enrichissement pour les dominants... pour des alternatives sérieuses et durables ? Faudrait encore plus accélérer l'effondrement avec une consommation d'énergie démesurée et une croissance toujours plus exponentielle, le capitalisme ou la loi de plus-value, « l'exploitation de l'homme par l'homme »...

On a colonisé, éradiqué au nom du seigneur pour prêcher la bonne parole, pour apprendre la civilisation aux sauvages, mais surtout pour épuiser toutes leurs richesses, ensuite on a manipulé, corrompue pour maintenir notre domination, les lobbys se frottent les mains et leur portefeuille.
On favorise la misère en créant des besoins, et des rêves toujours plus fous, toujours plus futiles, on invente des mythes et des contes de fées pour fédérer et asservir, pour dominer les masses...

On écrase les alternatives par la dépendance, on écrase la rébellion par la répression, les tours d'ivoires se dressent pour une élite minoritaire qui s'enrichit en s'appropriant la connaissance, toujours plus vite, toujours plus haut, toujours plus grand… pourtant avec un vrai partage des richesses, le capitalisme est un excellent système, voir le meilleur.

Et oui avec un vrai partage des richesses, plusieurs monnaies locales, des partenariats locaux avec une production locale on pourrait survivre, Cuba a bien réussi, même si il y a plus de misère sociale, ils ont su s'adapter, devenir débrouillards et auto suffisant, eux ils sont prêts à l'effondrement car ça fait un moment qu'ils ont trouvé des alternatives, peu importe ce que pensent les gens dans leur jacuzzi, à siroter des bulles spéculatives en attendant leur mort, la réalité c'est que tout est possible ; la permaculture, l'entraide, l'adaptation, l'imaginaire, il faut juste se réinventer, oublier nos rêves d'un confort sans limite qui nous pousse à chercher le bonheur dans la bêtise sans jamais profiter d'une réelle liberté.

Le problème c'est que notre inventivité se profite à court terme et se condamne à long terme, notre égoïsme, notre soif de domination nous a aveuglé, aujourd'hui il y des faits scientifiques et sérieux, comme toute théorie il y a des impondérables, des inconnus, mais quand bien même, nous sommes hermétique à la spéculation, pour prendre conscience d'une catastrophe, il faut un danger immédiat palpable, et là on panique, et là on sonne l'alarme, mais le bateau commence déjà à couler, les statistiques avaient pourtant calculé les dangers :

« quéquette ouais, plein gaz que je vous dis, je n'ai que faire de toutes ces conneries… » le Titanic a coulé , quand on veut montrer sa bite en public, en général on finit par avoir des problèmes, mais des fois ça passe…

Aujourd'hui tout est interconnecté partout dans le monde, Une crise, "pffff no problem", on réinjecte encore plus d'argent, on crée des tas de produits spéculatifs, on fou à la rue quelques prolétaires de plus, on crée de la misère, on robotise, on creuse plus profond, il nous faut de la croissance, de la consommation, donner l'envie aux pauvres d'être riche, aux riches d'être très riche, on maitrise l'art du sophisme, de la rhétorique, on occupe les masses à bosser toujours plus sur des machines toujours plus performantes, les gens subissent, survivent, ils perdent les connaissances, ils n'ont plus le temps d'apprendre, si demain le bateau coule, il ne savent plus nager…

Mais surtout on épuise la terre de ses ressources à grande échelle, et on s'enfonce la tête dans la sable jusqu'à l'agonie la plus perverse.

Aujourd'hui même les experts ne peuvent même plus anticiper ce qui va se passer dans les domaines de l'économie tellement c'est instable et fragile… le climat se dérègle, ça devient une banalité, on s'inquiète peu de la routine, les périodes migratoires s'accentuent, on est partagé entre notre confort et les droits de l'homme, mais quand le phénomène va s'amplifier, on va s'habituer à la répression, les extrêmes arrivent au pouvoir, les murs se dressent, et le déni des plus riches fait passer tout ça pour du catastrophisme à deux balles menés par des gourous scientifiques à la con qui nous emmerdent avec leurs théories fumeuses…

Pourtant le pétrole s'épuise, et sans pétrole, c'est guerre et guerre, maladies famine et un effondrement totale, le réchauffement nous brule les fesse, 2, 3, 4 degrés et la mer monte, les dérèglements climatiques s'amplifient, tout le système s'effondre, nous sommes trop dépendants de nous même à travers le monde, on ne sait plus se débrouiller tout seul…
Ce livre est un condensé de tous ces facteurs, de notre salut prochain étayés pas des études récentes, il explique clairement pourquoi et comment… Il répète ce que l'on nous a rabâché depuis 50 ans, il rejoint l'avis de nombreux sociologues, écologistes, scientifiques, philosophes, biologistes, économistes etc…

Il y a des solutions, compliquées, anxiogènes, car il n'y a plus de sens à notre vie présente comme on nous l'a éduqué et vendu depuis notre naissance et comme on l'a rêvé.

Moi je gagne bien ma vie, par contre je me fais chier dans mon taf, j'ai vendu mon âme au capitalisme pour payer les croquettes des chats et un tas d'autres trucs qui ne me servent que pour l'instant éphémère du bonheur déjà passé… mais de quoi je me plains moi ? hum de ma bêtise, de mon manque de discernement, de mon immaturité, de mon égoïsme, je travaille pour des multinationales immorales, condamnées parfois, et il faut aller toujours plus vite, avec toujours moins, dès l'école la compétion sonne comme la norme, on nous forme à aller vite, si on ne suit pas , nous ne sommes que de la merde incompétente, faut rentrer dans la spirale capitaliste.

Je me suis enfermé dans cette vie à la con qui me casse les couilles, devenu dépendant d'un niveau de vie ridicule, alors j'essaie de me soigner un peu, à mon échelle, le chemin est long, l'ennui au taf difficile, mais rien n'est perdu quand on a des rêves et un peu d'inventivité…

Bref lisez ce livre, ça parle d'écologie et c'est sérieux, mais vous avez droit de fermer les yeux, peu importe l'important c'est de le dire, le moment venu on s'adaptera dans la douleur certes mais on s'adaptera.

A plus les copains
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Un livre clair qui aborde le sujet sans dogmatisme et qui m'a beaucoup appris... L'édition récente est augmentée d'une postface datant de 2021, soit six ans après la sortie de la première version. L'occasion pour Pablo Servigne et Raphaël Stevens de mettre en perspective l'actualité avec la part de prospective que contenait l'ouvrage. Un bon moment de lecture éducative.
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Comment tout peut s'effondrer de Pablo Servigne et Raphaël Stevens fait suite à d’autres lecture que j’ai fait sur le sujet. Notre civilisation construite sur le pétrole et notre système financier sur la dette est à bout de souffle, nous empruntons sur le futur pour consommer maintenant la génération suivante aurons le pic du pétrole et l’effondrements du marché devant eux sans parler de l’effondrements climatique et biologique un scénario inévitable sans issue peut-être dans le pire des cas la fin de l’espèce humaine. Notre civilisation est verrouillée depuis le milieu du 19e siècle sur la croissance et comme nos systèmes sont hypercomplexes le simple fait de dérègler une fonction peut plonger le monde dans un chaos preuve que les civilisations complexes s’effondrent plus vite qu’une civilisation non complexe. On a inventé des absurdités comme Le Développement Durable et la Taxe Carbone qui permet aux riches de polluer sur le dos des pauvres, pour le développement durable j’ai une histoire il fut un temps que l’entreprise pour laquelle j’ai gagné ma vie a fait ce que l’on appelle une réorganisation du travail, on a informatisé et mécanisé les tâches qui a donné une baisse marquée du nombre de salariés présent dans l’usine et en plus pour faire la même chose c’est à dire les mêmes processus avec moins de travailleurs on a étiqueté cette entreprise Développement Durable, j’y pense les pays Nordiques qui ne font pas de coupes a blanc et protège leurs forêts importe le bois qu'ils leurs manquent. Pour le bouquin en question il rappelle que régler la question des G.E.S. n’est en rien suffisante il y a pleins de barrières invisibles tel que la consommation de l’eau potable qui à partir de 4000 km3 ne se régénère plus et nous sommes a plus de 3000 km3 selon les dernières statistiques, une autre donnée nous ajoutons environ 77 millions de consommateurs par année sur la planète et le système hypercomplexe financier est à bout de souffle et quand les grands investisseurs se rendrons compte que pour que chaque dollar consommés il en faut cinq dollar empruntés sur le futur avec la fin des ressources alors la fin de la démocratie et de notre civilisation sera consommés a tout jamais.
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Une broutille : l'effondrement. Rien que ça ! Mais quel effondrement ? Faut-il y croire ? L'effondrement ne se résume-t-il pas à une légende urbaine ?
Certains réussissent très bien à s'en persuader, jusqu'au plus haut niveau, jusqu'au maître du monde. Donc, histoire de déblayer un peu ce qui pourrait relever, pas forcément de la fake news (tout de suite les grands mots), mais au moins de la manipulation de pensée, ce livre nous invite d'abord à prendre un peu de recul.

Une première partie donne ce qui pour l'auteur constitue les premiers signes de l'effondrement. le parallèle, fait avec une voiture lancée à pleine vitesse est habile : tout le monde conçoit que quand on appuie sur le frein, il faut encore un certain temps à la voiture pour s'arrêter. On nous fait prendre conscience des limites des ressources, celles qui sont infranchissables, celles dont on peut s'affranchir, au moins partiellement.
Les assertions ne sont pas juste assénées, c'est documenté. Parfois un peu facilement par des graphiques un peu simplistes, mais les vingt-cinq pages de notes (essentiellement de références) sont là pour attester de l'existence des études sur lesquelles le propos s'appuie.

Édite en 2015, le livre a donc été écrit il y a plus de 5 ans déjà, et sans doute il date déjà un peu. Mais indéniablement cela permet de se rendre compte si les orientations suivies par le climat par exemple sont celles prévues au moins dans les grandes lignes.

La deuxième partie, très courtes, nous explique justement différents modèles prédictifs.

La troisième partie, traitant plus spécifiquement de la collapsologie, parle donc plus d'avenir.

Tout est discutable, car des solutions qui n'existent pas encore peuvent être inventées à tout moment. Bon, ça c'est la version « le pire n'est jamais certain ».
Par contre, la version réaliste, celle que tu peux observer depuis un moment autour de toi dans le monde, quand on te parle d'environnement, de climat (oui, quand on te parle santé, politique, c'est pareil aussi), c'est plutôt la loi de Murphy, de l'emmerdement maximum.

Une référence, ce livre, à connaître pour s'ouvrir de nouveaux horizons !
Lien : https://chargedame.wordpress..
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Voici un livre qui ne va guère égailler votre été ! Il se veut une démonstration implacable, avec courbes et graphiques à l'appui du caractère inéluctable d'un effondrement, ou disons d'une forme d'effondrement sans qu'il soit encore possible d'en déterminer la date de manière plus précise. le livre se veut très pédagogique, et de fait il est tout à fait clair tout en étant parfaitement rigoureux. Des comparaisons entre notre monde et une voiture sont très parlantes. Les auteurs expliquent que nous sommes confrontés à des exponentielles, à une situation énergétique complexe et par ailleurs imbriquée à de grandes difficultés financières. le passage sur le rendement de plus en plus catastrophique des investissements dans le pétrole est tout à fait passionnant.
Il y a beaucoup de choses dans ce livre qui me parait être une lecture parfaitement nécessaire à défaut d'être toujours plaisante.
le livre est plus subtil que l'on pourrait peut-être l'imaginer si l'on pense qu'il nous prédit une sorte de Mad Max généralisé.
Ainsi il rappelle que des effondrements ont déjà eu lieu de manière locale par l'imbrication de facteurs climatiques, puis économiques et sociaux.
Si l'on doit ressortir avec une idée forte du livre, c'est que locaux ou plus vastes, nous n'échapperons pas à des formes d'effondrements auxquels nous ferions bien de nous préparer. Flippant mais salutaire ?
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Sans être alarmiste, Pablo Servigne nous explique au contraire que la société telle que nous la connaissons va changer, que nous soyons prêts ou non. le tout n'est pas de SUBIR ces mutations, mais de les PREVOIR et de PENSER le monde de demain.
Pour évoluer.
Une étude captivante.
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J'aime le sujet, la possibilité d'un effondrement total ou partiel. L'auteur analyse les alertes, les processus qui peuvent en découler. Il livre des points de vue, des situations et leurs conséquences. Malgré tout, je l'ai lu par petites doses car l'éco anxiété n'est pas un mythe et nous avons besoin d'espoir.
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La collapsologie désigne l'étude de l'effondrement de la civilisation industrielle et de ce qui pourrait lui succéder.
Dans cet essai, les deux auteurs font le constat alarmant des atteintes irréversibles à l'environnement et la biodiversité et de la multiplication des crises puis nous dressent le portrait d'une catastrophe annoncée.
Pablo Servigne (ingénieur agronome, docteur en biologie, spécialiste des questions d'effondrement, de transition, d'agroécologie et des mécanismes de l'entraide) et Raphaël Stevens (éco-conseiller et expert en résilience des systèmes socioécologiques) nous livrent une étude de collapsologie en 3 parties : en 1er lieu ils posent les faits et les chiffres pour établir quelles sont les différentes crises actuelles. Dans un 2ème temps, ils relèvent les indices qui tendent à envisager un effondrement. En dernier lieu ils s'interrogent sur l'immobilisme général face à la théorie de l'effondrement et sur comment réagir.
Un tableau bien sombre mais dont il est nécessaire d'avoir connaissance si l'on veut réagir et se préparer au mieux.
Lien : https://lectureenfantparent...
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Ce livre, j'y tournais autour depuis un moment déjà. le nom de Pablo Servigne est connu dans les milieux écolos, anars où je peux trainer ; et puis j'avais déjà lu des interviews – aussi instructives qu'intéressantes – du monsieur. Alors j'ai fini par acheter ce Comment tout peut s'effondrer.

Première véritable plongée pour moi dans la collapsologie. Il n'a pas fallu de nombreuses pages pour me convaincre : je crois que les auteurs ont simplement mis des chiffres, des exemples, des raisonnements sur ce que je sentais déjà à l'instinct. Et je sais que je suis loin d'être le seul dans ce cas.

Un livre loin d'être rassurant, qui nous parle de la fin de la civilisation occidentale, et peut-être même la fin de la civilisation tout court, telle qu'elle pourrait arriver – c'est-à-dire brutalement. Un livre qui invite aussi au changement, qui libère en quelque sorte, quand on cesse d'avoir peur du Grand Chaos qui pourrait arriver et qu'on accepte simplement que ça va arriver, et qu'on peut s'y préparer, sans optique survivaliste, en enrichissant sa vie, en y donnant plus de sens. Un bon bouquin.

Un seul regret, que les auteurs prennent tant soin de dépolitiser leur propos. Les pensées libertaires (références au comité invisible, etc) ne sont jamais loin, mais ils ne franchissent jamais le pas. J'ai trouvé ça un peu dommage mais je suppose que c'est pour toucher un plus grand nombre de lecteurs.
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Dans le cadre de mon travail, je devais lire cet ouvrage d'autant plus que Pablo Servigne semble faire l'unanimité dans le domaine, et je dois dire que j'ai été plutôt agréablement surprise de la solidité scientifique de l'ouvrage. de très très nombreuses références scientifiques, des arguments plutôt objectifs... Je pense que cet ouvrage pourrait être une bonne introduction à la collapsologie ou du moins à l'appréhension des catastrophes naturelles et de leurs conséquences (et surtout, le plus important de leur prise en considération par le monde scientifique et la population).
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