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4,05

sur 10418 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
en 1946, Juliet, écrivain, cherche un sujet pour son nouveau roman; au départ d'une lettre , trouvée, celle-ci va lui fournir la matière, et en arrive à ce cercle littéraire des épluchures de patates, pourquoi ce titre : parce que les membres de ce cercle, venaient pendant la guerre, alors que le couvre feu exigeait d'être rentré, ils venaient manger du cochon et une tourte aux épluchures de patates,
perso, je ne suis pas arrivée à lire tout d'un trait, mais un peu comme le courrier que l'on reçoit, par morceaux, mais ces lettres sont à la fois, tristes, gaies, drôles, etcc..... c'est un bon délassement
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Janvier 1946. Londres se relève douloureusement des drames de la Seconde Guerre mondiale et Juliet, jeune écrivaine anglaise, est à la recherche du sujet de son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, un natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis - un monde insoupçonné, délicieusement excentrique. Celui d'un club de lecture créé pendant la guerre pour échapper aux foudres d'une patrouille allemande un soir où, bravant le couvre-feu, ses membres venaient de déguster un cochon grillé (et une tourte aux épluchures de patates.. .) délices bien évidemment strictement prohibés par l'occupant. Peu à peu, la jeune femme élargit sa correspondance avec plusieurs membres du Cercle et même d'autres habitants de Guernesey, découvrant l'histoire de l'île, les goûts (littéraires et autres) de chacun, l'impact de l'Occupation allemande sur leurs vies...
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et bien bof, moi je trouve ce livre très moyen... un peu facile voire nunuche même. et je ne comprends pas trop ce que tout le monde a trouvé à cette histoire. Moi, je suis passée à côté.
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Décidément, ça n est pas une bonne période.Est ce me style? Mais en voilà un autre que j abandonné en.cours de lecture ce qui ne m arrive que rarement.
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Chère Mère,

Je me souviens de la moue peu enthousiaste suivie d'un ‘pfff' éloquent, avec lesquels tu m'avais répondu lorsque je te demandai si ce livre au nom si long et original, et qui était dans les rayonnages de ta bibliothèque, méritait d'être lu. Je viens de terminer de l'écouter en texte audio, là au fond de ma retraite à Brocéliande, après l'avoir copié sur ordinateur grâce à la bibliothèque de C* où figure-toi qu'ils ont recruté une petite nouvelle, au regard triste et mystérieux, qui semble plus préoccupée, elle, par les livres que par ses congés payés !

Je suis heureux en tout cas de constater que, … < La suite sur (PdB) >
Lien : http://antoastu.com/cercle-l..
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A ce stade, quand on ajoute une 710e critique à un bilan entendu et coulé dans le béton du succès littéraire, il est de bon ton de s'épancher sur "pourquoi y vais-je de mes 2 cents"... car une 710è critique noyée au milieu de la prose des babéliotes, cela vaut à peine 2 cents...

Je n'ai pas le sentiment d'avoir traîné à lire ce roman épistolaire. Et pourtant, quand je l'ai commencé la semaine dernière, le tableau de chasse ne comptait que 707 critiques. Deux en une semaine. Et on passe allègrement de 9900 lecteurs (et quelques miettes) à 10017...

Un bref coup d'oeil m'a montré que les misérables comptaient 120 critiques et que le Vieil Homme et la Mer, 149... pour respectivement 14022 et 5944 lecteurs...

Comme il fait bon être un succès de librairie, un livre "que tout le monde s'arrache", un peu comme le dentifrice dans une BD de Sprirou et Fantasio. Même si dans 3 ou 5 ans, ce livre retombe dans un oubli relatif (chose acquise, à mon avis), il restera cet engouement "de mode".

Et cet appétit, cette curiosité, j'y ai succombé également. Je voulais aussi percer les mystères de ce cercle littéraire qui s'enfile des tourtes aux épluchures de patates...

Et alors? Et alors? Hè, hè, Zorro n'est pas arrivé. Pas pour moi.

Le malheur a voulu d'une part que je connaisse bien la période d'occupation nazie des Îles anglo-normandes. Cette occupation n'est qu'effleurée par les auteures. En 400 pages, on n'a pas énormément de choses concrètes, profondes, détaillées. Superficiel, c'est le mot. Si une oeuvre littéraire avait des cheveux, celle-ci serait "blonde". Sans même parler des approximations dans certains détails de l'île.

D'autre part, le malheur se prolonge... j'ai lu un autre roman épistolaire simultanément... et pas des moindres: Inconnu à cette adresse, de Kressmann Taylor. C'est un peu comme si on comparait une tourte d'épluchures des patates à un châteaubriand, fondant et moëlleux. Dans le chef d'oeuvre de Kressmann Taylor, avec une chute digne des meilleures nouvelles, le parler est vrai, le style, les expressions, les convenances... autant de détails qui ne m'ont pas convaincu dans les lettres de Juliet à Sidney, et consorts.

J'ai retrouvé dans le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates ue forme d'esprit commun au film La Vie est Belle. Je ne peux pas vraiment l'expliquer, cette insouciance, cette superficialité... cela m'a gêné.

Je lis des critiques où il est question de secrets enfouis et patiemment découverts par l'héroïne... il n'y a rien de tel, même avec la meilleure volonté du monde.

Ce livre contient pourtant des dizaines de pistes. Celle avec Oscar Wilde, par exemple. Rémy, les camps, l'occupation nazie, les petites compromissions, les tahisons, les histoires de famille... tout cela n'est qu'effleuré. Et (au risque de me répéter) le livre atteint quand même les 400 pages...

J'en viens à me dire que la forme 100% épistolaire n'est sans doute pas le meilleur choix. Un mélange des deux aurait été plus judicieux, de manière à dynamiser le tout, à le tonifier. Sans compter que toutes les lettres ne sont pas là, contrairement au roman de Kressmann Taylor. Dès lors, les notes d'Isola qui concluent le Cercle littéraire tombent comme un cheveu dans la soupe (de navets...?).

Au final... je n'ai pas cru aux personnages, ou à peine. J'ai souri, un peu, je ne me suis pas pris d'amitié pour Kit, je n'ai pas pleuré sur Rémy... Je suis passé à côté.

Ce n'est que mon ressenti de lecture... Et pourtant ! Cette mise en abyme du livre où une auteure cherche un sujet, alors que le livre s'écrit sous ses yeux, au gré des lettres échangées, c'est une idée intéressante, même si elle n'est pas totalement originale. Mais, en ce qui me concerne, la clé du flop est fournie aux alentours de la page 308, quand Sydney dit à Juliet qu'elle n'écrit pas un roman mais additionne les anecdotes, les historiettes, et qu'il manque un fil conducteur, une trame, un récit, quelque chose qui emporte le lecteur... Il a raison, et sa critique s'applique tout à fait au Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, à mon avis. Cela papillonne, mais cela ne développe rien de puissant.
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Le titre m'a attirée. Je n'ai pas trouvé le contenu à la hauteur. Répétitif et barbant.
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Mary Ann Shaffer et Annie Barrows, - "Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates" – Ed 10-18, publié en 2009 (ISBN 978-2-264-05351-0)
titre anglais original "The Guernsey literary and potato peel pie society" publié en 2008.

J'apprécie beaucoup les romans épistolaires bien menés, et celui-ci en fait indubitablement partie. Qui plus est, les deux auteurs réussissent à merveille le tour de force d'évoquer, depuis l'année 1946, donc de l'immédiat après-guerre, tout à la fois la remise en route de la vie "normale" et les échos tout proches des circonstances dramatiques vécues sur l'île de Guernesey pendant leur Occupation 1939-1945 par les troupes allemandes. Rapidement, le récit trouve son centre à partir du personnage d'Elizabeth, assassinée à Ravensbrück, de sa petite-fille survivante, Kit, qui a tout juste quatre ans, engendrée par un père qui était un soldat allemand.

Chaque correspondant dévoile un aspect supplémentaire de l'histoire, au fil des lettres, adressées à la correspondante principale, Juliet, qui rend compte elle-même à son éditeur resté à Londres. C'est à la fois grave et léger, amusant et dramatique. Bon, ça ne donne pas mal à la tête, mais ça présente l'avantage d'être lisible par de jeunes esprits : l'une des deux auteurs écrit habituellement des livres pour enfants.
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Je vais aller à l'encontre des critiques dithyrambiques que j'ai pu lire ici, mais ce roman fut pour moi une grande déception.
J'ai trouvé le style (ou la traduction) d'une lourdeur terrible. le vocabulaire est pauvre et les formulations très classiques.
La narration n'a pour moi pas réussi à sauver le roman. Les rebondissements sont prévisibles et bien souvent grossiers. A titre d'exemple, le titre du roman est finalement peu exploité : il est très rapidement expliqué dans une lettre pourquoi le club de lecture s'est ainsi nommé, puis cela n'est plus évoqué. Finalement, j'ai eu l'impression que les auteurs avaient absolument voulu trouver un titre original à leur roman, sans pour autant réellement le rattacher à une histoire. Les personnages (nombreux) sont survolés et caricaturaux, de telle manière que je n'ai réussi à m'attacher à aucun d'entre eux.
L'ensemble du roman manque beaucoup de nuance. Seul point positif : le cadre de Guernesey est bien décrit et on est facilement emporté dans l'atmosphère. Pour moi, cela n'a malheureusement pas réussi à supplanter les larges grossièretés du roman.
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Roman épistolaire qui permet de s'imprégner de la période après-guerre d'une façon différente. L'histoire est sympathique, à défaut d'être franchement originale. Les personnages sont attachants. Des gens que l'on aimerait rencontrer réellement. Mais que l'on ne rencontrera jamais tant ils sont caricaturaux.
C'est un roman, amusant, distrayant qui se lit très facilement. C'est un livre plein de bons sentiments. Trop peut-être à mon goût.
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