« ce que j’ai aimé, c’est l’idée qu’il nous arrive à
tous, de temps en temps, de nous retrouver dans un tunnel tellement sombre
qu’on ne sait même plus si nos yeux sont fermés. Jusqu’à ce qu’un rai de
lumière nous parvienne. »
« Au bout du compte, on est tous des phénix, qui renaissent de leurs
propres cendres, prennent leur envol pour une destination inconnue, le bout
des ailes forgé par les flammes. »
Que malgré la liberté retrouvée il restait des batailles à mener.
Et que chacune d’elles serait sanglante.
— « Je peux être celui que tu veux. Dis-moi ce que tu veux et je le deviendrai », déclarai-je tout bas
Je suis heureux que ce mardi se soit déroulé de cette façon. Parce que le pire jour de ta vie m’a donné la meilleure version de toi
Je traverserai les flammes pour toi.
Mes cicatrices de guerre étaient externes, à la surface. Les siennes étaient internes, et les coupures profondes. Il était défiguré à l’intérieur mais parfait à l’extérieur. Une combinaison fatale.
Au bout du compte, on est tous des phénix, qui renaissent de leurs propres cendres, prennent leur envol pour une destination inconnue, le bout des ailes forgé par les flammes.
Vous n’êtes pas tombés dans la dépression. C’est elle qui vous as chopés par le pied et vous as entraînés dans des égouts profonds, sombres et remplis de merde. La dépression, c’est jamais volontaire. Alors ne vous excusez pas pour ça.
Tout ce que l’on éprouvait l’un pour l’autre - le bon comme le mauvais - tourbillonnait pour créer quelque chose qui nous dépassait.