Super triste histoire d'amour

Voilà le responsable du silence assez long de Luocine.
Non pas que j'ai été passionnée, ce tout petit coquillage montre à quel point je n'ai pas aimé ce roman, mais je voulais absolument le finir. C'est la première fois, je crois, que j'écris à propos d'un livre que je ne peux pas terminer.
Je veux me venger, ce roman m'a littéralement plomber le moral, comme le titre l'indique c'est triste, « super triste » en effet, et lorsque j'ai lu la critique de quelqu'un qui a aimé : « lecture sans frontière » je me suis réjouie d'avoir abandonné à la page 181 sur cette phrase inoubliable « …cette jolie Vietnamienne Catho qui s'est fait poser des agrafes à l'estomac. On s'est torchées au Maj Tai… »
A ce là, j'ai pensé : « torche-toi toute seule, j'en ai ras le bol ».
Et voilà, je n'ai plus été capable de lire une seule ligne écrite par Gary Shteyngart.
Pourtant le sujet est intéressant, un roman de sciences fiction qui pousse un peu plus loin l'absurdité de nos conduites.
La transparence de nos vies privées, nos téléphones portables qui nous accompagnent partout, le culte de la jeunesse et du corps parfait, la peur de mourir, l'économie qui passe aux mains des Chinois. La pauvreté réelle des USA….
Il en ressort une déambulation dans l'esprit de Lenny Abramov, entre brumes et imprécisions, qui devient vite une espèce de mélasse marécageuse.
Je me demande égalment, ce que vaut la traduction, le style est de façon volontaire, vulgaire et répétitif.
Bref je n'ai pas du tout aimé j'ai quitté sans aucun remords « les salopettes sus la moi » !! J'espère bien être contredite, mais je sais que je n'ouvrirai plus ce roman, il réussit trop bien son but me rendre complètement triste.

Déprimant, ennuyeux... je n'ai pas réussi à finir le bouquin.
Chose qui m'arrive très très rarement.

Livre à déconseiller
J'ai été attirée par la couverture et le résumé.
Malheureusement, j'ai été très déçue par le contenu.
L'univers dans lequel évoluent les personnages est totalement dérangé, loufoque et irréel, à tel point qu'il est difficile de comprendre quelque chose.
Je n'ai pas réussi un seul instant à rentrer dans l'histoire.
J'ai eu beaucoup de mal à le finir et j'ai sauté plusieurs passages sur la fin.
Très déçue de ce livre. Comme quoi, la couverture ne fait pas tout !

C'est un monde totalement déprimant dans lequel Gary Shteyngart nous entraîne.
C'est une sorte de roman d'anticipation dans lequel nul ne peut vivre 30 secondes sans son "äppärat", hybride entre l'ordinateur et le smartphone.
Grâce à cet engin, toutes les informations concernant les personnes dans la même pièce sont disponibles - dont le montant des revenus....
Ce livre se passe dans des Etats-Unis appauvris et surendettés.
C'est finalement la Chine, la Norvège et l'Arabie Saoudite qui vont racheter le pays et dicter sa politique intérieure dont expulser les personnes à faible taux de crédit (à bas revenus).
Les deux protagonistes que tout oppose vont vivre une histoire d'amour pathétique et vouée à l'échec. Ils sont tous les deux égocentriques et nombrilistes.

Ce livre est aussi déprimant que le monde dans lequel vivent Eunice et Lenny. Lenny et Eunice sont de vrais caricatures. C'est peut-être voulu mais ils sont terriblement ennuyeux.

J'ai eu beaucoup de mal à le terminer et c'est avec un réel soulagement que je l'ai refermé.

Je déconseille fortement ce livre !!!
Ennui de la première à la dernière page.

Pas accroché du tout... je passe mon chemin.

comment dire ?

nul ?

oui c'est ça, aucun intérêt

Pour être honnête, j'ai lâché le livre au bout de cinquante pages. Je n'ai rien compris.. Enfin, si un peu quand même !

Ce qui m'avait emballé : le résumé et ce que j'avais pu en lire (et aussi la couverture il faut l'avouer). Où va l'amour avec toutes les technologies qui déboulent dans nos vies, que deviendront-nous quand nous serons accro à nos petites machines. Je pensais lire une histoire sur ce thème, pleine d'humour, sans forcément rentrer dans de la SF pure.

Ce que j'en pense après découverte : l'auteur commence son livre en parlant loutre, apparât (ce qui doit être un énorme téléphone apparemment) et frontière. Une loutre qui parle ? ! ? Bon soit... Les premières pages sont celles d'un carnet intime de Lenny, un homme de la trentaine-quarantaine. Les phrases sont mal tournées, le vocabulaire choisi semble élitiste, j'avais l'impression de lire une encyclopédie.
Bon, je persiste, ça a l'air de changer au chapitre suivant.
En effet, viennent ensuite des extraits de communication via mail ou sur blog. Mais quelle vulgarité alors ! Encore une fois, on est plongé dans la vie d'un autre protagoniste sans rien savoir d'elle.

J'ai eu l'impression de prendre l'histoire au vol comme si j'arrivais au cinéma une demie-heure après le début du film.