Son index s'engouffre entre sa peau et le tissu, tire. La pression cède, laissant apparaître la naissance de sa poitrine. Je retiens mon souffle. Puis elle continue son cheminement jusqu'à ce que sa chemise soit entrouverte.
La pointe de ses seins se devine à travers le fin rideau, annonçant le début du premier acte.
Putain, elle ne porte pas de soutient-gorge!
Mon besoin de distance refait surface. J'aimerais pouvoir me blottir contre lui, exprimer de la tendresse comme le font la plupart des gens après un tel partage d'intimité. Malheureusement, je ne ressent rien de tout ça, juste troublé par le rien qui fait suite à l'intensité. Un peu triste, je me sens si vide affectivement.