Quand on écrit l’histoire de l’humanité, il faut se résigner à raconter bien des folies.
Ce détail montre que la Science, si elle est chassée par la porte, rentre par la fenêtre.
Quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui.
L'univers n'en sait rien ...
https://www.mixcloud.com/Lesmotsdularge/les-mots-du-large-radio-largfr-90%C3%A8me-%C3%A9mission-sp%C3%A9ciale-jacques-spitz-le-p%C3%A8re-%C3%A9gar%C3%A9-de-la-sf/
Dompter la nature n'était rien, se dompter soi-même, c'était tout ...
C'est un signe bien caractéristiques de l'état de civilisation alors atteint par l'humanité, que cette persistance des questions d'intérêt au milieu des circonstances les plus graves.
En un mot, le monde savant pataugeait lamentablement.
La pluie qui tombait sans relâche et un abaissement considérable de la température [...] contribuaient à entretenir une atmosphère déprimante de cataclysme latent. [...] Les hommes qui, à l'ordinaire, ne s'entretiennent que d'eux-mêmes et ne trouvent que dans leurs petites histoires un motif d'intérêt, s'inquiétaient maintenant de la Nature comme d'une personne vivante.
La gravité de cette nouvelle, avec ses conséquences funestes, était telle que, selon l’usage, on commença par la mettre en doute.
Les cellules communistes avaient immédiatement vu le parti qu’elles pouvaient tirer des événements.