Nous voici à la pointe de la mode, et je me sens à la pointe du ridicule.
«- Etre fort consiste aussi à savoir quand demander de l’aide. Quand partager le fardeau, au lieu de le garder pour soi.
- Jamais de ma vie je ne me suis sentie acceptée de cette manière ; pour ce que je suis, pas pour ce que je voudrais être, devrais être. Jamais tant aimée et respectée qu’à l’instant même. Je suis face à un choix qui ne regarde que moi.
Certaines chosent valent qu'on prenne des risques, non? Je ne crois pas que quiconque ait à me dicter ce que je dois lire ou pas, avec qui me lier ou pas. Il me plait de songer que je peux désobéir aux Frères, y compris sur des broutilles.
"Des jours nous passons à planter des fleurs
Des nuits nous passons au chaud dans nos lits
Nos vies nous passons sous soleil et pluie
terre nous devenons lorsque sonne l'heure "
J’ai lu le livre: Soeur sorcières, de Jessica Sportswood. J’ai beaucoup aime ce livre. J’ai choisit de le prendre car j’ai trouve le titre très attirant et le fait que la couverture du livre represente des photographie reel de personne nous montre a quoi ressemble les personnage, sur cette couverture il y a trois jeune femme et nous savons par la suite que ce sont les trois soeur sorciere, je lirais avec plaisir la suite.
Etre fort consiste aussi à savoir quand demander de l'aide. Quand partager le fardeau, au lieu de le garder pour soi.
On ne choisit pas ceux qu'on aime. [...] Et ce n'est pas parce qu'ils sont impossibles qu'on cesse de les aimer.
Gabrielle est innocente. Moi pas. J'ai fait preuve de fourberie; j'ai menti; j'ai usé de mon pouvoir sur la pensée de mon père. Les paroles des Frères résonnent dans ma tête. Actes de sorcellerie. C'est moi qui aurais dû être arrêtée, pas elle. Pourtant, je remercie le ciel de l'avoir désignée, elle, et pas moi. Quel genre de personne cela fait-il de moi?
[...]
- À devenir une gentille poupée, vous voulez dire?
- À devenir une femme qui sait quand elle doit se taire. "
Le ton est si sanglant que je tressaille.
" Il ne vous a jamais traversé l'esprit que toutes les femmes qui se plient aux conventions ne sont pas nécessairement des demeurées ? Cela peut signifier aussi qu'elles sont assez fines mouches pour veiller à ne pas se faire remarquer. "
Le lendemain après-midi, après nos cours proprement dits, Tess et moi nous enfermons dans le bureau de Père pour reprendre nos exercices. Il est sans doute un peu audacieux d’enfreindre la règle maternelle - pas de magie dans la maison -, mais puisque père est absent et que la moitié des habitants de cette demeure pratiquent la magie, ça n'a plus l'air aussi risqué.