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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Après l'excellent roman Bénis soient les enfants et les bêtes, je continue ma découverte de Glendon SWARTHOUT.
Je ne peux que vous conseiller la lecture de ce roman. Si vous devez lire un western , laissez vous tenter par ce roman court d'environ 200 pages que vous ne verrez pas passer.
Une histoire qui se déroule sur quelques semaines , à El paso, la moitié du temps dans la chambre du tireur. Si sa réputation n'est plus à faire, sa fin de vie sera moins glorieuse, en effet, J.B. Books est atteint d'un cancer incurable qui le condamne à une fin douloureuse et ineluctable.
Du point de vue du héros, cela manque un peu de prestance. Pour ne rien arranger, la nouvelle se propage et les vautours défilent un par un, qui offre une galerie de portraits géniaux et des dialogues savoureux.
Mais tout moribond qu'il est, Books est bien conscient de sa situation et il est bien décidé à garder le contrôle jusqu'au bout, ne voulant pas faillir à sa réputation et à ses principes.
L'auteur brosse la fin d'une époque et le début d'une nouvelle ère axée sur la modernité, nous sommes en 1901, tout un symbole.
Il malmène son héros, il ne nous cache rien de sa douleur, de sa solitude, un personnage qui vit au jour le jour sa déchéance physique et sa fin toute proche, pourtant un sursaut de fierté fait s'envoler l'histoire.
Et que dire de la fin du roman, elle est à la hauteur de son héros, avec une belle petite pointe de cynisme.
Un auteur et une plume à découvrir. Je suis curieuse de découvrir l'adaption cinématographique avec John Wayne : le dernier des géants de Don Siegel.
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Texas, 1901. Cela fait neuf jours que John Bernard Books, en proie à de vives douleurs, chevauche en direction d'El Paso où il compte retrouver le Dr Hostetler, un médecin qui lui a sauvé la vie par le passé alors qu'il avait reçu un projectile d'arme à feu. Il se sait gravement malade, mais il veut l'avis de ce dernier. Il s'installe à la pension de Mme Rogers, à laquelle il donne un faux nom, et à qui il ment quant à la durée de son séjour. Mais Gillom, le fils de dix-sept ans de cette dernière, a tôt fait de révéler sa véritable identité, et c'est bientôt une bonne partie de la ville qui défile pour le voir, qui pour le tuer, qui pour s'enrichir de sa mort prochaine. Car Books est une légende, un tireur célèbre, peut-être bien le dernier de son espèce.

Publié en 1975, le Tireur dépeint un homme solitaire et désabusé, une figure crépusculaire qui regarde avec une pointe de regret le monde en évolution qu'il s'apprête à quitter. Bien que je ne sois généralement pas adepte de ce genre littéraire qu'est le western, il se pourrait bien que la plume de Glendon Swarthout m'y gagne, tant j'ai dévoré ce court roman qui touche à des thèmes universels avec humour et sobriété. Non seulement JB Books est une légende du Far West, mais Swarthout en fait un personnage de légende qui m'aura marquée plus que je ne m'y attendais.
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Ayant décidé de me lancer dans une session de lectures "Western", mon attention a rapidement été attirée par ce "Tireur" de Glendon Swarthout, un auteur américain que je ne connaissais pas du tout jusqu'à présent... Et si quelques critiques élogieuses me faisaient partir avec un a priori positif, après lecture je ne peux que le confirmer : ce fut une très bonne pioche ! Le Tireur, c'est J.B. Books, légende de l'Ouest connu pour avoir descendu une trentaine d'hommes lors de duels au pistolet en Californie, au Nevada ou ailleurs. Désormais quinquagénaire, affaibli, fatigué, il se retrouve dans la petite ville texane de El Paso, où un médecin lui diagnostique un cancer qui ne lui laisse que quelques semaines à vivre. Trois options s'offrent alors au fameux tireur : l'attente de la mort et des intolérables souffrances qui la précéderont, le suicide, ou l'accomplissement d'une dernière action d'éclat avant de tirer sa révérence...

Le personnage de J.B. Books ne pouvait que me séduire : je suis toujours très friand de ces anciens héros (ou anti-héros, car nous avons affaire à une belle crapule !) en bout de course, qui ne sont plus que l'ombre de ce qu'ils ont été. Mais ici, en plus du crépuscule d'un héros, nous sommes témoins de la fin d'une ère : en 1901, la Conquête de l'Ouest est achevée, tous les grands tireurs sont morts, et la ville de El Paso entre pleinement dans le 20ème siècle en s'équipant de l'électricité, de l'eau courante, du téléphone, du tramway... Ce n'est pas seulement J.B. Books qui est condamné, mais le mode de vie traditionnel des pionniers. Cet aspect suffit à faire de ce roman un Western particulier ; il ne faut d'ailleurs pas s'attendre à y trouver des chevauchées épiques dans de vastes paysages comme nous en offre souvent le genre. La plus grande partie de l'intrigue se déroule ainsi entre les murs de la pension de la veuve Rogers, où J.B. Books, de plus en plus diminué au fur et à mesure que passent les jours, voit sa fin approcher. Les relations entre les personnages sont au centre du récit. On assiste notamment à l'indécent défilé des hyènes alléchées par la mort annoncée du vieux lion : ainsi le journaliste à l'affût du scoop, le croque-mort qui compte sur un coup de pub en organisant les obsèques d'une célébrité, le brocanteur venu négocier ses maigres effets, le pasteur qui espère qu'une éventuelle repentance servira d'exemple à la jeunesse, jusqu'au barbier qui gagnera quelques dollars en revendant des cheveux devenus reliques... Mais l'essentiel est la relation de J.B. Books avec sa logeuse, la veuve Rogers, laquelle évite heureusement l'écueil de l'histoire d'amour mièvre – le roman dans son ensemble est, de toute façon, dépourvu de toute mièvrerie et de tout sentimentalisme : c'est dur, âpre, violent, comme l'était l'Ouest américain à cette époque. Il s'agit d'ailleurs moins d'une histoire d'amour que de respect et d'amitié, et je l'ai trouvée très juste et touchante.

"Le Tireur" est un excellent roman court (un peu moins de 200 pages), tellement prenant qu'il peut se lire d'une traite, de la même manière que l'on est happé par un bon film – il a d'ailleurs été adapté au cinéma en 1976 sous le titre "Le dernier des géants", avec John Wayne dans le rôle de J.B. Books et Lauren Bacall dans celui de la veuve Rogers.
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Glendon Swarthout (1918 – 1992), est un écrivain américain, auteur de westerns et de romans policiers. Professeur d'anglais à l'Université Concordia Ann Arbour, dans le Michigan, il publie son premier roman en 1943. Il écrit ensuite pour le théâtre. En 1958, Ceux de Cordura lui vaut la notoriété quand ce roman est adapté au cinéma l'année suivante, sous le titre éponyme, par Robert Rossen. Son roman, le Tireur, paru en 1975 a été adapté au cinéma par Don Siegel en 1976 sous le titre le Dernier des géants, avec John Wayne dans son dernier rôle au grand écran.
En 1901, John Bernard Books, la cinquantaine, l'une des grandes gâchettes de l'Ouest mythique, se découvre atteint d'un cancer irrémédiable ne lui laissant plus que quelques semaines à vivre. C'est à El Paso qu'il choisit de finir ses jours. Mais d'un homme d'un tel calibre peut-on s'attendre à ce qu'il s'éteigne dans le calme ?
Pour la forme, il s'agit d'un roman western très classique, avec tous les acteurs qu'on attend/espère y trouver, ceux dont j'ai rassasié mon enfance au travers des westerns vus au cinéma ou à la télévision : le shérif, le barbier, le croque-mort, le pasteur, le doc, la prostituée, les petites frappes la main collée au holster… Classique, mais déjà sur ce point particulièrement bien mené par l'écrivain, avec des répliques comme on les aime « Doc, si je me baladais en faisant confiance à n'importe qui, je serais déjà mort plusieurs fois. » S'il n'y avait que cela, l'écriture et le rythme en ferait déjà un bon roman bien sympathique, truffé de détails techniques ou anatomiques pointus, mais Glendon Swarthout sait élever le débat.
Books est un solitaire ayant vécu à la dure, aujourd'hui il n'est plus qu'une épave ou presque, sans grands moyens et dont les jours sont comptés, terré dans une pension tenue par une veuve (Madame Rogers), mère d'un fils adolescent (Gillom) engagé sur la pente du mal. Sa présence en ville et sa maladie ont fuité et déjà les vautours, apeurés mais cupides se présentent à sa porte, tentant de tirer un profit pécuniaire du mourant célèbre qui ne tient que grâce au laudanum. D'autres, seconds couteaux minables, guignent la renommée en espérant achever un homme qu'ils pensent au bout du rouleau et facile à tuer.
Books doit alors livrer deux combats, l'un contre des adversaires extérieurs et finalement assez médiocres, l'autre contre le temps imparti par ce crabe qui le ronge. L'issue fatale étant connue de Books comme du lecteur depuis la première page du roman, toute la question est de savoir comment notre homme va la mener… ce que je ne vous dirai pas évidemment.
Un magistral roman sur la mort, une réflexion sur l'Homme confronté à son destin funèbre annoncé. Roman émouvant et poignant, d'autant que son héros n'est pas un « bon » (dans une conception morale simpliste) même s'il revendique n'avoir utilisé la violence que lorsqu'il était contraint, « Je refuse qu'on porte la main sur moi. Je refuse qu'on me trompe. Je ne supporte pas d'être insulté. » Et si jusqu'au bout il restera tel qu'en lui-même, peut-être qu'un doute l'effleurera quand il imaginera pouvoir avoir eu une autre vie s'il avait connu une femme comme sa logeuse plus tôt. le bouquin s'achève néanmoins sur une note pessimiste avec un Gillom mal barré dans la vie… Un excellent roman avec une qualité supplémentaire, il est très court ! Que dire de plus pour vous inciter à le lire sans tarder ?
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J.B Books est une fine gâchette, un tireur émérite, le roi du six-coups… Pas de chance, c'est justement du côté de son six-coups que ça ne tourne plus rond. le truc est enrayé, le canon fichu, foutu…

Notre tireur ne tirera plus les dames avec sa Chose car le cancer de la prostate lui ronge les entrailles. Malgré tout, il veut rester digne.

Nous sommes en 1901, la reine Victoria a cassé sa pipe en Angleterre et nos derniers survivants de la Conquête de l'Ouest commencent à sentir la naphtaline. le monde change et ce monde n'a plus besoin de ces fines gâchettes.

Voilà un western comme je les aime : nous sommes loin des coups d'éclats, des attaques de diligence et autres faits qui font du western ce qu'il est. Ici, c'est la vie d'un homme sur le déclin, un homme qui a été une légende et qui l'est toujours, mais qui dans quelques semaines, ne sera plus qu'une loque pétrie de douleur. D'ailleurs, les douleurs sont déjà là et se lever du lit est pénible.

Ce que j'ai aimé, c'est l'écriture, simple mais belle, sans bla-bla inutiles, mais qui va droit au but. Paf, ça te tire une balle dans l'estomac et tu dégustes l'affaire à petit feu. C'est court, c'est bref, c'est intense et malgré ses 200 pages, ce roman est plus épais que certains qui en feraient le double. Il n'est pas long mais il est profond…

Nous sommes face à la mort d'un homme et nous voyons défiler devant lui tout ce que la ville compte de margoulins, prêt à tout pour se faire du fric sur cette légende en train d'agoniser, cet homme qui ne sait même plus pisser, cet homme qui se fait ronger par le crabe de manière inexorable.

Ça va du journaliste en quête de scoop ou d'un livre à écrire, au croque-mort et à l'antiquaire, en passant pas son ex-copine et le barbier. Tout le monde veut faire du fric sur la mort de cette légende qui tirait plus vite que les autres.

Les personnages sont profonds, certains vont même changer, passant de la haine au respect ou du respect à la haine.

La mort rôde, mais notre tireur veut rester digne et écrire sa propre histoire. On a beau se douter de l'issue fatale, on ne reste pas moins attaché à cet homme qui a choisi sa vie et refuse qu'on ne voit en lui qu'un assassin.

J'ai encore un peu mal au bide de la balle que je me suis prise et dans ma tête, le final s'est rejoué plusieurs fois, avec une précision de chirurgien parce que l'auteur te décrit tout, même les dégâts qu'une balle fait en traversant ta petite tête. C'est réaliste, noir, glaçant.

Un roman court, fort, puissant, profond, avec des odeurs de mort, de poudre et aussi l'odeur du changement. Un autre siècle s'est ouvert et les États-Unis commençaient à changer de visage.

Le glas de la Conquête de l'Ouest venait de sonner, annonçant le crépuscule de ces années de folie et de duels devant le saloon du coin.
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Glendon Swarthout : le Tireur. Traduit par Laura Derajinski, Gallmeister (Totem 23)
Résumé de l'éditeur :
Au tournant du XXe siècle, John Bernard Books est l'un des derniers survivants de la conquête de l'Ouest. Après des années passées à affronter les plus grandes gâchettes du Far West, il apprend qu'il est atteint d'un cancer incurable : il ne lui reste que quelques semaines à vivre. Les vautours se rassemblent pour assister au spectacle de sa mort, parmi lesquels un joueur, un voleur de bétail, un pasteur, un croque-mort, une de ses anciennes maîtresses, et même un jeune admirateur. Mais Books refuse de disparaître sans un dernier coup d'éclat et décide d'écrire lui-même l'ultime chapitre de sa propre légende.
Mon avis :
Le tireur est un excellent western crépusculaire : John Books n'est pas l'horrible tueur sans pitié que son curriculum laisse entendre. On apprend à le connaitre pendant ses dernières semaines, ce temps de repos forcé qui lui permet de se livrer à des moments d'introspection. Ses visiteurs en revanche ne sont pas animés des meilleures intentions, car ils espèrent tirer quelques avantages de la mort à venir du tireur, qu'il s'agisse du croque-mort ou du pasteur… La frontière entre les bons et les méchants est assez poreuse. Cette ambiguïté, un personnage l'incarne totalement : il s'agit de Gillom Rogers, le jeune fils de la logeuse du Tireur, fasciné par les armes et les actes de violence.
A la fin de ce très beau western, un clou d'éclat explosif permet à Books de se racheter aux yeux des hommes !
Glendon Swarthout, un auteur extraordinaire découvert grâce au #PicaboRiverBookClub, et accessible grâce aux éditions Gallmeister !
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En dire trop serait dévoiler l'intrigue de ce western court de 200 pages.
La 4 eme de couverture en dit largement assez sur les différents protagonistes qui ne veulent pas du bien à Books.

Ce roman parle d'un homme- Books- , un tireur (le dernier …), au début du 20eme siècle. C'est un homme qui est malade, qui est condamné et qui veut décider de comment il s'en ira et quand.

Roman superbement écrit et qui va droit au but.

A découvrir !
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Le dernier des géants
J'ai attaqué ce roman après avoir lu Refuge, ce que je déconseille. le cancer s'y invite, une fois de plus, en compagnon du personnage principal, figure légendaire, tueur impitoyable pour certains, et qui vient d'apprendre sa mort prochaine. Ayant si souvent fait face à la mort ce dernier demande à son médecin de ne lui cacher aucun détails et de lui décrire ce que sera sa fin ; les premières notes d'une fugue impitoyable s'engage alors... Les comptes se soldent de manière tranchante, et la valse des profiteurs de tout poils est traitée avec beaucoup d'humour et quelques coups de pied au cul mémorables. L'histoire se termine en un crescendo, attendu certes, mais d'une telle précision chirurgicale, qu'on en reste un peu sonné, et c'est tant mieux. J'ai pas eu l'occasion de voir le film de Don Siegel, avec John Wayne, je me demande, je souhaite, connaissant un peu ce réalisateur, qu'il ait su préserver la tonalité crépusculaire du roman.
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Janvier 1901. El Paso, une ville du Texas en pleine expansion, voit débarquer sur son cheval un homme souffrant le martyr, épuisé après un voyage de très longue haleine. Après s'être installé dans une auberge sous le nom d'un shérif mort, l'homme fait appel au docteur Hostetler, les services du docteur étant la seule raison de son retour incognito à El Paso. Mais il faut très peu de temps au fils de sa logeuse pour le reconnaître : l'homme qu'ils ont sous leur toit n'est autre que John Bernard Books, une légende vivante de la gâchette, un tireur hors pair symbolisant à lui seul la conquête de l'Ouest. Lorsque Books apprend qu'il souffre d'un cancer lui laissant quelques semaines à vivre, il organise la fin de sa vie autour de sa mort prochaine.

La célébrité du tireur est telle que la nouvelle de son cancer ne laisse personne indifférent. Sa réputation le précède. du coup, un mélange de crainte, d'estime et de mépris se dessine chez ceux qui le croisent, à commencer par Bond Rogers, sa logeuse. Entre audace et frayeur, c'est une femme de caractère qui, si elle se cache souvent derrière ses obligations, ne manque pas de courage. Quant aux autres personnages, ils sont pour la plupart l'incarnation des vautours appelés par l'odeur de la mort. Une mort qui pourrait leur rapporter gros. La majeure partie du roman porte donc sur les réflexions de Books à propos du profit que d'autres pourraient tirer de sa mort.

Au gré des gorgées de plus en plus fréquentes de laudanum pour contrer la douleur, on reste au chevet de ce personnage au caractère bien trempé qu'est Books. Dans sa redingote, les deux Remington qui ont fait sa renommée intimident jusqu'au shérif de la ville. Les sentiments qu'il fait naître chez ses contemporains donnent lieu à des confrontations et des dialogues caustiques.

[...]
Lien : http://morgouille.wordpress...
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Année 1901, J.C Brooks, le tireur le plus réputé de l'ouest américain, se retrouve affublé d'un cancer de la prostate. Réfugié dans une petite pension d'El Paso, ce pistolero âgé d'une cinquantaine d'années est abasourdi par la nouvelle de sa mort imminente, il décide, aidé par une petite fiole d'opium d'organiser sa fin.

Entre mélancolie et humour, et une pincée de suspens, le tireur est un roman américain dont l'ambiance 'Western" est un régal : colts, saloon, barbier, whisky, bordel, cow boy arrivistes : tout y est !
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