O Dieu! je vous accuse ! Dès que vous nous savez absents, vous nous guettez ; vous pénétrez chez nous comme un voleur qui rôde. Vous prenez nos trésors et vous les emportez... (écrit dans la douleur, ce poème ne sera jamais terminé).
Je veux être Chateaubriand ou rien.
Cette tête de l'homme du peuple, cultivez-la, défrichez-la, arrosez-la, fécondez-la, éclairez-la, moralisez-la, vous n'aurez pas besoin de la couper !
Il y a ce vers dans Cromwell : "-allez, je vous fais grâce. - Et de quel droit, tyran ?"
Vous agiriez mes enfants contre mon gré, si après avoir pris connaissance des papiers qui accompagnent ce mot, vous en abuseriez contre madame Drouet. Je veux au contraire que tant qu'elle vivra, elle soit l'objet de vos égards et que vous respectiez, quelles qu'elles soient, les dispositions de votre père pour elle. Il est juste dans nos larges idées, que madame Drouet ait dans la vie douce que votre père nous a faite, sa part de bien-être.
« La poésie, c’est l’expression de la vertu ; une belle âme et un beau talent poétique sont presque toujours inséparables. Les vers seuls ne sont pas la poésie. La poésie est dans les idées et les idées viennent de l’âme. Les vers ne sont qu’un revêtement élégant sur un beau corps. » (p. 30)
La France est une nation conquérante. Quand elle ne fait pas de conquêtes par l'épée, elle veut en faire par l'esprit.
Et toi tu la contemplais n'osant approcher d'elle,
car le baril de poudre a peur de l'étincelle.
La poésie, (…), c'est l'expression de la vertu ; une belle âme et un beau talent poétique sont presque toujours inséparables.
Les vers seuls ne sont pas de la poésie. La poésie est dans les idées et les idées viennent de l'âme. Les vers ne sont qu'un revêtement élégant sur un beau corps.
Ces effusions… Les français n'ont vraiment aucune pudeur !