AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,41

sur 79 notes
L'amour, qui s'y frotte s'y pique. Car aimer l'autre, c'est se donner corps et âme au bon vouloir d'un partenaire qui vous maltraitera, malgré lui sûrement. de l'amour à l'extase, on passera par l'habitude, remarquant les petits travers de l'autre, s'en agaçant puis s'en accommodant et pour finir, retour à la case départ, l'amour s'éteint et fait place à un brave compagnonnage.

De cela, François n'en veut pas. Que la flamme de la passion, le paroxysme de l'amour s'éteignent, c'est inenvisageable ; il en a trop bavé par le passé.

Aussi, quand l'amour avec un grand A frappe à sa porte en la personne de Marie, feu follet immensément amoureuse de François, ce dernier ne peut envisager la fin de cet amour par lassitude. Et l'idée de génie (avec un grand G) apparut à son esprit tordu : s'il venait à mourir, là maintenant, à l'acmé de leur amour, François laisserait une Marie éperdue de chagrin, veuve inconsolable qui garderait le souvenir d'un être irremplaçable. Les autres hommes de sa vie lui paraîtront fades, et jamais la flamme de François ne s'éteindrait dans son coeur. Mais quelle riche idée François ! allez hop, simulons une mort bien tragique, tiens, passé sous les rames du métro, avec comme messager de la mort, porteur de cette triste nouvelle, son seul ami, Didier, complice malgré lui, obligé de mentir à la pauvre Marie. 

François change radicalement de look, de quartier et devient autre. Mais pas de bol pour notre psychotique, l'amour frappe à nouveau, puis encore une autre fois. Et comme une rengaine, la mort programmée et le pauvre Didier,  désespéré d'annoncer le mensonge à cette brochette de femmes au bord du désespoir. François devient un serial killer de l'amour, malade et parano parvenu au comble du ridicule, faisant monter la tension dans mon esprit de lectrice (et de femme) avide de lui foutre mon poing dans la figure ! 

Bien que le sujet fasse frémir, j'avoue m'être laissée agréablement embarquer dans ce récit picaresque qui a le mérite d'être vraiment original. J'ai adoré détester François, ce parisien nombriliste, égocentrique, égoïste, malade et suivre ses péripéties ubuesques dans les rues de Paris. Et Didier, le pauvre hère, compagnon d'infortune, qui se révèle bien plus complexe qu'on le pense. 

Je comprends qu'on puisse aimer ou rejeter ce genre de romans. Pour ma part, je reconnais faire partie de la 1ere catégorie, d'autant plus que le style de François Szabowski est limpide, coule de source et reconnaissons-le, percutant et pertinent sur les méandres de l'amour et du couple. 

L'amour est une maladie ordinaire est un bon premier roman, original, qui se lit en une après-midi. Pas le roman du siècle mais on passe un agréable moment. Alors ne boudez pas votre plaisir. 

Je remercie les éditions le Tripode pour m'avoir fait découvrir ce succulent roman. 
Lien : http://www.livreetcompagnie...
Commenter  J’apprécie          272
Quand François, le narrateur de ce joli roman, se rend compte que la relation qu'il entretient avec Marie est sublime, forcément sublime, il se rend par la même occasion compte que jamais plus il n'atteindra un tel degré de félicité. Qu'à partir de ce moment parfait, tout ne peut que se dégrader, conduire au mieux à une routine, à une vie de couple banale. Dès lors, il ne voit qu'une seule solution pour conserver cet amour parfait… mourir! Aussitôt dit, aussitôt fait. Il entraîne un sdf sur le pont neuf et simule une altercation avant de se jeter dans la Seine. S'il se réveille à l'hôpital Saint-Antoine, c'est qu'il est tombé sur un bateau-mouche qui passait par là et plus exactement sur une australienne obèse qui a amorti sa chute.
Si ce sauvetage le désespère, il lui offre aussi un répit propice à la réflexion. Au lieu de mourir, il n'a qu'à disparaître. Changer d'appartement et de quartier, modifier son look et faire croire à sa mort.
Une stratégie qui semble avoir davantage de succès. Sauf qu'il lui faut aussi abandonner ses piges au Parisien et renoncer à fréquenter certains quartiers, de peur de croiser Marie. Mais grâce à la complicité de son «demi-frère» Didier, des responsables d'une agence immobilière et d'un coup de chance – il se retrouve chroniqueur au Cotillon, journal chargé de la promotion des bars et lieux branchés de Paris – l'avenir s'éclaircit pour lui. Ses piges lui permettent non seulement de tenir le coup financièrement, elles lui offrent la possibilité de boire gratuitement et de faire de nouvelles rencontres. Il n'est bien entendu pas question de tomber à nouveau amoureux, car ce serait trahir Marie dont François essaie d'imaginer la vie sans lui et les souffrances qu'elle peut endurer.
Entre culpabilité et envie de s'émanciper de cette histoire, il va finir par s'engager dans une nouvelle relation. Avec une conclusion semblable, en finir avant qu'il ne soit trop tard! Sur le plan de Paris, il faut cocher de nouvelles zones à éviter (et à contrario le lecteur peut poursuivre son exploration de la capitale, arrondissement par arrondissement). Il faut à nouveau changer de look. Il faut encore une fois faire le mort.
C'est à ce moment que les choses vont commencer à se détraquer. À force de vouloir se rendre invisible, il ne va effectivement plus être reconnu et devenir littéralement transparent. Si la situation a quelques avantages – on peut se servir à la banque, s'habiller avec les vêtements les plus coûteux, elle aussi l'inconvénient majeur de restreindre la vie en société. Sans compter que, loin de s'améliorer, les choses vont empirer. C'est son corps qui petit à petit tend à s'effacer. Les mains puis le bras s'efface, sauf quand il touche les gens.
Si cette touche de fantastique peut sembler un peu trop fantaisiste aux lecteurs attachés au réalisme, elle ravira ceux qui n'ont rien oublié de leurs rêves d'enfant ou ceux pour lesquels la lecture du Passe-Muraille de Marcel Aymé était un pur plaisir. François Szabowski y trouve aussi le moyen de rapprocher ainsi François et Marie pour un épilogue riche en rebondissements. C'est drôle, alerte et non dénué de profondeur. de quoi passer un agréable moment de lecture.

Lien : https://collectiondelivres.w..
Commenter  J’apprécie          172
De nos jours, quand un homme idéalise l'amour, on est assez loin de Cyrano de Bergerac... Mais cela peut se révéler assez drôle, moins léger qu'il n'y paraît et quelque peu amer. Révélateur aussi sur nos façons d'enchaîner les relations, de filer à la moindre peur, d'éluder le moindre obstacle... de préférer un idéal à la réalité, de sublimer plutôt que de goûter.

Voici donc François, spécimen masculin, bien engagé dans la trentaine, écrivain non pratiquant et vivant de petits boulots, combines et autres aides sociales. François aime Marie et c'est tout son problème. Persuadé que son amour a atteint son point culminant et qu'il ne peut que s'étioler, pâlir puis s'éteindre, échaudé par ses précédentes expériences, François veut tout faire pour le préserver. La plupart des hommes auraient utilisé des moyens classiques pour entretenir la flamme : surprendre, entourer l'être aimé d'un feu d'artifice permanent... enfin, vous voyez le truc. Mais pas François. Lui décide de mourir. de laisser dans l'esprit et le coeur de Marie la trace indélébile de l'amour foudroyé en plein bonheur. La meilleure façon selon lui de rendre cet amour immortel... On se doute que cela prépare quelques situations rocambolesques, entre transferts d'identité, vies à réinventer, quartiers à éviter et autres complications somme toute classiques lorsque l'on choisit de s'engluer dans le mensonge et que son meilleur copain, Didier est lui-même en délicatesse avec son identité (je vous passe les détails, vous verrez).

L'auteur mène très bien sa barque, mêlant aux rebondissements de l'intrigue, une dose de réflexion sur la vie moderne, la difficulté d'exister dans l'anonymat d'une grande ville, le paradoxe du rapport à l'autre aussi souhaité que craint. J'ai particulièrement apprécié que le récit flirte avec le surnaturel, lui donnant ainsi une autre dimension, avant un retournement final assez mordant.

L'amour, la vie, les autres... Pas facile tout ça. Mais la stratégie d'évitement est-elle vraiment meilleure que celle de l'affrontement ? A vous de voir... dans la bonne humeur !
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
Commenter  J’apprécie          110
Les Editions du Tripode me permettent de faire un nouvel essai avec François Szabowski. Je n'avais jamais pu entrer dans Il n'y a pas de sparadraps pour les blessures du coeur.
Ici, également, un mec trentenaire ( ?) se regarde le nombril et ne veut pas affronter la vie et surtout, l'amour.
François et marie forment un couple heureux et amoureux.
« Nous étions l'un des couples le plus extraordinaires du monde. Notre entente était parfaite. »
Pour ne pas que ce bonheur partagé, sans tâche, sans faille ne flétrisse et reste à son acmé, il voudrait disparaître, mourir.
Ce con va mettre son plan à exécution. Oui, mais voilà, la mort n'a pas voulu de lui et il se retrouve à l'hôpital où son « demi-frère » (lisez et vous saurez le pourquoi des guillemets, c'est croquignolet), Didier, veille sur lui. Explications, délires, catastrophes
« Si je mourrais maintenant, au plus fort de notre relation, notre amour avec Marie n'aurait pas à subir les épreuves du couple, et ne pourrait donc pas décroître. Qu'elle m'aimerait à jamais. Et que c'est pour ça que j'avais préféré mourir plutôt que de prendre le risque de perdre son amour. »
C'est vraiment un raisonnement vaseux de mec qui ne s'assume pas, qui n'assume pas son, leur, avenir. Peur de perdre, de ne pas être le plus beau, le plus fort, le plus aimant, le plus aimé….
Il monte un plan abracadabrantesque au lieu de disparaître tout bonnement. Il demande à Didier d'annoncer la triste nouvelle à Marie qui, bien sûr, ne verra jamais le corps, ni n'assistera à l'enterrement. Et oui, en plus, cet homme est lâche.
« Comment j'avais dérapé sur une flaque de vomi au bord du quai de la station Place des fêtes, et comment j'étais tombé sur les voies au moment du passage de la rame. Celle-ci m'avait totalement broyé. Mon corps était en morceaux. Il manquait même des bouts. Seule la tête, miraculeusement, avait été épargnée, et j'avais pu être identifié grâce à une ordonnance pour des anxiolytiques qu'on avait retrouvée au milieu de mes viscères, imbibe de bile. ».
On dirait un miracle ! Saint François du Métro himself ! Bien sûr, Marie recevra l'urne funéraire, faut pas déconner, être crédible !!
Quant à François, il s'en va avec une nouvelle identité, un nouveau logement, une nouvelle vie… pleine d'espoir.
Bien sûr, ce qui devait arriver, arriva, il retombe amoureux et….Oui, vous avez compris, il recommence. Didier est encore chargé de la délicate mission, cette fois, elle s'appelle Roxane, puis ce fut le tour d'Anna. Tranquillisez-vous, les scénarios catastrophes de la mort de François n'étaient jamais les mêmes… Il a de la ressource et de l'imagination, le bougre.
Didier, le pauvre se fait avoir, pourtant il le sait
« Il n'y a rien de plus lâche, de plus misérable, de plus bas que de disparaître comme ça, du jour au lendemain. Que de faire sentir à l'autre qu'on n'existe plus. »
Même si ce ne sont pas ses paroles à lui.

Il arrive que le serpent se morde la queue, que les montagnes se rencontrent, que tel est pris qui croyait prendre…
La suite, la chute ? A vous de les découvrir.

Au début du livre, je me suis dit, mince, encore un nombriliste… Y en a marre et puis, cette fois, la magie a opéré. Je me suis laissé prendre au jeu de l'écriture de François Szabowski, son humour grinçant, son ironie, sa tendresse pour son homonyme. J'ai beaucoup aimé la parabole de l'invisibilité. A tout refuser, on devient transparent. La scène du café, chapitre 13 est fort drôle.
Dans ce livre l'auteur a mis en scène le désir, le rêve, le fantasme de certains. Oui, dans un amour naissant il y a toujours la peur du désamour. Pourtant, il y a beaucoup de bonheur, de joie, à faire vivre une union. La folie du début disparait, mais il faut avoir le courage de construire le nid, savoir accepter que l'autre n'est pas l'Icône que l'on voyait au début, accepter de se monter bêtement humain.
« On ne choisit pas de qui on tombe amoureux. Aussi horrible et toxique que puisse être l a personne, il y a au fond de nous ce cancer qui nous fait penser qu'on peut la changer. Qui nous donne envie de la soigner, d'essayer de la rendre heureuse. Même si on sait qu'elle pourra nous faire souffrir à tout moment. Parce qu'au fond, l'amour, c'est ça, malheureusement… »
Oh, François, as-tu compris la leçon ? Pas certaine… « Fuir le bonheur avant qu'il ne se sauve » telle pourrait être ta devise. Il faudrait comprendre que personne n'est parfait, une certaine comtesse ou duchesse l'a écrit avant moi, et, surtout prendre confiance en toi, t'accepter et ne pas fuir.
Ce titre du Grand trip fut un beau voyage en Absurdie et vous savez que j'adore.


Lien : http://zazymut.over-blog.com..
Commenter  J’apprécie          90
Marie + François 4 ever ?

Pour François, l'Amour parfait ne dure pas, il finit tôt ou tard par changer, voire cesser tout à fait. Aussi décide-t-il de mourir au plus fort de son amour avec Marie pour rester intact pour toujours dans son cœur.

Idée pathétique et tordue qui devient carrément délirante quand François décide finalement de simuler la mort et de refaire sa vie en changeant de quartier. Ainsi, pense-t-il, il sera immortel dans le cœur de Marie, qui l'aimera parfaitement toute sa vie, tandis que lui pourra vivre sa nouvelle vie en ayant la certitude d'être aimé intensément. À l'abri du besoin de se faire aimer, trop malin.

L'idée de départ est wtf, mais on se laisse embarquer par la narration à la première personne de François. Son esprit tordu accouche de pensées délicieuses d'absurdité. Entre ses stratagèmes pour disparaître et ses rapports particuliers avec son unique ami amnésique et déprimé, dans un premier temps, on s'amuse de ses délires.
Puis, à peu près à la moitié du roman, le récit bascule dans le fantastique et se transforme en fable...

J'ai bien aimé ce récit loufoque et à prendre au second degré. J'aime le style de l'auteur qui n'est pas ampoulé mais assez frais (la citation du premier chapitre "Les Parisiens sont des têtards pondus dans un fucus en pot, ...." n'est absolument pas représentative !).

Une agréable lecture !
Commenter  J’apprécie          60
L'amour ne devrait jamais faiblir, jamais s'altérer. Pour éviter que ce drame n'arrive, François simule sa mort à chaque fois que ses relations amoureuses sont au beau fixe. Il espère ainsi laisser un souvenir inaltérable et inégalable dans le coeur des femmes aimées. Mais attention, disparaître pour renaître de ses cendres n'est pas sans conséquences...
Plein d'humour et de finesse, ce premier roman nous offre une déambulation dans Paris au fil des aventures de François. Un roman qui ne peut que nous faire sourire!
Commenter  J’apprécie          50
François est un pervers narcissique en quête d'un amour absolu, éternel. Pour ce faire, il orchestre sa propre mort à répétition, dans l'intention de laisser des coeurs brisés derrière lui, dévastés par la perte d'un amour que le temps n'a pu détériorer. Pourtant cette quête de pureté va sans doute lui coûter plus cher qu'il ne pense d'abord...

Léger et drôle, voici un roman très agréable à parcourir, et qui se fait sensiblement plus grave au fil des pages. Si le ton paraît détaché, le récit parvient tout de même à poser, l'air de rien, des questions pertinentes sur notre humanité et le rapport à l'autre. Sympathique découverte.
Commenter  J’apprécie          50
Voici un de mes nouveaux coup de coeur de cette rentrée littéraire.

Sous ses airs de farce, ce livre offre une réflexion intelligente sur l'amour, le narcissisme et les claques qui se perdent.

François veut que Marie l'aime à jamais. Impossible se dit-il puisque « avec le temps, va, tout s'en va ». Sauf à mourir, et laisser ainsi en suspend le sentiment que l'autre nous porte, puisqu'il ne peut plus se dégrader.

Guignolesque et loufoque, le roman avance à toute vitesse, et prend parfois des airs de contes philosophiques. L'absurdité traverse tout le récit, et les autres personnages sont aussi éberlués que nous face aux agissements et à la logique du narrateur.

Celui-ci est évidemment pris à son propre piège, puisqu'à toujours vouloir disparaître, il court le danger que cela n'advienne réellement. À ce propos, le passage sur la transparence est drôlement bien trouvé et emmène le livre aux lisières du fantastique sans pour autant s'y aventurer vraiment.

Difficile d'avoir de la sympathie, et encore moins de l'empathie, pour le personnage. Et pourtant je l'ai suivi avec un réel plaisir, naviguant au gré d'une écriture joyeuse et maîtrisée, acceptant sans rechigner tous les délires de l'auteur qui semble s'être bien amusé à l'idée de nous amuser.

Mission accomplie.
Lien : https://bonnesfeuillesetmauv..
Commenter  J’apprécie          40
Les personnages principaux sont François, Marie, la compagne de François, Didier, le demi frère de coeur de François. Jean Luc et Nathalie les agents immobiliers de François. François est un personnage étrange mais intéressant, attachant et cruel. Didier est volontairement un personnage triste, Marie est une femme sentimentale.
L'histoire se déroule à Paris au XXI e siècle. François a la phobie de la routine dans les couples. A chaque relation, il décide d'y mettre un terme en simulant sa mort. le genre du livre est déjanté il associe l'amour à la mort. Ce livre a beaucoup d'humour.
J'ai beaucoup aimé ce livre de François Szabowski du début à la fin c'est très drôle même si c'est assez tragique pour les compagnes de François. François est intriguant mais finalement assez attachant. Une fois plongée dans l'histoire on est tiré comme un aimant vers la fin, captivée. C'est un roman que j'ai personnellement lu en une soirée, en clair c'est un roman qui se dévore. Je recommande ce livre pour ceux qui aiment les histoires réalistes, qui recherchent des livres faciles à lire et ceux qui sont intéressés par les romans surprenants.
Commenter  J’apprécie          30
Dès la couverture on sent que ce livre promet un univers loufoque et atypique.
François agace, énerve. Mais plus on avance dans son histoire rocambolesque, plus on s'attache à cet étrange personnage totalement égocentrique, prêt à tout pour être l'objet d'un amour idéal, éternel, inoubliable .
Un roman léger, sensible et drôle qui mériterait une adaptation cinématographique.
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (171) Voir plus



Quiz Voir plus

Les Amants de la Littérature

Grâce à Shakespeare, ils sont certainement les plus célèbres, les plus appréciés et les plus ancrés dans les mémoires depuis des siècles...

Hercule Poirot & Miss Marple
Pyrame & Thisbé
Roméo & Juliette
Sherlock Holmes & John Watson

10 questions
5269 lecteurs ont répondu
Thèmes : amants , amour , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *}