Dédale, tome 1

Je ne sais pas ce qui c'est passé hier mais voilà toute l'histoire de ma vie : je me retrouve là, je ne sais pas où, je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas comment. Et par là, je découvre que je suis dans un bâtiment vide de sens mais plein de pièces, de parois, de couloirs d'escaliers et de faux plafonds. Un véritable labyrinthe. Pas âme qui vive, juste des tables basses, ah le mystère des tables basses dans la vie... Un bruit de pas, et voilà deux étudiantes Reika et Yôko qui font leur apparition dans mon monde. Elles errent comme moi, d'étagères en étagères, dans quel état... Elles sont buggueuses professionnelles, ça en jette sur un CV. Elles errent dans les jeux vidéo à longueur de journée pour trouver les bugs... Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos Shark Monster qui engloutissent les pièces comme j'avalerais des religieuses au chocolat. Parce qu'en plus du vide sidéral de cette "ville" perdue au milieu d'une "forêt" vide, quelque chose me dit qu'il faut que je m'en méfie, question de sécurité voir de survie. Un survival manga, donc. Sans sang, juste une bosse sur la tête, ce qui pourrait expliquer pourquoi je ne comprends pas où je suis, dans un monde parallèle, dans une seconde matrice (pourtant j'ai pris la pilule blanche), dans un jeu vidéo, un autre monde, une hallucination, un rêve fantasmagorique... Bref, les hypothèses ne manquent pas et je suis impatient de poursuivre l'aventure avec ces deux jeunes filles, peut-être même le dernier espoir de l'humanité, c'est que le mystère n'est pas résolu, et l'imagination chauffe à plein régime...

Dis, tu peux aller demander à la gentille dame du CDI le tome 2 (enfin, je dis ça comme ça, mais je ne sais pas si toutes les dames du CDI sont gentilles... il y a certains mystères dans la vie...), pas que je sois impatient, mais j'ai franchement envie de découvrir la suite et fin, et trouver la sortie de ce Dédale.

Un premier tome très intéressant, nous suivons les aventures de deux filles dans un monde parallèle dans lequel elles vont devoir résoudre des énigmes afin de retourner dans le vrai monde.

Les personnages sont assez bons, malgré quelques clichés propres aux mangas sur le physique (la belle jeune fille nonchalante et la copine moche et intelligente), il y à aussi quelques passages un peu coquins sans en faire trop.
Nous retrouvons ici un bestiaire de bonne qualité qui m'a fait parfois penser à Chihiro de Myazaki, les dessins sont soignés, c'est très agréable.
Les énigmes sont bien pensées, sous forme de casse tête, je pense que c'est le point fort de ce seinen.

Les amateurs de manga apprécieront certainement celui ci qui nous tient en haleine pour un peu plus de 200 pages. Pour ma part j'ai bien envie de m'acheter le deuxième et dernier tome.

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Un premier tome en 12 épisodes qui nous emmène dans un univers parallèle inconnu et labyrinthique à souhait, une succession de bâtiments communiquant entre eux, des pièces intérieures qui se succèdent à l'infini.
Reika et Yôko y errent sans savoir pourquoi ni comment. Peu à peu elles récoltent des indices, commencent à comprendre certains mécanismes. Il y a la jolie fille toujours à moitié dévêtue et sa compagne grosse et bourrue à souhait. Tout les oppose, y compris l'appréciation qu'elles ont de ce lieu étrange : Yôko ne désire que rentrer chez elle et reprendre le cours de sa vie tandis que Reika s'éclate ici dans un univers infini à découvrir. Un troisième personnage interviendra par messages interposés. Que se passe-t-il au juste ? Nous ne le saurons pas dans ce tome même si nous avons quelques pistes possibles.

J'ai beaucoup aimé le dessin, l'architecture est envoutante, l'ensemble paraît crédible. L'intrigue est assez lente à se mettre en place puis le rythme s'accélère sans que rien ne soit résolu toutefois. En saura-t-on davantage dans le second et dernier tome ? Il ne me reste plus qu'à lire la suite pour le savoir…

J'ai souvent du mal à me plonger dans un manga, malgré mes multiples essais, je n'arrive pas à m'habituer au sens de lecture et je me perds souvent dans l'histoire. Rien de tout ça avec celui-ci, dans lequel je me suis tout de suite laissée entrainer.
Reika et Yoko, co-locataires qui travaillent pour une société de jeux vidéos, se retrouvent, sans trop savoir comment, enfermées dans un monde sans queue ni tête, où les escaliers n'ont pas de fin, où les objets semblent clonés, sans autre être humain qu'elles deux. Enfin, pas tout à fait, elles vont tout de même finir par réussir à établir un contact. Mais ce qu'elles vont apprendre sur ce monde mystérieux ne va pas beaucoup les rassurer.
Deux personnages, des dessins clairs, un manga vraiment accessible pour ceux qui débutent dans ce genre littéraire. On s'attache très vite à Reika, jeune fille assez loufoque, aussi asociale dans la vraie vie que téméraire dans ce monde virtuel-parallèle.
Je suis sûre que nos collégiens vont adorer et adhérer à cette nouvelle série. J'ai même hâte de lire la suite !

Dédale commence directement dans un labyrinthe d'un genre un peu particulier. On navigue de pièce en pièce dans un décor qui ne termine jamais. On entre directement au coeur de l'action mais au détriment du fil de l'intrigue.

Nous avons également une belle héroïne mais un peu naïve accompagnée d'un personnage un peu plus grossier à savoir sa colocataire qui ressemble à un garçon épais. A noter que je n'ai rien contre les personnes obèses mais elles pourraient faire sans doute plus attention à manger équilibré. Pour revenir à ce manga, c'est un personnage faire-valoir qui donne un peu d'humour et de légèreté. A vrai dire, elles sont attachantes toutes les deux chacune à leurs manières.

J'avoue aisément avoir bien aimé cette lecture très inventive et au récit maîtrisé de bout en bout. Elle pose des questions sur ce mystère. On sait que ces deux héroïnes travaillent pour une société de gamers qui repèrent les bugs. On peut penser qu'elles ont été projetées dans un jeu vidéo d'un nouveau genre où on risque sa vie face à des pacmans géants dévoreurs.

Oui, je ne l'avais pas précisé mais il faut avoir quand même une certaine ouverture d'esprit. Une lecture qui plaire aux geeks sans aucun doute. Moi, j'ai bien aimé une certaine originalité et on ne s'ennuie pas bien au contraire. A noter qu'il n'y a que deux tomes et c'est presque dommage. Bref, un bon survival !

Les mangas en deux tomes n'ont jamais trop été ma tasse de thé a cause de mauvaises expériences dans le passé. Mais je suis tombé sur une exception.

Nous avons donc dans ce premier tome deux jeunes femmes totalement différentes, autant sur le plan physique qu'au niveau du caractère qui errent dans un gigantesque bâtiment labyrinthique, qui évoque des jeux vidéos. Ou sont elle? Comment,t sont elles arrivé dans ce lieux étrange qui défie toute logique? Mystère !

J'ai beaucoup aimé ce premier tome qui avec ses deux héroïnes si différentes, mais complémentaires ; Reika, pleine de vie,mais asociale, qui semble se plaire beaucoup dans ce monde étrange, et Yoko, plus timoré, qui elle , a plus les pieds sur terre.

Reika et Yoko sont deux étudiantes, passionnées par les jeux vidéos et plus particulièrement les bugs qu ils contiennent. Jusqu au jour où ce sont elles qui errent dans un univers de jeux avec des items et différents plateaux. Elles cherchent en vain comment sortir de cet univers .
Le scénario et l univers de cette série est assez perché mais il est plutôt efficace. Les dessins sont très dynamiques avec une très belle gestion de la perspective qui est vue de points très différents. Plongée, contre plongée.

Daruma, Prix du Jury... Je dois bien avouer que placer un tel sticker sur un livre, cela joue dans les deux sens... Un coup, on prend le livre en se disant qu'on va passer un bon moment. Un coup, on se demande ce qu'on lit en se rendant compte que les attentes placées dans le livre sont lentes à se concrétiser.

Difficile de parler de ce manga sans dévoiler l'intrigue. Disons que deux jeunes femmes très différentes se retrouvent dans un monde ressemblant au leur (Japon XXiè siècle), mais où elles semblent seules. Tout oppose Reika et Yoko, excepté leur boulot de "débuggueuse" et leur addiction au jeu vidéo, surtout Dungeon Tale créé par Klein Software, dont Daisuke Tagami est le boss.

Takamichi crée un suspense assez dense par moment, mais où les longueurs et lenteurs m'ont parfois lassé. C'est là que le sticker joue son rôle... Je me suis accroché parce que cette BD était primée. Bien sûr, je sais que "prix" ne signifie pas toujours que je vais apprécier.

Mais on finit par s'habituer à l'esthétique hyper léchée, très architecturale, du manga. On commence à assimiler le côté pulsant, viscéral du monde décrit par Takamichi. Et le tome se termine, créant suffisamment de dynamique pour avoir envie d'entamer le second. Pari gagné pour Takamichi. Entre jeu vidéo, réalité alternative, SF... il crée un univers accrocheur et un tandem sympathique.

Un manga vraiment emballant et au dessin impeccable ! Deux jeunes femmes, débuggeuses de jeux vidéo, se retrouvent enfermées dans un immeuble dont l'agencement des pièces forme un bien étrange dédale. Les deux héroïnes sont attachantes et n'ont que leur intrépidité et leur esprit de déduction pour tenter de s'en échapper. Et plus elles avancent, plus ça se complique. On passe de mystères en révélations, et le livre n'est lâché que pour être remplacé par le second tome.

Série terminée avec 2 volumes.
Dédale nous plonge dans un drôle d'univers avec Reika et Yôko, 2 étudiantes avec des talents de gameuses. Dans cet univers (parallèle?,virtuel?,...), nos deux héroïnes vont de découvertes en rencontres comme des braconniers ou des pac-monstres.
J'ai rarement lu un manga avec un tel scénario. On est entraîné dans ce drôle de monde avec 2 personnages aux antipodes l'un de l'autre. Reika s'amuse dans cet univers et est pleine de créativité pour tester ce nouvel endroit. Son amie et colocataire, Yôko, je souhaite qu'une chose : retourner dans le monde réel.
J'ai trouve ce manga très intéressant dans le scénario et les dessins agréables.