p.94.
Je te comprends... je sais bien ce que tu ressens. C'est parce qu'ils t'ont soupçonné d'épouser ma sœur pour sa fortune. Ils n'ont pas tenu compte de tes sentiments. Je pense sincèrement qu'ils avaient tort.
p.53.
De dos, il avait l'air toujours triste... il parlait peu... il ne faisait que travailler en silence. Sa vie me paraissait soutenue par son honnêteté.
p.47-8.
Takeshi : Euh... Cela fera 45 yens pour le shampoing et la mise en plis et 40 yens pour la permanente.
Soldat américain : Okane nai ne ! (Je n'ai pas d'argent)
Takeshi : Hein ?
Soldat américain : Ha ! Ha ! Ha !
Takeshi : Eh !
Soldat américain : What !? (Quoi)
copine du G.I. : Vaut mieux que vous ne fassiez pas d'histoires. Je ne sais pas de quoi il est capable.
Takeshi : 85 yens ! Please eighty-five yens !!! (85 yens svp)
Kiyoko : Chéri ! Arrête !
Takeshi: Non, il va me payer ! Eighty-five yens !!! Please !!!
Soldat américain : What !? I have no money understund !? (Je n'ai pas d'argent compris)
Takeshi : Je fais du commerce. Le fait que nous ayons perdu la guerre n'entre pas en ligne de compte.
Je n'envisageais même pas que cet incendie avait pu défaire les liens qui unissaient mon père et ma mère, en plus d'avoir anéanti notre maison.
Pendant très longtemps, je ne suis pas retourné à Tottori, ma ville natale. Au point que je ne me souvenais même plus quand j'y étais allé pour la dernière fois. [...] En contemplant le panorama de la ville, assis sur un banc du château en ruine, il me paraissait étrange de me trouver maintenant à cet endroit. Diverses pensées que j'avais oubliées m'assaillaient. C'est ici que j'vais fait mes premiers pas. Je n'aurais jamais cru que l'ambiance agréable de ma ville natale puisse m'apporter tant de calme.
Les parents sont obligés de penser aux enfants même quand ceux-ci ne pensent pas à eux.
Les enfants d'un homme âgé sont gâtés par tout le monde. Ils font ce qu'ils veulent sans se préoccuper de ce que je pense. C'est rare que les enfants évoluent comme les parents le souhaitent.
Le saké c'est comme l'homme. Il faut bien s'en occuper pour avoir de bons résultats.
Une fois que la course était terminée, j'étais libéré de mes peines et un agréable sentiment de plénitude envahissait mon corps.
Un classique qui rappelle l’importance de consacrer du temps aux siens, même si tensions et incompréhensions peuvent nous en éloigner.