Personne ne devient jamais vraiment adulte...
L'enfant que nous avons été est toujours là, bien vivant, tout au fond de nous...
Le ciel est si haut... Et pourtant, on a l'impression qu'il suffirait de tendre la main pour toucher les nuages. Le ciel est si mystérieux... C'est comme s'il était immuable, au-delà des hommes, au-delà du temps, et si c'était ça, l'éternité, un simple ciel...
Personne ne devient jamais vraiment adulte. L'enfant que nous avons été est toujours là, bien vivant, tout au fond de nous. Il est comme ce ciel. Avec le temps, nous croyons grandir. Mais la maturité n'est qu'un leurre, une entrave à notre âme libre d'enfant.
La guerre ... Ce n'est vraiment pas fait pour les gens qui s'aiment ... Elle est trop cruelle ... Pour ceux qui partent comme pour ceux qui restent.
(page 199)
Personne ne devient jamais vraiment adulte ... L'enfant que nous avons été est toujours là, bien vivant, tout au fond de nous ...
Il est comme le ciel ... Avec le temps nous croyons grandir ... Mais la maturité n'est qu'un leurre, une entrave à notre âme libre d'enfant.
En revivant mes 14 ans, j'avais l'impression de découvrir ce qui m'avait échappé jusqu'à lors.
(page 171)
Portant le fardeau d'un homme adulte, j'arpentais pour la deuxième fois le chemin de mes 14 ans.
(page 132)
Avec le temps, nous croyons grandir…mais la maturité n’est qu’un leurre, une entrave à notre âme libre d’enfant.
Le ciel est si mystérieux…C’est comme s’il était immuable, au-delà des hommes, au-delà du temps…Et c’était ça, l’éternité, un simple ciel…
Toute la tristesse. Toute la solitude du monde étaient dans son étreinte.
Une femme en larmes. Sa poitrine amaigrie pressée contre la mienne. Dieu que c’était douloureux !
- Vraiment… je te demande pardon.
Doucement, je l’ai prise dans mes bras.
(p.283)
Qui sont vraiment nos parents ? Et dès lors, qui sommes-nous pour nos enfants ?
-On ne peut rien changer.
-Quoi ? Qu'est ce qu'on ne peut pas changer ?
-Le temps... Le temps écoulé. Voilà ce qu'on ne peut pas changer.