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3,79

sur 650 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Franchement, je suis très mitigée.

J'avais lu tellement d'avis enthousiastes que je m'attendais à autre chose j'imagine. On est très loin du Timeline de Michael Crichton. Pas de développements scientifiques, pas d'analyses historiques, juste des voyages plus ou moins longs pour observer et peut-être résoudre quelques énigmes de l'Histoire, ce qui n'est même pas le cas dans ce premier tome.

Il y a du rythme lié aux différents sauts, il y a de l'action mais pas trop et surtout liée à l'héroïne principale qui semble tout faire et surtout avoir la poisse… Faut dire que ses partenaires meurent ou sont grièvement blessés, qu'elle a été quasi assassinée deux fois, qu'elle a perdu son amour, qu'elle a été virée, qu'elle a fait une fausse couche, qu'elle s'est retrouvée sans le sou après quinze jours sans boulot, qu'elle est tombée gravement malade et j'en passe ! Parlant des relations entre les différents personnages, c'est pour le moins simpliste, soit je t'aime soit je te hais, des caricatures quoi. Et puis, il y a de l'érotisme, pas trop, c'est bien mais aussi des passages inutiles et grossiers qui n'apportent rien au récit.

Que dire aussi de ce magnifique institut où les historiens deviennent en très peu de temps des soldats entraînés, des médecins, des spécialistes de la faune et de la flore, des maîtres en géologie et en météorologie et j'en oublie, tellement c'est un peu too much pour moi ;-)

Ma conclusion : le tout manque cruellement de poésie, d'humour, de développements et de crédibilité, un peu comme un brouillon mal ficelé. Pour être honnête, je dois dire que les 80 dernières pages sont un peu meilleures que les 210 précédentes et qu'enfin il y a de l'idée en ce qui concerne l'avenir de St Mary.

Bon, même si c'est pas ma tasse de thé, je vais faire une seconde tentative pour voir si mon opinion se confirme ou si c'était juste le premier tome qui m'a saoulée  :-)
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Grosse déception pour le premier tome des chroniques de St Mary. Après avoir lu beaucoup de commentaires enthousiastes de Babeliotes sur la série et étant moi-même amatrice de science-fiction et d'histoire, j'attendais avec impatience de commencer cette série.
Il faut dire que je préfère d'abord essayer de trouver les livres qui me tentent dans une des deux bibliothèques que je fréquente, sinon tenter ma chance chez les bouquinistes plutôt que de me précipiter dans une librairie et acheter toute la série.
Je rejoins donc d'autres lecteurs et lectrices déçues par ce premier tome. Mais, si j'en crois Babelio, la côte des livres de la saga de Jodi Taylor va crescendo. J'essaierai donc de voir si le deuxième volume est moins décousu et plus basé sur l'histoire plutôt que les luttes de pouvoir au sein de l'institut St Mary.
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Chère Jodi,
Ton univers des Chroniques de St Mary est alléchant, aucun doute là-dessus : un centre de recherche secret, des voyages dans le temps... Tu avais a priori tout pour me fasciner... Mais voilà, toi et moi, au final, ça ne va pas le faire...
C'est pas toi, tu sais, tu écris bien, ton style et fluide et tu as de l'imagination à revendre... Et puis tu m'avais bien prévenue, sur ta page de garde, que les scientifiques seraient sûrement fâchés par ton approche. Je ne me prends pas spécialement pour une scientifique, pour ma part, mais quand même, les historiens ne se sont jamais occupés des dinosaures, enfin, les biologistes, les paléontologues, je veux bien, mais pas les historiens !
Et s'il n'y avait que ça... Tu m'as littéralement perdue dans l'espace temps, pas lors des voyages en machine, pourtant, dans la structure de ton récit. On suit l'héroïne et les autres aspirants chercheurs dans leurs parcours de formation, on jubile avec ceux qui sont reçus, et d'un seul coup, sans qu'on comprenne ce qui s'est passé, paf ! Cinq ans ont passé... Mais sont passés où ??? Et pourquoi ?
En parlant des personnages, je ne les ai pas trouvés très crédibles, hélas. L'héroïne, coincée, sans grande expérience avec les hommes, qui se transforme comme ça en bête de sexe... Et les méchants un peu trop caricaturaux à mon goût...
Pour ce qui est de l'action, c'est pareil, je n'y ai pas non plus trouvé mon compte. Alors certes, il se passe beaucoup de choses, mais pas forcément très bien reliées entre elles, et certaines révélations sur la nature des personnages arrivent tout de même comme un cheveu sur la soupe. D'accord j'aime bien être surprise, mais bon, normalement, ces choses là s'amènent en douceur, un indice par ci, une indication par là...
Bref, comme je te le disais, toi et moi, on va s'arrêter là. Mais ne pleure pas, chère Jodi, du talent, tu en as, et tu as déjà plein d'autres lecteurs qui savent mieux t'apprécier à ta juste valeur que moi.
Sans rancune, donc, et bonne continuation ;-)
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Moi qui rêvais de voyages dans le temps, qu'elle fût ma déception de voir que ce livre n'a pas tenu ses promesses.

Ayant entendu beaucoup de bien sur cette saga, j'étais très emballé à l'idée de me lancer. Mais à mon plus grand désarroi, mon engouement s'est effiloché à mesure que je plongeais dans cet univers dont les défauts n'ont fait que ternir mon expérience de lecture. La première chose qui m'a heurtée c'est l'écriture, les personnages sont décrits selon leur âge, couleur des yeux, de cheveux, leur carrure et les liens qu'ils ont les uns aux autres, à la manière d'un catalogue. Ça ne s'incorpore pas progressivement dans le récit, il n'y a aucune fluidité ni travail apporté à la plume, c'est indigeste. On aurait dit l'écriture d'une personne novice en la matière ou alors très jeune. À cela s'ajoutait la vulgarité saupoudrée d'un humour vraiment lourd et malvenu, qui à défaut de me faire sourire, m'a fait décrocher de l'histoire.
Mais pour moi, le plus gros défaut de ce livre réside dans son manque de transparence concernant son genre. Je n'ai rien contre le fait de mélanger plusieurs genres littéraires, au contraire, ça peut offrir de belles surprises. En revanche, ici ça me pose un problème dans la mesure où je me suis procuré ce livre dans l'espoir de m'instruire en histoire, avec une touche de science-fiction. Pourtant, ne vous méprenez pas, à l'instar du résumé, il n'y aura pas un traitre mot sur Pompéi, et le voyage promis durant la Première Guerre mondiale ne fait office que de brèves ébauches. En définitive, l'aspect historique ne sert que d'encrage au récit, il est largement relayé en arrière-plan, on ne fait que survoler ces voyages qui sont peu nombreux et expéditifs. Pour vous faire une idée, les personnages ne font qu'accomplir leurs missions : étudier la véracité de certains faits historiques et rédiger de simples rapports sur l'environnement, afin que l'institut St Mary continue d'être subventionné, mais ça s'arrête là. Exit l'immersion dans l'histoire, la découverte d'anciennes cultures, ou une nouvelle interprétation de l'histoire à la sauce imaginaire, il n'y a rien de tout cela.
À la place, on a le droit à un brin d'histoire, mélangé à de la romance, sans que le terrain n'ait été préparé au préalable. On se retrouve avec une scène de smut explicite et des propos vulgaires « si tu arrêtes la voiture, je te taille la meilleure pipe de ta vie » et la liste est non exhaustive. Tout ceci arrive comme un cheveu sur la soupe, je ne vous explique pas ma stupéfaction et mon incompréhension de lire ce genre de scène dans un livre comme celui-ci. On comprend encore moins comment Max et Farrell en arrivent à partager une telle intimité. Il n'y a aucune alchimie entre eux pour justifier cette soudaine fougue, quant à parler d'amour, j'ai un peu de mal dans la mesure où les relations sont très mal développées, mais j'y reviendrais après dans ma chronique. À cela s'ajoutait les incohérences et clichés qui me font bouillonner : Max n'a soi-disant pas d'expériences, elle n'aurait eu que deux aventures avec deux hommes dont elle ne se souvient pas de l'identité (quelle surprise…), évidemment ils ont été nuls (surprenant n'est-ce pas…) et évidemment Farrell est incroyable et à la seconde où ils couchent ensemble, Max qui est pourtant exempt de toute expérience, devient une bête de sexe. Est-ce bien utile que je revienne sur ce genre de cliché abject qui me sort par les yeux ?

J'aurais pu davantage apprécier ma lecture et être moins critique si les personnages avaient bénéficié d'une construction de qualité, en ayant notamment une bande d'historiens et de techniciens avec de profondes affinités à la Six of Crows ou encore Aurora Squad. Il n'en est rien et c'est pourquoi le récit me parait bien creux. Les personnages sont mal travaillés et caricaturaux à souhait, j'ai rarement vu ça. Les historiens aux termes de leur formation se transforment à la fois en médecin, ingénieur, militaire, climatologue etc… c'est juste trop pour que ça soit crédible. Tous les hommes ont l'air d'être des brutes, et pire encore, des agresseurs ! En un seul tome, deux d'entre eux ont essayé de violer l'héroïne, sans oublier les nombreuses bagarres dont les justifications s'avèrent puériles. On a également de la concurrence féminine entre Mme Barclay et Max, elles se détestent sans la moindre raison, si ce n'est celle de convoiter le même homme, c'est d'une immaturité… Dans cette lancée caricaturale, j'en profite pour évoquer le nombre scandaleux de morts, il y avait tellement de pertes que je ne parvenais pas toujours à comprendre qui avait péri, et ça ne m'affectait pas le moins du monde puisque je n'avais aucun attachement envers les personnages. Il faut dire qu'il n'y a aucune émotion lorsque ces évènements tragiques se produisent, l'héroïne et son groupe semblent dénués d'humanité, ils continuent à travailler comme si de rien n'était. Tout ce climat de violence instauré par l'autrice n'apporte rien, j'ai l'impression que c'est gratuit.

Ma déception a également été renforcée par les trop nombreuses ellipses qui jonchent le récit. Il m'a fallu arriver presque à la fin pour comprendre que cela faisait cinq années que Max travaillait pour l'Institut. Aucune chronologie des évènements n'est donnée, et l'on passe d'une scène à une autre sans que rien ne soit précisé dans les chapitres, c'est vraiment déroutant. Quant à l'intrigue, elle ne m'a pas convaincue non plus, elle part dans tous les sens. Je n'arrivais pas à considérer cela comme étant des rebondissements, mais plutôt comme un manque évident de fil conducteur dans la trame narrative. J'en suis venue à la triste constatation que je ne savais même pas ce que je lisais, à l'heure où j'écris cette chronique je me trouve encore incapable de donner le but du roman. Je me demande si l'autrice elle-même sait où elle dirige son lectorat. Mélanger plusieurs genres est un exercice délicat et ce n'est malheureusement pas maitrisé ici. Cela donne donc un récit brouillon qui tourne en rond.

Pour conclure, je ressors très déçue de cette lecture avec le sentiment amer d'avoir été dupée par ce livre qui me promettait quelque chose qui au final n'est jamais venu. Les voyages dans le temps espérés ont laissé place à une sorte d'Indiana Jones, combiné à une plume manquant de saveur et à un humour malvenu, mais aussi à des personnages vides et caricaturaux. J'aurais aimé être emportée par cette histoire autant que certains lecteurs, mais tous ces défauts ont rendu cela impossible. Il est donc évident que je ne poursuivrais pas la saga.
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Je découvre Jodi Taylor grâce au challenge Mauvais Genre 2021, puisqu'il s'agit de l'autrice mise en avant pour ce mois de janvier.

Le thème du voyage dans le temps m'a tout de suite attirée, j'ai donc entamé cette lecture de façon enthousiaste. le début du roman et le premier voyage sont intéressants mais très vite, j'ai eu l'impression de tourner en rond et mon intérêt s'est étiolé. Je n'ai pas apprécié le style d'écriture non plus. Peut-être est-ce dû à mon manque de concentration mais j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de personnages, trop de noms, trop de surnoms : j'ai rapidement perdu le fil.

Bref, je suis péniblement arrivée au terme du livre et je ne pense pas poursuivre avec les tomes suivants. Je suis déçue car cette série me semblait prometteuse.
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L'idée était sympa, elle n'est pas sans rappeler la série ados Time Rider de Scarrow. Mais au contraire de celle-ci, l'équipe de St Mary observe et ne change/répare rien dans le passé. Et c'est une des faiblesses du roman. Il ne se passe rien. Ils vont au crétacé et filment les bestioles, ils vont dans l'Antiquité et sauvent des manuscrits de la bibliothèque d'Alexandrie et après ? ben rien, ils passent à autre chose.
Les seules "aventures" sont celles entre les historiens, et leurs collègues et un méchant qui apparaît épisodiquement.
Dommage pourtant le personnage de Max était intéressant, beaucoup plus que les autres qui sont fades et sans personnalité.
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J'étais vraiment emballée par le synopsis, j'adore l'histoire, c'est comme un rêve de pouvoir vivre des moments extraordinaires du passé et ce livre présente ça en tant que possible dans un institut spécifique.
Et puis ça l'a pas fait ... Je ne sais pas à quoi ça peut être dû, j'ai pas tellement accroché au style d'écriture que j'ai trouvé un peu simpliste, on passe un peu du coq à l'âne et à contrario le scénario qui est alambiqué, il y a plusieurs histoires dans l'histoire mais aucune n'est vraiment approfondie, les péripéties surviennent un peu de nulle part... Bref, j'ai pas accroché, je suis très déçue car je trouve l'idée vraiment top !
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Je n'ai vraiment pas, ou pas vraiment accroché à cette histoire farfelue, qui comme toujours avec les scénarii de voyage dans le temps, se tire elle-même une balle dans le pied à plusieurs reprises niveau cohérence. Et les personnages ont des comportements si factices... Un regret. Mais ça semble plaire beaucoup par ailleurs, donc tant mieux pour les fans !
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Madeleine Maxwell est une historienne banale jusqu'au jour où on lui propose de rejoindre l'institut St Mary, une organisation qui a la particularité de disposer de machines à voyager dans le temps…

Depuis le temps que j'entendais parler de cette série, je m'attendais à un bon moment garanti. Malheureusement, ça ne s'est pas tout à fait passé comme je l'espérais… Si je m'attendais à quelque chose d'assez léger, je pensais quand même trouver une intrigue un minimum « sérieuse », ce qui n'est pas tellement le cas ici.

Si vous avez un peu l'habitude de lire mes chroniques, vous avez peut-être remarqué que je ne suis pas très fan de la bit-lit. Cette remarque peut paraître hors sujet pour parler d'un roman qui traite de voyage dans le temps, et pourtant ! Ce roman respecte tous les codes de la bit-lit (à part les créatures fantastiques), à commencer par son héroïne…

(Disclaimer : tout ce que je dis sur la bit-lit se base sur mon expérience très limitée du genre, et je ne juge pas les personnes qui apprécient ce genre, il en faut pour tout le monde.)

Max (c'est son surnom) ressemble à toutes les héroïnes de bit-lit que j'ai pu lire. Elle est impertinente, a un humour rentre-dedans que je trouve personnellement assez lourdingue, et on essaye de nous faire croire qu'elle est badass (spoiler, elle ne l'est vraiment pas). J'ai trouvé ce personnage assez insupportable, et je dois dire que les autres personnages ne parvenaient pas à rattraper ça.

Comme souvent dans la bit-lit, on se retrouve aussi avec des scènes de sexe improbables qui arrivent comme un cheveu sur la soupe. Sauf si on considère normal de copuler contre un capot de voiture en attendant une dépanneuse alors que rien ne laissait présager cette activité à la base.

Je pourrais tenter de dire un truc positif en notant qu'au moins le rythme du roman est assez soutenu, mais malgré ça, on doit quand même attendre les 2/3 du roman pour avoir un semblant d'intrigue qui se dessine. Avant ça, on a juste une suite de voyages dans le temps, sans objectif vraiment défini (d'ailleurs l'objectif de l'institut au sens large est plus que flou d'une manière générale).

Et puisqu'on parle de voyage dans le temps, là aussi on part sur quelque chose de bien bancal. On a la règle classique du « Ne touche à rien dans le passé, tu risquerais de changer le présent », sauf que cette règle n'est jamais respectée (mais il n'y a jamais de conséquences donc pas de souci…). Suite à une révélation vraiment pas folle, on découvre d'ailleurs que la genèse même de l'institut se base sur une volonté de changer l'avenir… Je n'en dis pas plus parce que ce serait spoilant.

Et sinon pour continuer sur les choses qui m'ont agacé, on retrouve pas mal d'agressions sexuelles utilisées comme ressort narratif (et comme acte punitif), les personnages sont des guignols qui sont l'incompétence incarnée et qui ne prennent absolument rien au sérieux, on a des antagonistes en deux dimensions aux motivations un peu légères, et pas la moindre surprise tout au long de la lecture puisqu'à chaque fois qu'il se passe un truc, l'autrice nous prévient que ça arrive (au cas où on ne comprendrait pas tout seul qu'il se passe quelque chose d'important).

Si je fais un effort et que j'essaye de trouver un peu de positif, je peux juste dire que c'est une lecture facile et rapide, pas prise de tête, et qu'il y a quand même 2-3 trucs pas mal dans le scénario. Dommage que ce soit noyé dans tout le reste.

Vous l'aurez peut-être compris à cette chronique un tantinet négative et à mon ton subtilement agacé, je n'ai vraiment pas aimé ce premier tome (et je ne continuerai évidemment pas la série). J'avoue avoir un peu de mal à comprendre le succès de cette saga qui compte tout de même déjà 14 tomes. En tout cas, une chose est sûre, ça n'était vraiment pas pour moi !
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Ce livre aurait bien eu besoin d'une relecture. S'il traite de voyage dans le temps, il fait lui-même des sauts dans le temps rendant sa lecture parfois chaotique. L'éditeur a oublié de faire son travail jusqu'au bout et a juste caviardé le texte sans se soucié de la cohérence de l'histoire. Dommage.
Je passe sur les incohérences historiques, on est dans de la fiction et on ne peut pas trop en demander.
Ce n'est pas le roman de l'année mais ça se laisse lire si on n'est pas trop exigeant. J'attends le tome 2 pour me forger une opinion plus complète.
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