Une série que j adore.
J ai un peu moins aimé ce tome car il manque un peu d actions et de sauts dans le temps. Max a fait une grosse boulette et elle est plus ou moins mise au placard.
J etais partie pour mettre un 3 étoiles. Je n aime pas quand Max est punie ! Mais j ai tellement adoré la dernière partie que finalement j ai mis 4 étoiles.
On retrouve les ingrédients qui font le charme de la série. Des personnages déjantés mais attachants. de l humour. Une Max fidèle à elle même. Des capsules qui sentent le chou. du thé et du chocolat. Des coups fourrés. Des situations cocasses. J adore ces historiens.
J ai hâte de découvrir le tome 8 à présent.
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Sauts et soubresauts
A St Mary, tout change et rien ne change. Max a repris ses fonctions de directrice des opérations mais elle a dû négocier ferme avec le Dr Bairnstow et Leon pour qu'il lui soit possible d'effectuer encore quelques sauts à travers le temps. Pour résumer, elle s'est engagée à ne rien faire de dangereux ! Beaucoup plus facile à dire qu'à faire cependant… surtout lorsqu'on connaît Max dont la propension à créer des catastrophes sans rien faire de spécial est légendaire. Et dans ce volet, elle va se surpasser !
Pour commencer, une petite visite en 1820 afin d'assister au couronnement (mouvementé) de George IV (je n'en avais jamais entendu parler mais c'est un évènement qui a dû marquer son époque !). A peine le temps de souffler qu'une nouvelle mission envoie Max, Peterson et Markham au Pays de Galles, au milieu du VIème siècle. Rien de risqué, car il s'agit d'observer (et rien d'autre). Observer des fortifications, faire des relevés topographiques et quelques croquis. Tout à fait dans les cordes des historiens. Sauf qu'ils arrivent au beau milieu d'une bataille et qu'ils vont faire une rencontre inattendue : le roi Arthur en personne… Et assister à une scène extraordinaire : Arthur remettant l'une de ses épées légendaires à une sorte d'ermite habitant une caverne des environs… A leur retour à St Mary il est décidé d'informer Thirsk (leur « autorité de tutelle ») de la possible présence d'un artefact de grande valeur dans une grotte galloise et de lui laisser la gloire de la découverte (de quoi assurer le financement de St Mary pendant un bon moment !). Tout se passe pour le mieux : l'épée est découverte, Thirsk est ravie, le Dr Bairnstow aussi et Max a le sentiment du devoir accompli. Et comme le dit si bien Max «c'est là que tout est parti en vrille. »
Une fois encore j'ai adoré ce roman mêlant avec brio Histoire et histoires. Je dois bien reconnaître que je ne suis pas experte ès Histoire Anglaise mais j'aime beaucoup lorsque le professeur est le Dr Maxwell ! Une excellente façon d'en apprendre un peu sur les Rois de la perfide Albion dont certains, je vous l'assure, sont particulièrement « gratinés »…
Beaucoup d'humour encore dans ce tome, une petite dose de fantastique voire de surnaturel, mais aussi des moments plus sombres et quelques réflexions à méditer : pour quelles raisons chercher les reliques du passé ? Pourquoi les déterrer pour, au mieux, les exposer dans des musées (ou, au pire, les vendre à de riches collectionneurs) ? Est-ce bien moral de le faire ?
Quant à la dernière partie, elle est tout simplement « dingue » !!
Divertissant mais pas que !
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Il m'aura fallu du temps pour en arriver au bout. La faute n'est pas à l'accaparement. Tout au contraire, j'ai de nombreuses fois dédaigné cette lecture sur mes temps de loisirs. C'est simple, j'ai mis un temps fou à me mettre dans l'histoire et j'en ressors avec une petite déception : c'est clairement moins drôle que les autres. A chaque tome, je cherche les voyages loufoques qui détrôneront la chasse aux dodos. Là, honnêtement, rien ne s'en est approché. A part peut-être un certain rapport, et encore.
Comme de coutume, on sait dès les premières pages que les catastrophes sont imminentes. Lesdites catastrophes arrivent donc sans surprises. Autant je ne m'en formalise pas, autant là le parti-pris ne m'a pas plus emballée que ça. L'aspect fantastique et la mise à pied n'a pas eu ma sympathie. Ca n'a eu comme effet que de diminuer le nombre de voyages temporels et son lot de péripéties, ce qui est, au final, la principale raison qui fait que j'adore cette série... .
Des points positifs demeurent : la narration de Max, toujours très drôle mais aussi le fait que les quelques sauts nous ont emmené sur des points de l'Histoire que je ne maîtrisais pas ou peu. de quoi m'instruire agréablement!
Mention spéciale pour les dernières lignes du texte!
LC Juin 2021 : moins de 100 lecteurs
Challenge Trivial Reading XI
Challenge A travers l'histoire
Challenge Séries
Challenge Mauvais Genres
Challenge Multi-auteures SFFF
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De ce 7ème opus, les historiens sont égaux à eux-mêmes mais Maxwell s'est surpassée et a franchi les limites ! du coup 2 personnages sortent de l'histoire (je n'ai pas dit meurent), elle-même est mise à l'écart et un personnage antipathique à souhait émerge de l'Université Thirsk pour prendre la direction de tous les sauts dans le temps !
Un petit séjour en 1821 pour le couronnement du roi George IV, encore un personnage sympathique celui-ci et j'ai la nette impression que les Anglais se surpassaient en termes de souverains !
Un saut jusqu'au VIè siècle au Pays de Galles avec une surprise à la clé et l'espionnage de Jean sans Terre, bref pas de quoi s'ennuyer pas plus pour eux que pour nous !
Un épisode sympathique et qui passe vite !
Lu dans le cadre du Défi 1001 pages féminines
Challenge MAUVAIS GENRE 2021
Lecture THEMATIQUE avril 2021 : Plumes féminines
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- Tu fais bien les exercices que je t'ai conseillés ?
Markham lui a décoché un clin d'œil.
- Tu parles à qui ?
- Bien sûr que je les fais, ai-je répondu, privilégiant la rapidité à la vérité. Il suffit de quarante cinq minutes d'exercice avec le chef Farrell pour avoir un périnée capable de casser des noix.
Silence.
Markham a murmuré à mon oreille :
- C'est quoi un périnée ?
- Un truc avec lequel on peut casser des noix.
- J'en aurais bien besoin. Je peux emprunter le tien ?
- Si tu veux te faire casser les noix, je suis certaine que Melle Hunter sera ravie de te rendre ce service.
Le vrai inconvénient du mariage concerne le besoin inextricable d'une moitié du couple marié de savoir précisément et à tout moment où se trouve l'autre moitié. C'est quand même dingue, non ?
- OK, alors à tout à l'heure...- Il a hésité un instant.- Lisa c'est ça ?
Oh. Tim. Tout le monde sait qu'une fois qu'on a donné un nom à une creature trouvée, on ne s'en séparera jamais.
La loi des probabilités dit que quelque part dans le monde, il existe un politicien compétent, un banquier honnête, un footballeur anglais qui sache quoi faire du ballon dans la surface de réparation.
Tu sais tricoter ? ai-je demandé, sur le même ton qu'on demanderait : "Tu as collaboré avec les fascistes ?"