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Que se passe t-il dans la vie d'un ado attardé de 24 ans, écrivain raté, puceau, alcoolique, aux pulsions psychotiques et étant ascendant Gaston Lagaffe ? Un enchainements de circonstances rocambolesques le menant tout en haut de la hiérarchie d'une secte d'érotomanes !

le choix de l'auteur de nous faire vivre cette tranche de grand n'importe quoi depuis le point de vue dérangé de son héro n'est pas sans rappeler les exactions (dont je suis très friande) de Nadine Monfils avec Mémé cornemuse; vulgaire, violent, dérangeant; voici deux monstres modernes pathétiques n'ayant rien à s'envier l'un l'autre. Jubilatoire pour certains, choquant pour d'autres lecteurs, ce gourou alcoolisé ne laissera certainement pas de marbre... Mais quand le dérangeant devient une autopsie générationnelle joyeuse, quand Ternaux nous sert une Orange mécanique drôle, force est de constaté que le plaisir littéraire et le néant font bon ménage.

Reflet d'une jeunesse paumée entre rêves de gloires et réalité économique, poussée à bout hormonalement par la pornographie généralisée, marginalisée par l'impossibilité de se réaliser en tant qu'adultes; ce roman est un portrait brossé à grands traits de vitriol et d'éclats de rire. Entre déboires sentimentaux, amitiés pathétiques et pieds de nez à l'actualité mondiale, Romain Ternaux foule au pied toutes les bien-pensances faisant le tour de nos morales de façades... Et tout y passe; du respect de la femme aux sdf, de la maltraitance des animaux au système d'aide sociale, touchant même à l'histoire française en ses moments les plus noirs; voici le délire destructeur d'un être à bout de lui-même et que son inénarrable maladresse n'aide pas ...
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L'histoire du loser devenu gourou est un roman trash, un roman cru, très drôle, un peu dans la lignée de la pire. Personne. Au monde. de Douglas Coupland sans la visée clairement dénonciatrice.

Comme titre explicite, on ne fait pas mieux ! On fait en effet la rencontre du narrateur, un gros loser d'une vingtaine d'années, écrivain alcoolique, obsédé sexuel à tendance légèrement homicidaire (légèrement oui…). Ses parents lui trouvent un job de balayeur dans le gros bâtiment gris que tout le monde sait appartenir à une secte, sauf le narrateur bien entendu. Ce dernier, de péripéties en conneries, se retrouve bientôt à la tête de cette secte pour le plus grand plaisir du lecteur –sadique.

Ce roman est fou. On y trouve du sexe (frôlant parfois la limite de la pédophilie), de la violence (allant carrément jusqu'au meurtre), du désespoir (le narrateur transpire la consternation de tous ses pores) et j'en passe. Bref, on trouve un peu de tout et ce tout part à chaque fois d'une base socialement respectable pour finalement éclater le seuil de l'extrême. C'est ce qui fait la force du roman, j'ai adoré ce point ! Une palette de vices s'offre à nous pour nous horrifier autant que nous faire rire car l'auteur a beaucoup d'humour !

Le narrateur est une calamité ambulante et forcément, tout ce qu'il fait amène le lecteur à rire (sadiquement, il faut l'avouer) à ses dépends. de son allure, de ses tares, à son langage, son personnage intégral représente une farce à lui tout seul. Il a un côté attachant qui fait que l'on suit avidement ses aventures, tout en espérant qu'il lui arrive des milliers de malheurs pour alimenter notre divertissement. Une chose est sûre, on ne s'ennuie jamais avec lui ! Il m'a fait de la peine mais m'a parfois horrifiée, ce personnage est ambivalent et ne peut pas par conséquent, lasser le lecteur.

Le langage utilisé m'a plu puisqu'il s'agit d'un langage familier que l'on rencontre à tous les coins de rue. Il ajoute du réalisme et permet au lecteur lambda comme moi, de s'identifier assez facilement. Si j'ai particulièrement aimé cela lors des dialogues, j'ai eu un peu de mal à m'y faire dans la narration, notamment à cause des négations inexistantes du genre « j'ai pas fait… ». Je m'y suis accoutumée mais c'est plutôt déroutant en premier lieu.

Bref, L'histoire du loser devenu gourou est un roman très drôle à condition d'aimer le trash, l'expression du vice sans tabou et les losers incapables d'entreprendre quelque chose sérieusement. J'ajoute que la fin du roman m'a particulièrement surprise puisqu'elle diffère du reste et permet de nombreuses interprétations (ou alors mon cerveau déborde d'imagination mais j'ai plusieurs pistes qui pourraient expliquer cette finalité).

Je tiens également à préciser que je possède une épreuve sans couverture ce qui est fort dommage car la couverture de ce roman est, il faut le dire, la meilleure qui puisse exister sur cette planète ! Un chef d'oeuvre !
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Le narrateur, dont on ignore le nom, n'essuie que des tuiles. Alcoolique, il se pense auteur génial, évidemment incompris et donc en mal d'éditeur, il a bien tenté l'autopromotion mais toutes ses tentatives ont lamentablement échoué et ses cartons de livres autoédités le narguent depuis un coin du salon.

Et c'est ainsi pour tout ce qui fait sa vie, ses boulots, son appartement payé par ses parents, son attirance pour sa si jolie voisine, Sylvie, mais devant qui il devient, au mieux, maladroit, toujours mal fagoté, l'air idiot et un pack de bières à la main.

Ses parents lui ont trouvé un énième job: balayeur dans l'immeuble gris en face du parc. En fait de balayeur, il est plutôt éboueur, mais avec plein d'interdits dont celui de prendre l'ascenseur. Forcément intriguant, et en plus, ça lui éviterait de se fatiguer avec ces sacs qui pèsent des tonnes.

Evidemment, sa première journée est un flop monumental. Il enchaîne les bourdes et ça fait rire, bien sûr. Et surtout, il découvre des choses bien étranges dans cet endroit que tous semblent fuir.

Derrière la façade, aux sculptures néo-porno-roccoco quand on regarde bien, se cache une secte, une société secrète toute dédiée au sexe et aux plaisirs immédiats, sous le culte du Maître Bougaga, et financée par les membres, puissants anonymes de ce monde…

Il enchaîne les ratés, tente de forcer son destin, provoquant des réactions en chaîne aux résultats toujours plus foireux, catastrophiques, rocambolesques, improbables.

L'histoire est totalement ubuesque et surréaliste !

Je me suis souvent demandée dans quel délire l'auteur allait encore nous emmener, repoussant toujours plus loin l'absurde. Et de me demander quand et comment ce roman pouvait se terminer. A contrario, la fin n'est pas folle du tout comme le reste du roman, elle est cruelle.

La lecture est fluide, j'ai été parfois dégoûtée comme j'ai franchement ri sur certains passages, tant cet anti-héros, dont la vie ne contient aucune « normalité », attire les ennuis aux effets dominos.

Mais derrière cet aspect trivial, et souvent trash, se dessine une critique de notre société de consommation à outrance, à la facilité apparente. le roman décrit cette nécessité constante d'avoir pour être, doublé du besoin paradoxal de croire en quelque chose qui nous dépasse, qui nous guide, tout en satisfaisant des besoins primaires.

Lien : http://vivrelivre19.over-blo..
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Un écrivain raté, alcoolique et sexuellement frustré se retrouve plongé dans une galère sans nom après avoir accepté un job de balayeur trouvé par ses parents dans un mystérieux bâtiment qui se trouve être une secte où la luxure est reine. A cause de son goût prononcé pour la boisson et les femmes le ""héros"" va prendre de très mauvaise décisions qui vont tour à tour le faire passé de meurtrier à gourou milliardaire et à bête traquée.L'histoire est rapide, tout se déroule très vite, L'humour est piquant et parfois voir souvent obscène. Mais il y a tout de même un message et une morale derrière tout ça. Un livre qui m'a bien fait rire mais qui ne laissera malheureusement pas une empreinte indélébile.
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Tout d'abord merci Masse critique et les éditions Romain Ternaux pour l'envoie de ce livre !

Malheureusement, je n'ai pas été emballée. Il faut dire que le sujet même du lire n'est pas forcément ce que je préfère en littérature ... C'est le problème avec ces énoooormes masses critiques, je coche parfois un peu vite et me retrouve à faire la critique d'un livre franchement hallucinant ! le bon côté du truc c'est que question découverte, je découvre !

Bref, revenons à nos moutons, ou plutôt à nos ''riches bourgeois partouzeurs'' puisque c'est bien de cela qu'il s'agit ...

L'histoire est rocambolesque. On la démarre auprès d'un personnage principal détonnant, un jeune écrivain raté qui carbure aux packs de bières ou à l'alcool plus largement. Sa vie oscille donc entre cette passion, l'alcool, et sa vie ratée pleine de frustrations sexuelles heureusement largement compensée par les fantasmes qu'il projette sur sa voisine de palier.

Pour faire court, ses parents, n'en pouvant plus de le voir dans un tel état de déchéance, lui trouvent un petit boulot de balayeur dans une fondation secrète.
N'attendant qu'une chose, se faire virer, il n'hésite pas à prendre l'ascenseur du bâtiment plutôt que de passer par les escaliers de service lors d'une de ses missions de nettoyage. C'est alors qu'il tombe sur deux femmes superbes toutes court-vêtues. Un peu plus tard, une entrevue mouvementée (par accident) avec le patron masqué des lieux le fait basculer du sous-employé à gourou de cet étrange petit monde d'orgiaques ...

Cela pourrait s'arrêter là mais le meurtre du vrai patron et le récit de cette nouvelle ascension aussi excitante que paradoxale à son meilleur ami donne une tournure dramatique aux événements. Le-dit ami décide de s'emparer du masque et de devenir gourou à son tour. Entre temps le livre du personnage principal devient la nouvelle bible de cette sorte de secte de tous les plaisirs et l'amalgame de tout cela va faire basculer sa vie dans un traquenard aussi loufoque qu'irréel ...

Finalement tout se finit bien ... ou pas, j'ai pas vraiment tout compris à la fin ...

Personnellement ce n'est pas le genre de livre que j'apprécie, déjà que je trouve ça limite quand, dans un livre, il y a une scène de cul juste pour le cul alors là un livre qui base toute son intrigue autour d'une pseudo secte sexuelle et délirante ... bof bof.
Je me suis laissée tenter par la 4ème de couverture qui finalement n'a, selon moi, pas tenu ses promesses !

Mais à vous de vous faire une idée !
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L'histoire du loser devenu gourou...un titre qui annonce totalement la couleur !
Car, loser, on ne fait pas mieux. Ecrivain raté, méprisé par sa voisine dont il est amoureux, par ses parents, et même par le chat de sa voisine, par le vendeur de la superette où il se fournit en alcool (car oui, loser implique alcoolique) et par les clochards du parc voisin, malchanceux au possible, bref, aucune qualité à lui trouver, et son seul ami, professeur alcoolique lui aussi, obsédé sexuel et pédophile, ne change rien à l'affaire.
Du coup, à personnage peu attachant, histoire sordide. Je suis en général plutôt fan de l'absurde, mais ici, tout y est plus vulgaire et peu crédible, que ça ne fonctionne pas...en tout cas j'y suis resté plutôt hermétique.
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Quand j'ai vu ce livre j'ai pensé à La conjuration des imbéciles, quand je l'ai lu, j'ai pensé à La fascination du pire, c'est dire si j'ai été déçu ! Première page, une faute (il manque un « que » dans une phrase), ça commence mal, je ne m'arrête évidemment pas pour si peu mais ça ne laisse pas une bonne première impression.
Du trash pour du trash, du cul pour du cul,… rien qui pourrait choquer à outrance, principalement car ces scènes semblent arriver dans la narration avec de gros sabots : l'exemple le plus absurde étant le héros qui recherche une carte de crédit dans le cul d'un cadavre plutôt que de regarder en premier lieu sur son bureau. Ce n'est hélas pas la seule fois où l'auteur semble choisir la facilité : le héros est un écrivain raté (un écrivain qui parle d'un écrivain, génial !), il rejoint une secte dont le gourou porte un masque et les adeptes mâles des cagoules (c'est tellement pratique pour les quiproquos…), la voisine, les femmes adeptes de la secte ou la petite amie du pote ne pensent qu'à baiser (on se croirait dans un scénario de porno…),…
Le style littéraire est très très simple, écrit comme on parle (ou plutôt comme un loser alcoolique parle), je ne suis pas très habitué mais ça passe bien et c'est cohérent avec le récit.
À la dernière page, je pense « Tout ça pour ça ? », désabusé. Ce qui est le plus intriguant c'est peut-être que l'auteur ait réussi à rendre son texte suffisamment intriguant pour me donner envie de continuer à tourner les pages.
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L'histoire du loser devenu gourou est le deuxième livre des éditions Aux forges de Vulcain que je lis, dans un style totalement différent de Nous entrerons dans la lumière. Cette fois-ci, nous avons affaire à une critique de notre société dissimulée sous une grosse couche d'humour trash.

Le livre nous retrace l'histoire d'un jeune homme entre 25 et 30 dont on ne connait pas le nom : ce pourrait être l'histoire de n'importe qui. C'est un jeune homme sans travail qui passe ses journées devant son ordinateur à boire des bières et à penser à sa voisine de palier. Mais, du jour au lendemain, ses parents lui trouvent un nouveau travail dans une riche fondation : il doit jeter les poubelles. C'est là que les choses se corsent pour lui.

A peine entré dans cette fondation, il enfreint une des lois : il prend l'ascenseur pour jeter les poubelles et y croisent trois magnifiques jeunes femmes. La curiosité le prend et un autre jour, il sort de l'ascenseur à l'étage où étaient descendues les femmes : l'étage est rempli de femmes nues ou à moitié nues. Il finit par monter au dernier étage, celui où se trouve le bureau du gérant de la fondation, pour demander un chèque et démissionner.

C'est là qu'il se rend compte qu'il a mis les pieds dans une secte de partouzeurs et, par un concours de circonstances, il en devient le nouveau gourou. Il se rendra vite compte que cette fonction n'est pas de tout repos et qu'il ne peut pas faire tout ce qu'il veut au sein de cette secte qui est cachée aux yeux de tous. C'est ici que les ennuis commencent pour lui.

Le jeune homme en lui même est un "pauvre mec", comme on pourrait dire, qui se retrouve du jour au lendemain dans une situation rocambolesque alors qu'il aurait préférer rester tranquillement chez lui avec ses packs de bières. il n'arrive pas du tout à gérer sa nouvelle fonction de gourou et ne sait pas ce qu'il doit faire. Il est complètement paumé dans sa nouvelle vie.

On y rencontre aussi Walter, son copain de comptoir, qui ne sort qu'avec des lycéennes. Il sort avec Mona, une lycéenne. Celle-ci aura un certain rôle à jouer dans les événements. Walter n'est intéressé que par le sexe et montre un certain intérêt pour le nouveau rôle de son ami : il est jaloux de son ami et veut prendre sa place.

L'humour trash est constamment présent dans ce livre, parfois même un petit peu trop à mon goût. C'est un livre qui nous montre une certaine critique de notre société au travers de cette forme d'humour. On peut donc y lire une critique de l'argent, du sexe et du travail ; mais aussi des personnes prêtent à tout pour avoir un meilleur "rang" dans la société. Les personnages sont aussi caricaturés pour accentuer cette critique.

En conclusion, je ressort assez mitigée de cette lecture. Je suis assez bon public en ce qui concerne l'humour mais là je trouve que l'humour trash est un peu trop présent à mon goût même s'il permet une bonne critique de notre société. Je dirais même qu'il est parfois un peu trop lourd...L'idée me plaisait beaucoup à l'origine mais je trouve qu'on tourne un peu en rond en ce qui concerne notre "loser" et c'est bien dommage. Je pense cependant, que c'est un livre assez particulier qui saura trouver son public.
Lien : http://reveuseeveillee.blogs..
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Je tiens tout d'abord à remercier les Editions des Forges de Vulcain pour leur confiance.

Romain Ternaux a un style d'écriture plutôt déstabilisante, mêlant langage parlé et langage soutenu. Je n'ai pas tellement accroché à cette écriture copieuse, très lourde. L'abus de mots alourdit la prose déjà pas si simple à suive, alourdissant donc au passage le rythme de l'ouvrage.
Les dialogues sont peu nombreux, mais pertinents et bien adaptés aux personnages. Mais, déstabilisant, il y a également des dialogues intérieurs ou imaginaires de notre narrateur anonyme. Ils sont directement inscrit dans la narration, sans aucune marque propre, sans aucun sauts de lignes. Ils sont présenté comme si le lecteur se trouvait directement dans le crâne de notre anti-héros. L'histoire entière est d'ailleurs narrée dans cette direction.

La plume lourde de Romain Ternaux plombe légèrement le récit, malgré cette intrigue rocambolesque. En effet, L'Histoire du loser devenu gourou est un ouvrage aussi surprenant qu'original. C'est un satire critiquant les vices de notre société actuelle. L'argent, le sexe, le travail mais aussi la famille. Selon les sujets, c'est fait avec plus ou moins de doigté. Romain Ternaux ne semble pas aimer la subtilité.
Les personnages sont tous très cliché, mais un cliché utile à la satire. Ce sont des personnages balourds, grossiers, à l'image du roman. Ce ne sont pas des personnages attachants, loin de là ! Au contraire, ils nous dégoutent plus qu'autre chose. C'est cela, qui est génial. Ils sont infects, mais nous poursuivons tout de même notre lecture, fasciné. Notre « loser devenu gourou » est bien le pire de tous ! Il pense avec une – excusez moi de l'expression – bite à la place du cerveau et c'est ça qui nous fait rire.
Mais côté humour, je reste déçue, je pensais rire beaucoup plus de ça. L'humour est à la Tarentino, quelque chose de démesuré, avec une bonne dose dérangeante d'absurde.

En effet, L'Histoire du loser devenu gourou est un récit bien trash sur les dictats de la vie quotidienne. J'en sors plutôt mitigée, mi-figue mi-raisin. Ce n'est pas un livre qui plairait à tout le monde, mais je suis certain que les amateurs du genre seront comblés !

3.5/5
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En bref :
Une idée de départ intéressante mais malheureusement traitée d'une façon qui n'aura pas su me parler.

Le moins :
Le côté trop loufoque de l'histoire.

Le plus :
Un personnage principal attachant.
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