Mais la mort rôdait. En nous et autour de nous
Cette enquête puait le jeu de l’oie grandeur nature.
Oublies les trains miniatures et les sensiblerie de comptoirs. La machine Sharko, boulonnée d’insensibilité, reprenait du service.
Un corps nu, rasé, les chevilles entravées m, mais pas les mains. Des insectes sur le crâne. Le tout dans une église. Du grand n’importe quoi !
C'était... effrayant et passionnant, cette manière de tout tourner vers la mort, la destruction. Il avait l'intime conviction qu'un jour ou l'autre, les insectes balaieraient l'humanité. Ils sont un milliard de fois plus nombreux que la totalité des êtres humains, qu'il disait, rien que la masse des fourmis est supérieure à celle de tous les hommes réunis, vous imaginez ? (p.130)
Je ressentis l'impuissance d'une plante verte au fond d'une cave (p.122)
La Nature nous l’enseigne chaque jour, il faut faire le deuil des choses passées, parce que ce qui pointe devant brille d’une beauté sans cesse renouvelée.
La Nature nous l'enseigne chaque jour, il faut faire le deuil des choses passées, parce que ce qui pointe devant brille d'une beauté sans cesse renouvelée.
Faire le deuil, en gardant sur les lèvres le goût de ce qu'elles furent. Des deuils de miel...
Devant, le soleil enflamme les dernières braises du ciel. Le jour se meurt, tandis qu'un autre se prépare déjà, derrière, plus fort encore. La Nature nous l'enseigne chaque jour, il faut faire le deuil des choses pas-sées, parce que ce qui pointe devant brille d'une beauté sans cesse renouvelée.
Faire le deuil, en gardant sur les lèvres le goût de ce qu'elles furent. Des deuils de miel...
Je ne vous oublierai jamais.
La Nature nous l'enseigne chaque jour, il faut faire le deuil des choses passées, parce que ce qui pointe devant brille d'une beauté sans cesse renouvelée.