Il est très agréable de vivre sur un radeau. Nous avons eu le ciel là-haut, tout mouchetée avec des étoiles, et nous avons l’habitude de poser sur le dos et lever les yeux vers eux, et de discuter de savoir si elles ont été faites ou que vient de se passer.
BAH L'IMBÉCILE C'ÉTAIT MOI. QUELLE IDÉE J'AVAIS EU DE M'EMBARQUER DANS UNE AVENTURE AVEC UN PAUVRE BOUGRE QUI S'ETAIT FAT PIQUER SON ÂME PAR LE PREMIER VENU... ET CE TRAIN, JE SAVAIS MÊME PAS OÙ IL ALLAIT...SI J'AVAIS DÛ INSCRIRE UNE MONICA À CE MOMENT LÀ, J'AURAIS MIS: HUCK FINN HOBO DES RIVIÈRES ET DE LA POISSE TOUJOURS PLUS LOIN SUR LA ROUTE DES EMBROUILLES.
CETAIENT DES BOUTIQUES MINABLE, TRANSFORMÉES LE SOIR EN BARS OU EN DANCING. LES MINEURS NE POUVAIENT PAS ENTRER,ET PUIS LES BLANCS Y ÉTAIENT MAL VUS ...
- UN JOUR,IL FAUDRA QUE T'ENTENDES ÇA,TOM.C'EST COMME UN CHANT AVANT LA BATAILLE CETE MUSIQUE SENT LA POUDRE!
- Dis, t'as une idée de comment on se rend jusqu'en Californie ?
- En brûlant le dur !
- En brûlant Tape-Dur ?
- Hein ?... Non !! "Brûler le dur", "Faire le trimard", c'est des expressions qu'emploient les Hobos, les vagabonds du rail quand ils prennent le train sans payer ! Ils voyagent sur le toit des wagons quand il fait beau et dessous quand il pleut.