« Le terrain n'a plus rien à voir avec celui qu'ils ont connu en remontant la crique. Ils coupent désormais directement à travers la forêt, sans repères et sans suivre de sentier, qui n'existe de toutes façons pas. Les collines du Mitaraka ne sont pas très
élevées, trois à quatre cents mètres seulement, mais Lanaki, en bon guide, sait qu'il vaut mieux les contourner pour se fatiguer moins, quitte à allonger le trajet. Il se retourne régulièrement vers Françoi... >Voir plus