Dragon Ball, tome 39 : Adieu, guerrier à la force inégalée

L’Arc Boo est bien moins apprécié par la fanbase que ceux des Saïyens, de Freezer ou des Cyborgs / de Cell (et sans doute avec raison). Toujours est-il que sous la pression de ses éditeurs ce flemmard d’Akira Toriyama retourne à ses premières amours…


Dans ce tome 39, après Piccolo, Freezer et Cell, Akira Toriyama nous refait le coup du boss évolutif qui ridicule de prime abord va gagner en badassité au fur et à mesure de ces transformations. Ici, avec un bidendum rose qui multiplie les grimaces et les gamineries, qui adore le chocolat, les bonbons et les gâteau, et qui fume par tous les pores de la peau quand il est en état de contrariété, ce n’est vraiment pas gagné !

Boo met facilement la pâtée à tout le monde, reproduisant à la perfection toutes les techniques de combat utilisées contre lui :
- Kaio Shin emmène Gohan au sanctuaire des kaios délivrer la Z-Sword de son rocher (quand je vous disais que l’auteur avait inséré une dose de mythologie arthurienne dans sa saga… blink)
- Goku qui n’a plus que quelques heures de vie devant lui avant de retourner au paradis transmet le secret de la fusion pour que Goten et Trunks prennent la relève en tant que défenseurs de la Terre
- Babidi savoure son nouveau rôle de maître du monde, en reprenant les discours de Cell qui reprenait les discours de Piccolo Senior

On ne va pas se mentir, après avoir sauvé à lui tout seul le tome 38 de la monotonie, ce tome 39 repose essentiellement sur les épaules de Végéta qui réalise l’ultime sacrifice pour vaincre Boo et ainsi tenter de racheter ses fautes… Après avoir offert une fin très classe à Goku, le mangaka offre une fin encore plus classe à Végéta ! (décidément, c’est de loin le meilleur personnage de la saga)
3,5 étoiles arrondies à 4


Dans la version que j’ai lue, les scènes d’action sont complètement sabotées par les onomatopées débiles de Vincent Leone et Bakayaro! qui persistent et signent en multipliant les « WAKSHBAM » et autres « SHBADABAM » qui s’étalent parfois sur plus de la moitié des planches. A ce niveau là, ce n’est ni plus ni moins que du vandalisme culturel… Quelle honte, un kikoo de moins de 10 ans n’aurait pas fait pire !!!

Le dernier grand combat de nos héros débute enfin dans ce tome ! La grande menace représenté par Boo s'éveille enfin malgré tout ce qui a été tenté pour empêcher cela. Et il faut reconnaître que passer après Cell et Freezer est assez difficile : les deux précédents grands adversaires de Goku avaient énormément de charisme, leurs designs étaient très travaillés et ils avaient quelque chose d'impressionnant, alors que Boo paraît…ridicule. Il faut reconnaître que c'est assez déstabilisant.

Quoi qu'il en soit ce tome est vraiment prenant, il s'y passe de nombreuses choses, dont la plus importante est l'action de Végéta. Ce dernier est ici plus classe que jamais, on le voit pour la première fois faire preuve d'affection envers quelqu'un, avant de jeter toutes ses forces dans la bataille dont il sait qu'il ne reviendra pas.

Un combat d'anthologie, un "fin" grandiose pour ce manga culte...

Excellent ! Végéta a dû refaire un tour par sa fierté de saiyen pour agir comme l'humain le plus parfait dans ce tome ci. Que d'évolutions pour le personnage !
Premier gros échec contre Boo et donc séance d'entraînement pour tous les survivants de manière encore différente.
Encore un tome bien réussi qui va de l'apparition du nouvel antagoniste à la promesse solennelle de l'écraser.

Excalibur dans Dragon Ball, ça part vraiment en cacahuète, on sent le manque d'inspiration, et les éditeurs qui poussent un auteur peu motivé a continuer une série.

Heureusement on a eu le droit à quelques moments émouvants qui participe à me faire continuer la série (bon puis il ne reste plus que 4 tomes donc c'est pas le moment d'abandonner )

Suite du marathon relecture de Dragon Ball,
Tome 39.

Dans le tome précédent, Vegeta s'était laissé manipuler par Babidi afin d'augmenter sa puissance et de pouvoir se battre à force égale contre Sangoku.

Malgré l'emprise de Babidi, Vegeta de par sa fierté, arrive à maitriser ses émotions et n'obéit pas au sorcier.

Quand Vegeta comprend que Boo a été ressuscité et que sa puissance est bien trop élevé pour être vaincu de manière normale, les émotions de Vegeta refont surface et il est prêt à se sacrifier pour sauver Bulma, Trunks et même Sangoku son rival de toujours.

Le sacrifice de Vegeta n'ayant pas suffit pour venir à bout de Boo, Boo étant terriblement puissant et presque immortel.

Kaioshin emmène Sangohan pour s'entrainer dans le sanctuaire, et Sangoku apprend la fusion à Sangoten et Trunks. Même si la situation est difficile, il reste qurelques espoirs pour sauver la terre.

Un très bon tome qui met à l'honneur Vegeta qui est un de mes personnages préférés.

Un méchant chewing-gum, vient manger la Terre. Un air de légende arthurienne et Végéta qui... est de plus en plus étonnant, je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer. Finalement Freezer c'était un gros nul comparé aux dernier méchants qu'il a fallu affronter.

Voilà le nouveau boss de fin de niveau, oups... le nouvel adversaire de SanGoku et Cie et celui-ci est particulièrement fort mais aussi physiquement particulier et enfantin.
Bio va balayer plusieurs adversaires et détruire les habitants de la Terre comme jamais aucun ennemi ne l'avait fait auparavant.
Les combats se renouvellent un peu même si cela reste assez simpliste avec Boo qui transforme ses ennemis en... bonbons, biscuits et chocolats. On reste tout de même sur un ennemi quand même très différent de Cell et Freezer.
Enfin, Végéta nous refait le coup de Cell en se sacrifiant pour sauver ses amis... et le monde pour le coup.
Une fin tragique mais une mort en véritable héros... encore une fois Végéta sait faire une sortie classe.