AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,33

sur 838 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un bon livre sur les légendes de la table ronde qui nous entraîne dans une folle aventure qui se construit sur une fidèle amitié entre un chevalier et un lion, ce qui est pour le moins original... Travaillée au collège, j'ai beaucoup apprécié cette oeuvre !
Commenter  J’apprécie          925
C'est à la faveur d'un challenge sur Babelio que j'ai lu ce roman médiéval, Yvain ou le Chevalier au lion, écrit à la fin du XIIème siècle par Chrétien de Troyes.
Nous voici plongés à la cour du roi Arthur. Yvain est un chevalier de la Table Ronde. Lors d'un banquet, son cousin Calogrenant raconte un récit de son aventure en forêt de Brocéliande, qui s'acheva par sa défaite. Yvain est fou de rage et décide d'aller venger son cousin. Il se rend alors auprès de la fontaine magique et refait les mêmes gestes que son cousin : il renverse de l'eau sur son perron, déclenchant ainsi aussitôt une tempête effroyable ainsi que l'ire du seigneur qui garde cette fontaine, un certain Esclados le Roux. S'ensuit un combat sans pitié entre les deux chevaliers. Yvain ressort de ce duel vainqueur en tuant Esclados le Roux. À son enterrement, Yvain aperçoit sa veuve éplorée, Dame Laudine, qui n'attend qu'une chose, se venger. Il en tombe aussitôt éperdument amoureux. Grâce à l'aide de Lunette, servante de Dame Laudine, - qui voit mieux les choses que personne et dont l'auteur nous précise qu'elle était futée comme une Bretonne, il va échapper aux gardes et envisager d'accomplir son dessein amoureux... La suite du roman n'est que cavalcades, combats, épreuves et péripéties, où se déploie l'honneur, où ferraille l'épée, ou vacille le coeur...
Sorti tout droit de l'univers enchanteur et mythique des chevaliers de la Table Ronde, ce texte laisse entrer dans ses pages le fantastique comme un vent de fraîcheur. Ainsi il ne faut pas s'étonner de voir brusquement surgir ici un anneau qui rend invisible, là un autre anneau qui rend invulnérable. Ne vous étonnez pas si vous rencontrez sur votre route un paysan haut de dix-sept pieds qui vous indiquera le chemin le plus court pour parvenir à la fameuse fontaine magique ou bien encore un lion en Bretagne. Ici l'Autre monde jouxte celui des vivants. Bien sûr, je n'oublie pas cet onguent magique qui guérit de la folie, invention de la fée Morgane...
Mais surtout il y a un thème ici intemporel, traité de manière noble et délicieuse, celui de l'amour...
À l'origine, Chrétien de Troyes écrivit ce livre en vers octosyllabiques, inspiré des légendes arthuriennes. Il offrait ainsi une manière nouvelle de rompre avec les chansons de geste en proposant peut-être pour la première fois l'idée de ce que sera le roman dans sa forme moderne. On peut donc qualifier Chrétien de Troyes de créateur du genre. À ce titre, ce roman appartient donc à une oeuvre fondatrice.
La version que j'ai lue est une traduction en prose française moderne de Claude-Alain Chevallier et m'a aidé à entrer dans le tourbillon fou de cette histoire qui ressemble à s'y méprendre au rythme endiablé d'une bande dessinée. D'ailleurs, le récit ravira autant les petits que les grands.
Mais une fois écarté le voile fantastique, une fois laissées dernière nous les scènes de bataille, nous pénétrons dans les cours d'une société raffinée, faite d'élégance et de culture, où la femme est à la fois entourée d'un vif respect et fait l'objet d'un véritable culte. C'est sans doute davantage un monde idéal qui est dépeint ici, un monde embelli, imaginé, mais avant tout un monde désiré... Ici les mariages sont dictés autant par l'amour que par la nécessité politique.
Nobles lecteurs, permettez-moi d'espérer être pour vous ce soir ce preux chroniqueur qui vous donnera envie de venir vous pencher sur le perron de la fontaine magique...
Commenter  J’apprécie          454
Avant que la Renaissance trouve son âge d'or dans l'Antiquité, ce qui sera qualifié de bas Moyen-Âge le trouvera dans les légendes arthuriennes du haut Moyen-Âge et c'est à partir de ces légendes que seront élaborés les premiers romans par Chrétien de Troyes à la fin du XIIe siècle.
Cette invention du roman s'est faite par le coup de génie de ce traducteur virtuose qui ne s'est pas contenté de traduire quelques légendes en sa langue, mais les a transposées dans un tout autre esprit qui exigeait un tout nouveau genre d'écriture où l'on ne se contente pas de « rêves, de fables ni de mensonges ». (31) Évidemment, cela n'empêchera en rien son auteur de mettre en scène un paysan qui « avait bien dix-sept pieds de hauteur » (34), un anneau qui rend invisible (51) ou un lion en Bretagne.
Les personnages suivent leur destin qui les conditionne absolument, laissant le champ libre à la naïve poésie pleine de charme qui accompagne tout le récit. On en trouve le plus joli exemple lorsque « Amour…attaque Yvain doucement en le frappant au coeur par les yeux », elle lui inflige alors une plus profonde blessure qu'un coup d'épée, qui « cicatrise très vite, dès qu'un médecin s'en occupe, tandis que la blessure d'Amour empire plus elle est près de son médecin. » (60)
Ce roman, d'abord récit d'aventure, d'amour et de folie est capables de plaire à tous les publics parce que Chrétien sait se limiter pour s'assurer de lui plaire. le public, en effet, ne saurait apprécier quelques vérités trop sublimes pour lui. Par exemple, sur le thème de l'amour Chrétien nous dit : « je pourrais vous parler si longtemps que je n'en finirais pas d'aujourd'hui, s'il vous plaisait de m'écouter; mais quelqu'un s'empresserait peut-être de déclarer que je vous entretiens de futilités. C'est que les gens ne sont plus amoureux, et n'aiment plus comme ils le faisaient autrefois. Ils ne veulent même plus en entendre parler. » (161) On peut aussi aisément comprendre que le même motif se cache derrière les protestations de Chrétien que la vérité transcende parfois toute expression possible : « la langue ne saurait décrire tous les témoignages d'honneur qu'un gentilhomme sait donner » (46), « ces cris, manifestations d'un chagrin que je renonce à décrire, car personne ne pourrait le faire, et de plus, jamais un [chagrin] semblable n'a été raconté dans un livre » (55), « la tempête fut si terrible que nul ne pourrait en raconter le dixième » (188-189).
Et d'ailleurs, moi-même, je n'en finirais pas de parler aujourd'hui si il me fallait donner toutes mes impressions sur ce délicieux roman, alors je souhaite à tous preux lecteurs et nobles lectrices de trouver le loisir nécessaire afin d'apprécier cet immortel ouvrage.
Commenter  J’apprécie          420
Je l'ai lu en cours. Plutôt bien, mais c'est pas mon genre de lecture...
Un peu décevant car ma prof spoilait tout le livre donc au final, c'était plus de la lecture... mais il mérite bien 3,5 étoiles !
Commenter  J’apprécie          170
Une bonne approche du moyen-âge qu'on m'a donné à lire en 5ème.
Commenter  J’apprécie          120
« Certains racontaient des histoires, tandis que d'autre parlaient d'Amour, des tourments et des supplices ainsi que des grands bienfaits que reçoivent souvent les disciples appartenant à son ordre, qui à ce temps-là était puissant et de qualité. Mais aujourd'hui il reste peu de ses fidèles : ils l'ont, à peu près tous, abandonné, et, par conséquent, Amour se trouve en grand déclin. Car ceux qui, autrefois, faisaient profession d'aimer méritaient qu'on les appelât courtois, vaillants, généreux, et honorables. Mais à présent Amour est matière à fiction, parce que ceux qui n'en ressentent rien disent qu'ils aiment, mais ils mentent. Ceux qui se vantent d'aimer sans y avoir droit en font un objet de fable et de mensonge.
Mais afin de parler de ceux qui furent jadis, laissons de côté ceux qui sont encore en vie. Car mieux vaut, me semble-t-il, un courtois mort qu'un rustre vivant. »

On trouve ce passage dès la première page, et comme vous pouvez le constater, Chrétien de Troyes n'a pas la langue dans sa poche. Loin d'être un simple roman d'aventure, le Chevalier au Lion est aussi un conte qui exprime les valeurs morales et les idéaux, sinon d'une époque, au moins de son auteur.

Calogrenant, inconséquent, utilise pour une fontaine magique pour déclencher, par curiosité, une tempête dont on lui a vanté la puissance. Celle-ci porte à conséquence sur un autre chevalier qui devient son ennemi et lui fait payer son manque de circonspection :
« Vous m'avez causé un tort, et maudit soit celui qui y prend plaisir, car vous m'avez livré un tel assaut dans mon bois et mon château que rien n'eût pu me venir en aide [...] Mais soyez sûr que désormais vous n'obtiendrez de moi ni trêve ni paix. »
Quand Calogrenant raconte sa défaite en duel :
« – Par ma tête, dit monseigneur Yvain, vous êtes mon cousin germain [...] et si j'en ai l'occasion, j'irais venger votre honte.
– On voit bien que c'est après le repas, dit Keu, qui ne pouvait pas se taire : il y a plus de paroles dans un plein pot de vin que dans un tonneau de bière. On dit que le chat repu s'amuse. Après manger, sans bouger, chacun veut aller tuer Saladin [...]
– Diable ! Avez-vous perdu la tête, Monseigneur Keu, dit la reine, en faisant que votre langue ne s'arrête jamais ? »
L'auteur se moque des fier-à-bras à travers l'ironie de Keu, mais condamne aussi la médisance, à travers la réponse de la reine à Keu. Ce passage est assez comique et il y en a quelques autres – plus que dans le Chevalier de la Charrette à mon avis. Par exemple :
« Un rustre qui ressemblait à un maure, immense et excessivement hideux, bref, une créature si laide qu'on ne saurait l'exprimer en paroles »

On pourrait citer de nombreux passages qui illustrent des valeurs, comme ne pas mépriser les demoiselles de condition sociale inférieure, ne pas froisser l'orgueil d'un homme, agir avec bravoure mais pas avec folie (bien que la frontière entre les deux soit floue), tenir sa parole, apprendre de ses erreurs, rester fidèle, etc...
Tout cela est démontré à travers les épreuves dont Yvain doit triompher, mais celles-ci ont un but plus grand encore : lui permettre d'expier la faute qu'il a commise en oubliant la parole donnée à son épouse ; par les armes, il va chercher la rédemption.
Bien que brave et compétant, il n'est pas le plus renommé des chevaliers, comme Gauvain ; sa force n'est pas décuplée par l'amour, comme Lancelot ; et en vérité il aurait perdu quelques combats sans son lion. Mais c'est peut-être une autre leçon de morale : la force et la noblesse du lion accompagnent et soutiennent celui qui a la hardiesse et la bonté d'Yvain.
Si Lancelot a pour faiblesses son aveuglement amoureux et son sens de l'honneur plus poussé que nécessaire, celles d'Yvain sont plus réalistes : il manque à sa parole par inadvertance, il désespère et sombre un temps dans la folie, et ses combats sont plus difficiles comparés à Lancelot qui les gagne les doigts dans le nez.
Le Chevalier de la Charrette est un roman plus poétique et plus tragique mais qui se termine de manière prévisible et laisse des questions en suspens ; l'histoire du Chevalier au Lion est moins touchante, contient moins de fantastique, elle sert une morale sans ambigüité, mais la fin offre une vraie conclusion.
Commenter  J’apprécie          110
Bon livre.
Commenter  J’apprécie          100
Livre passionnant, à condition d'être sensible un minimum aux codes de la chevalerie. Je m'amuse à lire de temps en temps les critiques négatives des livres que je lis, et je suis toujours fasciné par la propension de certains à reprocher aux livres de l'Antiquité, du Moyen-Age, voire de la période classique d'être de leur époque. Oui, dans Chrétien de Troyes, il y a des chevaliers surpuissants qui défoncent de façon régulière et souvent désintéressée des créatures ou des personnages qui incarnent le mal, parce que la violence armée est une composante permanente de la vie sur un territoire encore mal contrôlé ; oui, au Moyen-Age, on assignait les femmes et les hommes à des rôles précis sans lesquels on estimait qu'il n'était pas possible de faire société ; oui, entre le Xe et le XIIe siècle, le christianisme structurait la vie quotidienne et le système de valeurs des Français (dans une moindre mesure, c'est toujours le cas, sauf qu'on est dans le déni)… Si l'on n'admet pas tout ça, ou si on l'ignore, alors effectivement, on s'ennuie, on soupire, on s'énerve, et on passe à autre chose en claironnant à qui veut bien l'entendre que le Moyen-Age, c'était vraiment une époque de bouseux sans cervelle qui ne pensaient qu'à se taper dessus. Si ces récits peuvent nous paraître un peu caricaturaux aujourd'hui, il faut se rappeler, avec humilité, que c'est ce qui plaisait aux lecteurs d'alors, pour la plupart issus d'une éducation beaucoup moins démocratisée que la nôtre, et qui étaient beaucoup plus sensibles que nous le sommes à la retranscription métaphorique du combat entre le bien et le mal et au genre du conte merveilleux, aujourd'hui largement abandonné à l'heroic fantasy (qui exalte une chevalerie laïcisée voire paganisée, qui a fait table rase de ses fondements, et qui pourrait presque remplacer ses chevaux par de grosses Harley, pendant qu'on y est). Dès lors, de nos jours, les pérégrinations des chevaliers errants nous invitent moins à frémir des confrontations par un phénomène d'identification ou à juger de la cohérence des hauts faits qu'à explorer les usages, les mythes et les représentations qui les alimentent, et qui sont autant de passerelles vers les mentalités de l'époque qui ont irrigué les nôtres.

L'accusation de manichéisme sur l'oeuvre de Chrétien de Troyes est bien mise à mal par l'histoire d'Yvain. Les chevaliers de la Table ronde ne sont pas des êtres systématiquement vertueux qui défendent la veuve et l'orphelin sans égard pour eux-mêmes ; ils sont traversés de passions contraires, ils défendent des causes mauvaises, se laissent emporter par leur orgueil. Ici, c'est un chevalier qui néglige de revenir auprès de sa dame dans le délai qu'elle lui a fixé, qui la perd donc, et qui, après avoir frôlé la folie, s'efforce d'expier sa faute en mettant sa valeur au service des opprimés rencontrés sur son chemin, accompagné du lion fidèle qu'il a sauvé, "happy end" à la clé.

Il est vrai que si l'on s'en tient à une lecture littérale, on a l'impression qu'il était impossible de rencontrer à l'époque un château en Bretagne qui ne soit pas placé sous la coupe d'un tyran, terrorisé par un monstre ou assiégé par un voisin belliqueux. de même, toutes les demoiselles en détresse, ou simplement en procès, sont en droit d'attendre que le premier type en armure venu se fasse tuer pour leur cause. Peu importe. A une époque où les gens baissent les yeux en faisant semblant de ne rien remarquer quand une fille se fait embêter, j'estime que renouer en bonne partie avec ce trait archaïque ferait sens. Tout cela pour dire que, sans tomber dans les appréciations anachroniques précédemment condamnées, l'intrigue est quand même brossée à gros traits et est assez répétitive dans son principe, d'où interdiction de lire ce récit avec des yeux de lecteur du XXIe siècle au courant des innovations ultérieures de l'écriture si l'on veut savourer. le cadre spatio-temporel semble s'adapter pour fournir en permanence à Yvain une aventure lorsque la précédente a été menée à bien ; une aventure que le chevalier a d'ailleurs bien souvent du mal à accomplir seul (en même temps il faut voir face à quoi il tombe) mais dont l'arrivée providentielle du lion à son secours emporte la décision. le seul combat qui sorte vraiment de l'ordinaire est celui face à Gauvain, qui présente un cas assez unique d'une lutte indécise entre deux amis qui ignorent qui ils combattent et qui, lorsqu'ils le découvrent, se disputent pour revendiquer la défaite, ressort comique assez exceptionnel dans un ouvrage essentiellement épique, mais qui met en relief les belles dispositions de l'amitié chez deux combattants pourtant soucieux de leur gloire.

Autre point à souligner : la description des moeurs médiévales. L'auteur aborde certains rites sociaux très formalisés, au premier rang desquels l'hospitalité, avec un naturel qui laisse entendre une pratique réelle et habituelle dans la société médiévale. Très intéressant. Sans atteindre les analyses poussées d'un Balzac, il y a même un peu de psychologie, pas tellement du côté des sentiments mais plutôt dans la stratégie de persuasion, notamment avec le personnage de Lunete, qui parvient à manipuler à plusieurs reprises les méditations et les engagements de sa maîtresse dans un sens favorable aux intérêts d'Yvain.

Le livre est court et les aventures s'enchaînent de façon très fluide, il n'y a vraiment aucun effort à fournir pour suivre. le choix d'une lecture « bilingue », c'est-à-dire avec le texte littéral et sa traduction en français moderne, permet de saisir la vocation poétique initiale expliquant en grande partie la nature des détails suggérés et l'organisation du texte par le respect des contraintes formelles, tout en appréciant la phraséologie de l'époque. Il est également nécessaire de se procurer une édition explicative, afin de comprendre beaucoup de mots et d'expressions qui ne font plus sens aujourd'hui.
Commenter  J’apprécie          72
Dans Yvain ou le chevalier au lion, Chrétien de Troyes nous plonge dans l'univers des chevaliers de la table ronde. On retrouve ici les aventures du chevalier Yvain, constamment sollicité pour venir en aide aux habitants des différents villages et châteaux dans lesquels il se rend. Ces épreuves le verront affronter des chevaliers, des animaux et des monstres les uns plus redoutable que les autres. Mais qui peut rivaliser avec Yvain et son terrible lion ?

L'un des grand avantage de cette édition est sa traduction. En effet, le style moyenâgeux utilisé par l'auteur à l'origine a été simplifié et rendu bien plus agréable pour des lecteurs de notre époque. Si la traduction est faite pour la rendre accessible aux adolescents, elle n'en ai pas moins agréable pour les adultes. Les différentes aventures d'Yvain se succèdent sans grande logique mais il ne faut pas oublié le contexte de cette écriture. A l'origine cette histoire est faite pour être racontée c'est pourquoi beaucoup d'aventures se ressemblent et terminent bien souvent de la même manière. Cependant, on découvre à travers cet ouvrage les célèbres chevaliers de la table ronde et le roi Arthur ainsi que des histoires d'amour, de courage, de loyauté.
Un vrai plaisir de lecture encore au rendez-vous 1000 ans après son écriture.

Je recommande à tous les amateurs de romans de chevalerie ou aux amateurs de fantasy, ce roman assez court vous ravira certainement.
Commenter  J’apprécie          70
J'ai lu ce livre avec l'école. Quand ma professeur nous a distribué le livre, je me suis dit que c'était encore un livre ennuyeux, qui n'allait plaire à personne. À ma grande surprise, j'ai aimé ce livre, et l'univers chevaleresque. Ce livre m'a permis de découvrir d'autre genre et d'autre univers. Je pense que c'est un livre qui peut plaire à des personnes aimant l'univers chevaleresque.
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (2596) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz Sur Yvain Ou Le Chevalier Au Lion

Qui raconte son aventure au début du livre ?

Yvain
Calogrenant
Le roi
Gauvain

12 questions
1143 lecteurs ont répondu
Thème : Yvain ou le Chevalier au lion de Chrétien de TroyesCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..