(...) rayez "jamais" de votre vocabulaire. Ce mot chasse les rêves et met des barrières à votre propre destinée. Il porte malheur !
Le pire n'est pas d'échouer mais de n'avoir jamais pris la peine d'essayer. Les erreurs sont une preuve que tu n'as jamais abandonné.
J'éprouve rarement de l'ennui dans ma solitude. À vrai dire, j'en ressens davantage au milieu d'une foule. Je me sens seule avec les autres.
Le temps est une invention des hommes mortels pour avoir toujours une longueur d’avance sur leur vie. Ici, tu ne trouveras ni pendule ni sablier ni gens pressés, car nous ne courons pas après le temps, nous l’accompagnons comme un vieil ami jusqu’à l’échéance naturelle des choses. Nous sommes ce que nous sommes. Nous sommes là où nous devons être. C’est aussi simple que cela. Nous sommes hors du temps, Arya. Nous sommes...
- Tout le monde n'a pas la chance d'avoir des parents tels que vous. Un foyer rempli d'amour. Comment peut-on grandir sans ça ? Sans ce sentiment de sécurité, avec un père ou une mère qui nous donnent confiance en nous, qui croient en nous ? Comment arrive-t-on à se construire dans la violence ou l'indifférence ?
Si je dois agir en tant que conscience, laisse-moi te dire que le pire n'est pas d'échouer mais de ne n'avoir jamais pris la peine d'essayer. Les erreurs sont une preuve que tu n'as jamais abandonné.
Parfois je me sens idiote, et puis je te regarde et ça va beaucoup mieux!
J'éprouve rarement de l'ennui dans ma solitude. A vrai dire, j'en ressens davantage au milieu d'une foule. Je me sens seul avec les autres.
- Personne ne t'as dit que ce serait facile, Een Valaan. Rien ne l'est dans ce monde. Je sais de quoi je parle. Il faut sans cesse se battre pour obtenir ce que l'on veut : la reconnaissance, le pouvoir, la paix, l'amour. Tout. C'est dur, c'est injuste, mais c'est comme ça. La vie est un perpétuel champ de bataille. Au fond, tu es une guerrière, mais tu ne le sais pas encore. Alors je ne me fais pas de souci. Ces efforts en vaudront la peine. Je peux te l'assurer. TU en vaux la peine. Tu n'a qu'à imaginer que cet endroit est un rêve et que tu vas bientôt te réveiller. Si tu fuis ta peur, tu deviendras son esclave.
- C'est peut-être mieux que d'affronter seule la réalité.
- Qui t'as dit que tu serais seule ?
Je ne dis rien consciente de ma bêtise.
- Tu n'es pas seule dans ce combat. Il va falloir que tu te mettes ça dans la tête une bonne fois pour toutes. Et, si tu le souhaites, considère moi comme ton refuge.
- Elles sont peut-être inoffensives ?
- T'as déjà vu des monstres gentils, toi ? siffle le voleur.
- Toi, mais ça dépend des jours.