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Citations sur La lettre de Conrad (22)

La pauvreté, tout comme la faiblesse, attire le mépris des jeunes garçons.
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Pauvre diable : [le professeur Zimmerman] était trop bon, trop faible, trop gentil, et les jeunes garçons détestent les gentils et les faibles. Ils ont besoin d'avoir peur et ne respectent que l'autorité et la discipline.
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J'ai passé avec toi les plus beaux mois de ma vie. mon amour pour la poésie, pour l'étude, c'est à toi que je le dois.
Je dois m'arrêter maintenant.
La mort m'appelle.
Prie pour moi.
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Avec le temps, en grandissant et en perdant mes illusions, j'appris les «choses de la vie» et attendis moins des autres. Je compris que nous étions, tous autant que nous sommes, exposés aux tentations et que la plupart d'entre nous étaient faibles, égoïstes et cruels [...].
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Quelle chance d'avoir une mère aussi merveilleuse, qui était capable de montrer qu'elle t'aimait et qu'elle m'aimait aussi parce que j'étais ton ami!
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Mais ce qui m'horrifie, c'est la façon dont je vais mourir : par étranglement, lentement, suspendu à un croc de boucher, me tortillant jusqu'à ce que mort s'ensuive. Hans... j'ai peur !
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Mon cher Hans, comme nous savons peu de choses sur autrui !
Il y a quelques années, à un bal, j'ai rencontré une jeune fille. Elle avait dix-sept ans. Toute vêtue de blanc, elle descendait un grand escalier en dansant. Elle était non seulement belle, mais très intelligente. Je tombai aussitôt amoureux et dansai avec elle jusqu'à deux heures du matin. Ce fut une soirée merveilleuse. Elle avait l'air si gaie et si heureuse ! Et pourtant, à cinq heures, trois heures plus tard, elle se suicida parce que l'homme qu'elle aimait l'avait abandonnée. Je ne m'étais douté de rien. Tout au long de la soirée, malgré sa gaieté apparente, l'idée du suicide ne l'avait pas quittée. Je n'ai jamais oublié cette leçon.
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"Je ne veux pas t'empêcher de rencontrer ton Moïse, mais à une seule condition : que tu ne l'amènes jamais à la maison quand nous y sommes. Ta mère en ferait une maladie. Elle l'insulterait peut-être. Elle vénère Hitler, un vulgaire petit caporal des lanciers de très basse extraction mais, pour elle, c'est le messie".
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Pour eux le monde n’était pas divisé entre « ceux qui possedent » et « ceux qui ne possèdent pas » mais entre « ceux qui possèdent tout » et « ceux qui ne possèdent rien ».
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Je cherchais à éviter leur compagnie et cela m'était bien plus facile qu'ils étaient mal à l'aise en la mienne. Je ne savais pas ce qui les tenais tant à distance. Le mythe Hohenfels ? Ma propre attitude ô combien réservée ? Je ne savais pas. Ce n'est que bien plus tard que je les compris ; mais je sus d'emblée que je ne pourrais jamais m'en faire des amis. Cela t'était réservé.
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